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Un nouveau fruitier à Saint-Eugène
L’entreprise Les fruits du Poirier a ouvert ses portes le 13 juillet dernier. On reconnaît ci-dessus le maire de Hawkesbury Est, Robert Kirby, Robert Poirier, Frédéric Poirier et Anne-Geneviève Poirier.
pour la rendre fertile indé!niment, avec l’art d’aménager le territoire. Pour cela, il peut compter sur toute sa famille. «Mes enfants et ma femme sont tous impliqués dans le projet. Mon !ls Frédéric est technicien en horticulture, mon autre !ls François a été di- plômé en agriculture au Collège d’Alfred et ma !lle Anne-Geneviève est biologiste et a une maîtrise en environnement. Ma femme, elle, soutient les troupes», a-t-il dit avec de la !erté dans la voix. Pour le moment, l’entreprise ouvre ses portes au public et propose l’autocueillette de plusieurs variétés de framboises (rouges, jaunes, pourpres et noires), de mûres, d’as- perges et de camerises. Selon son plan d’af- faires, l’entreprise produira quatre variétés de raisins de table en 2015. Des pommes, des poires et des prunes vont être cueillies sur le domaine en 2016 et !nalement c’est en 2017 qu’il prévoit la cueillette de kiwis rustiques. M. Poirier indique qu’il met tout enœuvre pour la croissance de son entreprise et qu’il veut en faire un endroit convivial pour accueillir les groupes. «Éventuellement, on compte tester notre idée d’accueil- lir un groupe communautaire pour que les membres du groupe puissent cuisiner leurs propres con!tures et conserves dans notre cuisine de transformation certi!ée que nous aménageons actuellement», a-t- il précisé. Il a expliqué également qu’il fait des démarches pour obtenir sa certi!ca- tion biologique. Entre-temps il continue de planter des spécimens d’arbres et arbustes fruitiers originaux et plutôt inusités comme des argousiers, des cerisiers, des groseilliers, des gadelliers et des cassissiers.
JULIE GODIN julie.godin@eap.on.ca
SAINT-EUGÈNE | Un nouveau joueur dans l’industrie des petits fruits a ouvert ses portes, à la mi-juillet, dans la région. Le propriétaire, Robert Poirier, et tout son clan ont décidé de réaliser leur rêve en investissant de grosses sommes dans ce que Robert Poirier appelle «son petit coin de paradis». Ils proposent notamment aux gens de découvrir des petits fruits is- sus de cultures biologiques dont certains sont plutôt méconnus du public, comme la camerise. Après cinq années de préparation, la ferme Les fruits du poirier a ouvert ses portes au public le 13 juillet dernier. Le domaine des Poirier, situé au 2535, conces- sion 3 à St-Eugene, s’étend sur 58 acres de terrain (dont 45 sont cultivables) et a exigé un gros investissement initial que M Poirier quali!e de «dans les six chi"res». Cet homme originaire de Lachine travaille depuis 2010 à monter son a"aire et cette a"aire, c’est son rêve d’enfance. «Je suis né en ville et j’ai toujours voulu cultiver la terre. Après avoir travaillé comme ingénieur toute ma vie, ma conjointe et moi, on a décidé de s’installer ici et de réaliser notre rêve, culti- ver des petits fruits biologiques», a expli- qué celui qui dit avoir toujours été captivé par les émissions sur la nature comme La Semaine Verte. Il propose l’autocueillette de plusieurs fruits biologiques cultivés en permaculture, c’est-à-dire avec le souci de cultiver la terre
Lalonde
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Photos fournies
La camerise reste un fruit relativement méconnu du public. Les Poirier comptent en produire une quantité appréciable avec les 6000 plants qu’ils a!rment avoir plantés dans leur domaine à Saint-Eugène.
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