Reflet_2015_05_21

ACTUAL I TÉ • NEWS

Le maire Lamadeleine rabroué par le représentant du ministère

ANNIE LAFORTUNE annie.lafortune@eap.on.ca

lieu à l’écart du public. « Il y a des questions de planification et de projets qui ne doivent pas nécessairement être discutées en pré- sence du public parce qu’il peut y avoir de la spéculation, a avancé lemaire Lamadeleine. Comment pouvons-nous tenir une séance semblable? » M. King a spécifié que la municipalité

Le maire de Casselman, Conrad Lamadeleine, a réitéré son point de vue selon lequel certaines réunions du conseil doivent avoir lieu à l’écart du public.

« On ne peut pas se parler avec le conseil, c’est là qu’il est, le problème. » Voilà ce qu’a conclu lemaire Lamadeleine lors de la réunion du conseil de Casselman, lemardi 12mai dernier, au cours de laquelle

être identifiée, y compris des employés de la municipalité ou du conseil local, l’acqui- sition ou la disposition projetée ou en cours d’un bien-fonds par la municipalité ou le conseil local, des relations de travail ou les négociations avec les employés, des litiges actuels et éventuels, etc. Les exceptions sont énumérées à l’article 239 de la loi. Au bout de la table du conseil, le conseil- ler Michel Desjardins a une fois de plus souligné l’importance des réunions devant public. « Il n’y a aucun problème à ce que le conseil et l’administration se rencontrent, a-t-il dit, mais il faut aumoins le faire devant

le public. » Cette remarque a semblé déplaire au maire qui a rétorqué que la présence du public pouvait nuire au processus. Mais M. King a fait valoir que la présence du public aux réunions est essentielle. « Je veux être clair, M. Lamadeleine. Toutes les discussions que vous avez, qu’elles soient spéculatives ou autre, sont des réunions avec les administrateurs de lamunicipalité. Vous devez suivre les règlements concernant les réunions publiques ou à huis clos. Vous ne pouvez pas fermer les portes s’il s’agit d’un sujet qui doit être discuté devant public », a conclut M. King.

Jon King, conseiller en gestion municipale au ministère des Affaires municipales et du Loge- ment (MAML), a fourni des éclaircissements au sujet de la tenue de réu- nions à huis clos. On se rappellera que le conseil municipal de Casselman a récemment été accusé par l’Ombudsman de l’Ontario, André Marin, d’avoir tenu des réunions jugées illégales parce qu’elles avaient eu lieu en privé, donc à huis clos.

pouvait en tout temps tenir ce genre de réunions (à huis clos), pourvu qu’elles res- pectent les dispositions de la Loi. « Vous pouvez dis- cuter de tels sujets dans le cadre d’une réunion extra- ordinaire, par exemple, ou alors vous pouvez modifier votre règlement de procé- dures en conséquence », a- t-il précisé. Selon la Loi de 2001 sur les municipalités , toutes les réunions sont ouvertes au public, sauf dans des cir-

Il y a des questions de planification et de projets qui ne doivent pas nécessairement être discutées en présence du public parce qu’il peut y avoir de la spéculation. Comment pouvons-nous tenir une séance semblable?

Conrad Lamadeleine»

constances très . précises, y compris lorsqu’il est de la sécurité des biens de la municipa- lité ou du conseil local, de renseignements privés concernant une personne qui peut

Lemaire de Casselman, Conrad Lamade- leine, a réitéré son point de vue selon lequel certaines réunions du conseil doivent avoir

Special training for firefighters A special training session for dealing with toxic spills threatening local water sources saw a good response from local fire departments in the Prescott-Russell region. The South Nation Conser- vation Authority (SNC) sponsored a one-day Spill Response Training workshop April 25 with 20 participants from fire stations in the United Counties of Prescott-Russell. The workshop follows up on a similar program the SNC provided in 2008 and 2009. Participants learned and practised methods for dealing with a hazardous material spill near a water source and also how to protect themselves while doing so. Representatives from Drain-All Ltd. and the provincial environmental services division were on hand to provide technical advice. – Gregg Chamberlain

IT’S VISION HEALTH MONTH Did you know?

Le Lunettier d’Embrun Eyewear

80%

1 in

4

Blindness and vision loss cost our economy more than 15 billion annually. $ 15 billion

After age 40, the number of cases of blindness or partial sight doubles. At 75 it triples. 2 X 3 X

Patrick M. Brousseau, R.O, Optician/Opticien www.lunettier.ca

school age children has a vision problem.

of what children learn in their first 12 years commes through visual processing information.

Dr. Brigitte Filion

685, Notre-Dame, Unit 2 Embrun 613-443-1113

685, Notre-Dame, Unit 2 Embrun 613-443-3335

Made with FlippingBook flipbook maker