DEUX FUSILLADES POUR LES HAWKS S P O R T S
GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca
notre jeu où nous sommes très structurés. Nous avons quatre lignes solides. Tout le monde contribue et nous avons un bon gardien de but. C’est un effort d’équipe complet jusqu’à présent.» Hawks contre Colts Vendredi soir dernier, au complexe sportif Robert Hartley, les Hawks ont accueilli les Colts de Cornwall. Le match s’est terminé 3-2 en faveur des Colts après une séance de tirs au but. Cornwall a ouvert le score avec un but sans riposte en première période. Les Colts ont marqué à nouveau en deuxième période en avantage numérique mais Landon Brownlee des Hawks a répliqué avec un but pour Hawkesbury, assisté par Jakson Kirk et Jeremy Tremblay. Brownlee a égalisé le score au début de la troisième période en avantage numérique, avec l’aide de Kirk et de Ryan Liverman. Aucune des deux équipes n’a été en mesure de concrétiser les occasions de marquer pendant le temps supplémentaire. John Richer a tiré le point gagnant pour Cornwall lors de la fusillade. «Nous sommes sortis un peu à plat et déconnectés, a déclaré l’entraîneur Lavigne, au sujet de la performance des Hawks contre les Colts. En troisième période, nous avons
Tout s’est joué sur le joueur de l’équipe qui a le mieux visé, lors d’une fusillade au cours du dernier weekend de hockey junior A à Hawkesbury. «Une fusillade est une compétition d’habileté, a déclaré l’entraîneur des Hawks, Charles Lavigne, lors d’une entrevue télépho- nique lundi. Ceci étant dit, nous allons travail- ler sur nos tirs de barrage (compétences).» Les derniers matchs d’octobre au calen- drier des Hawks de Hawkesbury se sont terminés par des séances de tirs de barrage entre les Hawks et les Colts de Cornwall, vendredi dernier, et avec les Lumber Kings de Pembroke, dimanche. Les deux équipes adverses ont remporté la victoire grâce à leurs buts en fusillade, à la suite de matchs qui se sont terminés par des scores égaux à la fin des troisièmes périodes et qui sont restés égaux après la prolongation. L’entraîneur Lavigne s’est dit très satisfait de la performance des Hawks au cours des deux premiers mois de leur calendrier de saison régulière. «Je pense que nous avons une excellente équipe, a-t-il dit. Ces gars forment un groupe assez soudé et cela se traduit bien dans
À la fin de leur calendrier d’octobre, les Hawks de Hawkesbury ont terminé leurs matchs par des séances de tirs de barrage contre les Colts de Cornwall, puis les Lumber Kings de Pembroke. Les deux sessions se sont terminées avec des des victoires pour les équipes adverses. —photo Gregg Chamberlain
La Seigneurie, Centre de généalogie et d'histoire de Hawkesbury
Né F d’une race
repris le feu et le contrôle.» Les Hawks contre les Lumber Kings Dimanche soir, les Hawks étaient à Pem- berton pour affronter les Lumber Kings. Ce match s’est également terminé en fusillade pour donner une victoire de 4 à 3 aux Lumber Kings. Pembroke a ouvert le tableau avec un but sans riposte en première période. Au cours de la deuxième période, les Hawks ont pris le contrôle du match en marquant trois buts, ce qui a permis à Pembroke d’inscrire un point de plus au tableau. Les Lumber Kings ont ensuite égalisé le score en troisième période. Les marqueurs pour Hawkesbury étaient Ryan Liverman, avec l’aide de Kirk et Thomas
Beaudoin, Bradley Horner, asssité par Nicholas Brennan et Felix Sauvé, et Aidan Stubbings, avec l’aide de Sauvé et Liverman. Les Lumber Kings ont remporté la victoire lors de la séance de tirs de barrage. «Nous avons joué un excellent match de route du début à la fin, a déclaré l’entraîneur Lavigne. Nous avons joué contre un gardien de but très fort pour Pemberton.» Les Hawks accueillent les Canadiens juniors d’Ottawa ce vendredi au complexe sportif Robert Hartley. Ils se rendent à Cor- nwall le 10 novembre pour une revanche contre les Colts, puis reviennent à la maison le 11 novembre pour accueillir les Grads de Navan.
ière
SARRAZIN
François-Bernard Côté, membre de La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, rend hommage aux ancêtres maternels de Gilles Ouimet. Le premier ancêtre en Nouvelle-France est Nicolas Sarrazin, fils de Nicolas et Nicole Héron. Quatre fils et une fille sont issus de ce mariage.
GÉNÉRATIONS
10e Gilles Ouimet 9e Rita Sarrazin - Robert Ouimet, m. le 1951-10-20 à Saint-Denis, Montréal 8e Raoul Sarrazin – Héléna Martin, m. le 1925-11-28 à l’Immaculée-Conception, Montréal 7e (Adolphus) Delphis Sarrazin – Olivine Le Duke, m. le 1899-06-27 à Saint-Victor, Alfred, Ont. 6e Charles Sarrasin – Elmire Leroux, fille de Joseph et Euphrosine Alain, m. le 1845-01-27 à Saint-Benoît, Qc 5e François Sarrazin (1779-1853) – Catherine Brunet (1791-1864), fille d’Eustache et Catherine Théorêt, m. le 1807-01-26 à Saint-Benoît, Qc 4e Toussaint François Charles Sarrazin (1757-1820) – Marie Reine Ouimet (1756-1838), m. le 1777-02-10 à Saint-Louis, Terrebonne, Qc 3e François Sarrazin (1717-1782) – Marguerite Benoit (1721- 1801), fille de François Benoit/Livernois et Marie Angélique Chagnon, m. le 1742-04-03 à Saint-François-Xavier, Verchères, Qc 2e François Sarrazin (1692-1748) – Marie Goulet (1693-…), fille d’Antoine et Marie Madeleine Guyon, m. le 1713-05-02 à L’Ange-Gardien, Qc 1re Nicolas Sarrazin (~1655-1680) – Marie Catherine Blondeau (1664-1728), fille de François et Nicole dite Gabrielle d’Assonville Rolland des Pelleteaux c. de m. le 1680-04-02 (greffe Gilles Rajotte), m. le 1680-04-23 à Saint-Charles, Charlesbourg, Qc Lors de leur mariage en 1680, Nicolas et Catherine l'ignorent, mais ils vivent au début de l’Âge d’or de la Nouvelle-France. Dès 1627, le cardinal de Richelieu cherche à peupler la colonie et à développer son économie. Avec l’arrivée au pouvoir en 1661 de Jean-Baptiste Colbert, homme de confiance de Louis XIV, la colonie prend véritablement son envol. La colonie passe alors sous le contrôle direct du roi. Soucieux de pacifier les Iroquois qui déstabilisent la colonie par leurs attaques, Colbert envoie le Régiment de Carignan-Sallières en 1665 pour sécuriser la colonie et favoriser son peuplement. À la même époque, dès 1663, la France envoie en Nouvelle-France, les Filles du Roy, des veuves et surtout des femmes célibataires, pour promouvoir les mariages à des colons et favoriser l’accroissement de la population. La nomination en 1665 de Jean Talon comme intendant et représentant du roi en Nouvelle-France complète les efforts de revitalisation de la colonie qui ne cesse de progresser jusqu’à la chute de Québec en 1759.
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