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GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca PREMIER FORD MOVES PROVINCE BACK INTO LOCKDOWN government declared a public health state of emergency in response to the pandemic. Residents are required to avoid all non- essential travel except for shopping for groceries and other essential items, picking up prescriptions at pharmacies, and going to medical appointments.

that can offer in-person sales and service by appointment only, with limitations on the number of customers allowed inside. These include safety supply stores, businesses that sell, rent, or repair medical devices or mobility aids, and similar items. Also included are optical and prescription eyewear stores, businesses that sell, rent, or repair vehicles, including cars, trucks, boats and other watercraft. Retail stores owned by a telecommunications service provider can allow customers inside to buy cellphones or have equipment repaired or serviced. Home gardeners can go to outdoor garden centres, plant nurseries, and indoor green- houses, but these businesses are limited to the number of people they can have inside. Remote learning Schools will return to remote learning after the April break. The government an- nounced on Monday that all elementary

and secondary schools would start remote learning from April 19, with private schools operating this week to move to remote learn- ing by April 15. There is no end date set for the return to in-person learning. The government said it would consult with medical officers and analyze data to determine when a safe return was possible. The region There were 107 new cases reported in UIF &BTUFSO0OUBSJP)FBMUI6OJU &0)6  region over the weekend, including 48 in Prescott-Russell. That pushed the number of active cases in the region to 453, of which 207 were in Prescott-Russell com- munities. Municipal numbers included 43 in Hawkesbury, 39 in Clarence-Rockland, 36 in 3VTTFMM JO$BTTFMNBO JO5IF/BUJPO   JO$IBNQMBJO  JO&BTU)BXLFTCVSZ  and 10 in Alfred-Plantagenet. &/#3&'r#3*&'4 JOGGEUR HARCELÉ La police est à la recherche d’un groupe de jeunes hommes qui ont harcelé un joggeur le long du sentier récréatif de Prescott-Russell, près de Hammond, le week-end dernier. La Police provinciale de l’Ontario (OPP) du comté de Russell a déclaré que le groupe de cinq per- sonnes était à vélo lorsqu’il a harcelé le coureur vers 13 h le 4 avril. Ils ont été décrits comme étant de race blanche, âgés de 16 à 20 ans. L’un d’entre eux avait les cheveux longs, tandis que les trois autres portaient des casquettes de baseball. Toute personne ayant des informations est priée d’appeler la police provinciale du comté de Russell au 1888 310 1122. - Stephen Jeffery PETER LOAN DINING & CATERING Tuesday to Thursday from 11 am to 2 am Friday from 11 am to 8 am Sunday from 8 am to noon Colombian Foyer Bar Open Mon. through Sat. from 11 am to 2 am Check out our daily specials EVERYTHING IS MADE FROM FRESH

Premier Doug Ford has put Ontario back into lockdown in an effort to stem the third wave of the COVID-19 pandemic in the province. “Things are extremely serious now and I am extremely concerned,” said Premier Ford, during an April 7 afternoon virtual news conference. The premier announced a new state of emergency would be in effect at noon April 8 and last for a four-week period. That includes a “stay at home” order with a ban on all non-essential travel. “Our plan is to get needles in arms,” he said, “and to protect our hospitals.” Stay at home The new lockdown is similar to the first one in spring 2020 when the provincial

Grocery stores and pharmacies can remain open for inside customer service with limitations on the number of people allowed inside to maintain social distancing. /POFTTFOUJBMCVTJOFTTFTDBOPQFSBUFVTJOH curbside pickup and delivery between 6 a.m. and 9 p.m. Big Box and discount stores are restricted to sales of “essential items only” such as groceries, household cleaning and saniti- zation products, health and personal care items, pet supplies, and pharmaceuticals if there is a pharmacy section on the premises. There is a government list of businesses

UNE INFIRMIÈRE DE L’ÉQUIPE DE SANTÉ FAMILIALE CLARENCE-ROCKLAND, MYLÈNE LEROUX, INFIRMIÈRE AUTORISÉE, RÉPOND AUX QUESTIONS SUR LES ENJEUX AUXQUELS FAIT FACE LA CLINIQUE.

