Des oeuvres d’art...
Stephen Le Breton joue dans la méca- nique et s’intéresse aux menus détails. Son frère, Mike Le Breton, façonne et sculpte le métal. Sa conjointe Mélanie
Charlebois s’occupe de la coordination et de la gestion. Ce trio est l’âme de Speed Trix, une entreprise familiale de création de motos.
Le terme création est ici judicieusement choisi. Les frères Le Breton ne fabriquent pas des motos, ils créent des œuvres d’art. Celles- ci sont hautement remarquées et appréciées partout où elles passent. Les dizaines, pour ne pas dire les centaines, de prix qui ornent la boutique de Saint-André-d’Argenteuil, près de Lachute, sont là pour le prouver.
Ces trophées et autres prix, récoltés dans différentes compétitions demotos au cours des 20 dernières années, témoignent de l’ex- cellence du travail de la famille Speed Trix. Peu importe la compétition à laquelle ils participent, ils reviennent toujours les bras chargés de reconnaissances. Tout récem- ment, en janvier, ils présentaient huit motos
MARCOUX Les ancêtres Marcoux sont à l’honneur cette semaine. Armand Lapierre et Bruno Laroche, membres de La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, ont réalisé cette chronique généalogique pour rendre hommage aux ancêtres paternels d’Yvonne Marcoux. Le premier ancêtre au pays est Pierre Marcoux, fils de Claude et Marie Jouineau de Saint-Julien de Tonnerre en Champagne. « Un excellent texte sur Pierre Marcou nous vient de Michel Langlois Les Ancêtres Beauportois, 1634-1760, 1984). Même si on n’a pas retracé le contrat d’engagement de Pierre Marcou, c’est sans doute à la suite d’un marché de ce genre, d’une durée de trois ans qu’il vint au Canada. Il assiste le 18 octobre 1659 au baptême de Jeanne Leblanc fille de Léonard Leblanc et Marie Riton. Il habite déjà à Beauport depuis au moins 1655, car son nom figure dans l’aveu et dénombrement du 15 octobre de cette année-là. Il possède au nord du village du Fargy, un emplacement de 6 arpents et 23 perches. Comme on le sait Robert Giffard avait constitué un terrain en commun à l’usage de tous les habitants de sa seigneurie, lesquels moyennant annuellement quelques jours de travail pour ce dernier, pouvaient y envoyer paître leurs bêtes. Pierre Marcou ne tarda pas à renoncer à ce droit de commune puisque déjà le 13 janvier 1660, sa terre suffisamment défrichée pouvait servir de pacage à ses animaux. » Il épouse Marthe de Rainville, contrat de mariage le 27 novembre 1661, greffe Paul Vachon, fille de Paul et Roline Poëte. Onze enfants, six filles et cinq garçons, sont issus de ce mariage. GÉNÉRATIONS 10 e Pierre Laroche, fils d’Émile et Lorette Roberge - Céline Roberge m. le 1971-03-03 à Saint-Odilon, Cap de la Madeleine, Qc 9 e Yvonne Marcoux - Ferdinand Laroche, fille d’Eugène et Marie-Ange Côté m. le 1947-07-13 à Saint-François-d'Assise, Trois-Rivières, Qc 8 e Napoléon Marcoux, cult. - Virginie Simard, f. de Xavier, cult. et Zoé Campagna m. le 1897-11-08 à Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud, Qc 7 e Napoléon Marcoux, cult. – M. Célina Thibault, f. de Louis, cult. et Clarisse Gagné m. le 1859-03-01 à Saint-Raphaël, cté Bellechasse, Qc 6 e François Marcoux - Charlotte Latulippe, f. de Jacques et M. Louise Octaux, cult. m. le 1826-07-31 à Saint-Gervais, cté Bellechasse, Qc 5 e Antoine Marcou - Geneviève Nadau, cultivateurs, f. de Jean Baptiste et Marguerite Dalaire m. le 1795-01-27 à Saint-Charles, Bellechasse, Qc 4 e Alexandre Marcou - Marie Mercier, f. de Joseph et Élisabeth Lebrun m. le 1753-11-12 à Berthier-en-Bas (Berthier-sur-Mer), N.-F. 3 e François Marcou - Marguerite Bellenger, f. d’Estienne et Marguerite de Launé m. le 1720-04-15 à Beauport, N.-F. 2 e Jean Marcou – M. Magdeleine Maigné, f. de Jacques et Ambroise Doiet m. le 1691-04-19 Charlesbourg, N.-F. (la date est clairement inscrite mil six cent quatre-vingt- onze, bien que placée parmi 1694) 1 re Pierre Marcou - Marthe de Rainville m. le 1662-01-08 à Notre-Dame, Québec, Nouvelle-France « Cette terre qu’il semble avoir habitée depuis 1655 lui fut officiellement concédée le 4 novembre 1658. Elle mesurait 3 arpents de front sur une profondeur de 50 arpents et était située derrière le bourg, voisine de celle qu’on concéda un peu plus tard à Pierre Maillou. … Déjà en 1682, Louise leur fille aînée, en âge de se marier, passait son contrat de mariage devant le notaire Vachon, le 20 octobre, avec Joachim Gagné. Ce contrat de mariage contenait des clauses bien particulières. En effet Pierre Marcou et son épouse Marthe de Rainville s’engageaient à : « nourrir, loger, fournir d’habits linge chaussure et généralement entretenir comme leurs propres enfants les dit Joachim Gaingner et la dite Louise Marcou leur fille, future espouse, le temps et espace de trois années consécutives à commencer le jour précédant leurs espousailles pour finir et accomplir a pareil et semblable jour les dittes trois années finies et accomplies. » Il décède le 11 juin 1699 et est inhumé le lendemain à Beauport. Né d’une race FIÈRE
1 Michel Langlois Les Ancêtres Beauportois, 1634-1760, 1984. 2 Idem.
Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1
Le Carillon, Hawkesbury ON.
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Le jeudi 1 mars 2018
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