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Denis Chabot se joint à la course

min. Ensuite, il s’est intéressé à la sécurité des enfants avec le service de brigadier. «Concerné, je me suis joint à un comité mu- nicipal pour trouver et présenter des alter- natives pour protéger nos enfants. À ce jour, aucune des solutions de ce comité n’a été implémentée.» À plusieurs occasions également, Denis Chabot s’est présenté au podium lors des réunions du conseil pour discuter du ser- vice de transport en commun par autobus

MARTIN BRUNETTE martin.brunette@eap.on.ca

ROCKLAND | Le siège du quartier six dans Clarence-Rockland compte désormais un troisième candidat. Denis Chabot a récemment apposé son nom sur la liste des candidatures. Il se mesurera à Luc Thivierge et Krysta

GEORGES MARTIN, UN NATIF DE ROCKLAND, NOUS RACONTE... (PARTIE 2 DE 3) En 9 e année scolaire, les gars et les filles se retrouvaient au «Rock- land High School». C’était une école anglaise où l’on récitait le «Our Father» et on chantait «God Save the King». Les élèves des petites écoles rurales des environs fréquentaient aussi le «High School». Devenu maire, lorsque le «High School» fut transformé en Hôtel de Ville, j’ai fait enlever les pierres «High School» et conserver seule- ment les pierres «Rockland 1905». Ces inscriptions sont toujours en place, Incidemment, j’ai siégé 19 ans au Conseil municipal, 7 ans aux Comtés unis de Prescott et Russell et en 1966, je fus élu et réélu maire de Rockland pour trois termes. Dans la paroisse, j’ai été servant de messe pendant plusieurs années. Sur semaine, il y avait deux messes, le matin, elle était célébrée en latin avec le prêtre qui faisait dos aux fidèles. Pour recevoir la communion, il fallait être à jeun depuis minuit et on recevait l’hostie sur la langue, agenouillé à la Sainte Table les mains recouvertes d’une nappe blanche. C’était seulement le prêtre qui donnait la communion avec un enfant de cœur qui tenait la patène sous le menton du communiant au cas où une hostie serait tombée. Pour la première communion et aussi pour la confir- mation, les garçons portaient un brassard. Chaque confir- mant avait son parrain individuel et en plus, la paroisse désignait un couple comme parrain et marraine du groupe. C’était Monseigneur lui-même qui venait nous confirmer.

Simard lors des élections municipales en octobre pro- chain. «Je suis heureux de m’être joint à cette course, en premier pour pouvoir redonner à cette belle com- munauté. […] je serais telle- ment fier de pouvoir donner encore de mon temps pour garantir que nous avons une représentation juste et équi- table au conseil de la Cité de Clarence-Rockland», a-t-il confié. En tant que travail- leur de la fonction publique,

CR-Transpo. À ce moment- là, plusieurs utilisateurs dénonçaient une hausse du prix des laissez-passer mensuels. «[…]à plusieurs reprises, je me suis battu en chambre pour faire com- prendre aux conseillers que s’ils augmentaient les frais de transport à un coût plus élevé que ce que la popu- lation pouvait payer, qu’il en suivrait une réduction des utilisateurs», a affirmé M. Chabot en ajoutant

Denis Chabot

Denis Chabot avait d’abord retardé sa can- didature dans le but d’obtenir l’approba- tion du gouvernement canadien pour se présenter à une élection. Il a obtenu cette approbation le 30 mai dernier. D’entrée de jeu, le candidat pour le quar-

qu’au bout du compte, la Cité serait prise avec un plus gros montant à payer pour le contrat d’autobus. Le contrat entre la Cité et la compagnie Leduc Busline doit arriver à échéance en 2016. «J’espère bien être pré- sent quand ce contrat se terminera au cours

tier six ne mâche pas ses mots en ce qui a trait au conseil munici- pal actuel. «Nous avons été té- moins d’horribles manques de juge-

du prochain man- dat, car comme plu- sieurs entreprises de la Cité dans le passé, cette bonne idée, au départ, n’a jamais été bien planifiée.» Le candidat se

«Nous avons été témoins d’horribles manques de jugement de la part de nos conseillers au cours des dernières années» - Denis Chabot

Chaque paroisse exposait le Saint Sacrement pour les quarante heures. À cette occasion, il était coutume d’inviter des prêtres des paroisses environnantes pour les confessions. Afin de confesser tout ce monde, on installait des confessionnaux temporaires sur la Sainte Table. Malgré tous ces arrangements, il fallait quand même attendre en ligne pour confesser nos péchés. Pour les funérailles, toutes les statues, la chaire, les crucifix, la Sainte Table étaient recouverts de noir. Dans les châssis, on y mettait aussi de grands ride- aux noirs. Pour les grandes cérémonies, la messe di- acre sous diacre était célébrée, c’est-à-dire que trois prêtres concélébraient. Souvent, il y avait des prêtres célébrant aux petits autels. Les prêtres les plus gé- néreux nous donnaient parfois un pourboire. Les enfants de cœur, qui pouvaient être une cinquantaine, se rassemblaient dans la sacristie en faisant l’entrée deux par deux pour se diriger au centre du sanctuaire, faire une génuflexion au pied du maître autel pour ensuite prendre place de chaque côté dans le chœur. Le vicaire enregistrait les présences et ceux qui assistaient régulièrement aux grandes messes et aux vêpres du dimanche se méritaient une place gra- tuite pour la messe de minuit avec la possibilité de porter le flambeau.

ment de la part de nos conseillers au cours des dernières années», a déclaré M. Chabot. Celui-ci évoque, entre autres, le dossier du chemin Baseline dont une portion avait été fermée. Il s’était alors joint aux résidents du chemin pour demander la réparation et conséquemment la réouverture du che-

retient de faire des promesses électorales. Il souhaite avant tout étudier plus à fond les enjeux. Il souligne ne pas avoir de points clés dans sa campagne. «Mes points clés ne sont pas importants. Dans une démocratie, il y a juste les points auxquels les électeurs tiennent à cœur qui sont importants.»

Les mauvaises herbes nuisibles en croissance

Les résidents de Prescott et Russell ont deux autres mauvaises herbes nuisibles à contrôler cette année. Par ailleurs, l’asclépiade est retirée de la liste des plan- tes qui doivent être détruites selon la Loi sur la destruction des mauvaises herbes . À compter de maintenant, le Dompte- venin noir et le Dompte-venin de Russie sont ajoutés à la liste des mauvaises herbes nuisibles. Les Comtés unis de Prescott et Russell rappellent que toute propriété dans les comtés doit se conformer à la Loi par le 30 juin et tout au long de la saison de crois- sance. Le but principal de la Loi sur la destruc- tion des mauvaises herbes, L.R.O. 1990, vise à réduire l’envahissement des terres par les mauvaises herbes nuisibles qui ont une in- cidence négative sur les industries de l’agri- culture et de l’horticulture. La loi s’applique aux terrains agricoles et horticoles qui gé- nèrent des revenus ou autres avantages liés

Le dompte-venin noir

à l’agriculture, mais exclut les parterres, les jardins et les secteurs privés pour détente et loisirs personnels. Le Dompte-venin de Russie et le Dompte- venin noir sont des plantes envahissantes agressives qui peuvent interrompre le cycle de vie des papillons monarques. Le mo- narque est attiré par ces plantes, mais tout œuf qui y est déposé ne survivra pas.

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