1. Quels sont les plus grands enjeux auxquels fait face la clinique depuis le début de la pandémie? Les plus grands enjeux auxquels nous faisons face viennent du fait que nous devons trouver un équilibre entre les besoins habituels de nos patients et la gestion de la pandémie, nous adapter à l’évolution constante des recommandations sur la COVID-19 et gérer le stress dans un contexte de changements perpétuels. Nous voulons et devons trouver la meilleure façon de protéger nos patients, nos collègues et nos proches et de prendre soin d’eux. 2. Pouvez-vous nous donner des exemples plus précis de ces enjeux? Depuis le début de la pandémie, la clinique continue de fournir les services habituels à ses patients en ses murs et par téléphone. Nous effectuons maintenant un triage par téléphone pour chaque demande de rendez-vous. Si on soupçonne un patient d’être atteint de la COVID-19, nous lui proposons de passer un test de dépistage par l’intermédiaire de notre service au volant ou de prendre un rendez-vous pour une évaluation en personne le soir même. Nous recevons 1 500 appels par semaine, et un grand nombre d’entre eux viennent de personnes qui veulent obtenir des renseignements sur différents aspects de la pandémie. Notre charge de travail est donc beaucoup plus élevée qu’elle ne l’était avant la pandémie. Par ailleurs, une pression énorme est exercée sur le personnel infirmier qui doit demeurer au courant des fréquentes modifications apportées aux recommandations relatives à la COVID-19. Il arrive que les protocoles en matière d’évaluation, de dépistage et de quarantaine soient modifiés à deux reprises au cours d’une même semaine. Nous voulons toujours nous assurer de fournir les recommandations les plus récentes et les meilleurs soins à nos patients. 3. En quoi votre travail est-il différent à l’heure actuelle? Nous avons réussi à répartir les tâches entre les membres du personnel infirmier pour être en mesure de répondre aux besoins habituels de nos patients, tout en assumant nos responsabilités actuelles en matière d’évaluation et de dépistage de la COVID-19. L’horaire de la clinique a été modifié, car les patients présentant des symptômes de la COVID-19 ne sont vus que le soir pour réduire les risques pour les autres patients. Nous avons mis en place des procédures de désinfection et rehaussé les mesures de triage téléphonique pour répondre à la demande. Les tests de dépistage de la COVID-19, aussi simples qu’ils puissent paraître, comportent de nombreuses étapes chronophages. Le personnel évalue le niveau de risque des patients au téléphone et leur donne des conseils concernant les exigences de dépistage et d’isolement. Il faut fixer les rendez-vous, préparer les écouvillons et les documents, puis prélever les échantillons par écouvillonnage au moment du dépistage. Le personnel communique ensuite aux patients tout résultat positif au test de dépistage de la COVID-19 avec les recommandations appropriées. Cela nous tient certainement très occupés! 4. Au fil du temps, avez-vous remarqué des tendances ou des changements dont vous aimeriez nous faire part? Nous avons eu quelques cas positifs lors de la première vague, mais il y en a eu beaucoup plus au cours de la deuxième vague. Au mois de mars 2021, le nombre de cas positifs de COVID-19 était de 150, et 134 d’entre eux ont été détectés au cours de la deuxième vague. Seulement dix personnes infectées ont dû voir un médecin à la suite de leur test de dépistage; les autres n’avaient aucun symptôme ou des symptômes bénins qui pouvaient être soignés à domicile. Cependant, au moins 12 personnes dont le cas avait été considéré comme étant « bénin » ont vu leurs symptômes s’aggraver et ont dû revenir à la clinique plus tard. Leurs symptômes ont persisté pendant des mois. Certaines de ces personnes ressentent encore les effets de la COVID-19 à ce jour. Environ la moitié des personnes infectées ont eu un contact connu avec une personne qui avait eu un résultat positif au test de dépistage de la COVID-19 (généralement un contact étroit). Ainsi, la moitié des personnes infectées ne savent pas où et comment elles ont contracté la COVID-19. Le premier symptôme le plus fréquent est une toux et le deuxième, un nez qui coule. La fièvre, en fait, est le quatrième symptôme le plus fréquent. Nous avons eu 11 patients qui avaient la diarrhée, et deux d’entre eux ne présentaient que des symptômes gastro-intestinaux courants, comme une diarrhée, des vomissements, des nausées ou des maux d’estomac. Plusieurs patients que nous avons vus ont attendu avant de passer un test de dépistage, croyant avoir un « simple rhume ». Au moment de leur diagnostic, ces patients avaient déjà transmis le virus à plusieurs personnes de leur cercle rapproché et fort probablement à beaucoup d’autres personnes. Nous pouvons donc dire que la COVID-19 est très difficile à diagnostiquer ou à différencier d’autres maladies virales courantes. Ne faites aucune supposition en ce qui concerne cette maladie. Il s’agit d’une maladie très grave qui peut avoir de nombreuses conséquences à long terme, nécessiter une hospitalisation ou entraîner la mort. 5. Avez-vous des recommandations à nous faire à ce moment-ci? En voici quelques-unes : a. Si vous avez été en contact avec une personne qui a obtenu un résultat positif au test de dépistage de la COVID-19, isolez-vous immédiatement, passez un test de dépistage au moment recommandé et demeurez isolé jusqu’à ce que le Bureau de santé de l’est de l’Ontario ou le bureau de santé publique de votre région vous autorise à briser votre isolement. b. Ne faites aucune supposition concernant les symptômes que vous pourriez avoir. Une toux légère, un nez qui coule ou même une diarrhée peuvent être causés par la COVID-19. Même si vos symptômes sont bénins, le virus responsable de la COVID-19 est extrêmement contagieux et vous pourriez le transmettre sans le savoir à quelqu’un qui pourrait tomber gravement malade ou mourir. Ne supposez pas que vos symptômes ne sont pas ceux de la COVID-19. c. Faites-vous vacciner dès que votre tour sera venu. L’histoire témoigne de l’efficacité des vaccins dans la lutte contre de nombreuses maladies. Nous l’avons vu avec la poliomyélite, le tétanos, la rougeole, les oreillons, la coqueluche et bien d’autres maladies. Les vaccins empêchent les gens de contracter la COVID-19 et, par conséquent, de propager cette maladie. Ils préviennent aussi l’apparition de symptômes graves, l’hospitalisation ou la mort. N’oubliez pas que mieux vaut prévenir que guérir. Protégez-vous, protégez vos proches. Ensemble, nous pouvons mettre fin à cette pandémie!

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