COMMUNAUTÉ
OPINION
50 ans de mariage
“Plus nous avançons dans Grenville sur la Rouge, plus c’est pareil”
À l'éditeur, Mardi le 10 janvier dernier, les citoyens et citoyennes de Grenville sur la Rouge ont, à nouveau, été témoins de la discorde qui se joue lors de la tenue des séances du conseil de leur municipalité. Toujours les mêmes conseillers et la même conseillère jouent avec la population en répétant les mêmes tactiques, c’est-à-dire : · Votercontrelamajoritédesdemandes émanant du maire Saywell… · S’assurer de maintenir la discorde en faisantétat,etcedefaçonéhontée,d’unescission au conseil… · En tenant des rencontres secrètes, confidentielles et en excluant le maire Saywell etenrefusantdel’entretenirdessujetsdiscutés… · Qui plus est, en refusant systématiquementdeparler,discuter,planifier, quoique ce soit avec le maire Saywell… Cette façon de faire, ce comportement porte la signature du conseiller Noël Baril et de la conseillère Diane Monette. Alors que tout conseil municipal se doit de travailler ensemble et en équipe, ici à Grenville sur la Rouge, on critique, on blâme et on fait tout pour diviser. On applique l’adage « diviser pour mieux régner ». Toujours à cette réunion, les citoyens et citoyennesonteudroitd’entendrelalecture de la démission du conseiller Daniel Gauthier, en tant que président d’un comité important (comité de la sécurité
publique) et du comité des loisirs, voir même que, le comité de sécurité publique, est en importance égale au comité de finance. Cette démission est « La cerise sur le gâteau ». Bravo les mousquetaires. Vous avez réussi à tasser quelqu’un de travaillant, d’intègre et respectueux de son mandat de conseiller. Je me retiens de dire ce que je pense de vos actions concertées et dessinées par le conseiller Baril et la conseillère Monette. Allons-nous devoir vivre et subir ce non respect de la population encore deux ans? Je souhaite ardemment un mouvement de rébellion venant de la population, pour donner fin à cette situation. Et je termine avec une question. Un citoyen s’adressant au conseiller Baril, lui demandant à quel moment l’entreprise Véo respecterait les versements promis pour l’amélioration du chemin de la Rivière Rouge? À cette question, le conseiller Baril répondait que ce n’était pas l’endroit ni le moment pour y répondre. Pourquoi? Cette question est légitime et relève du domaine public. De plus, pourquoi le conseiller Baril a- t-il quitté avant la période de question? « Poser la Question c’est d’y répondre ». Raymond LaRose , Citoyen de Grenville sur la Rouge
Utilisation autorisée Lorsd'unevisiteauClubd’Âged’Or50deHawkesbury,lemaireRenéBerthiaume remetuncertificatdefélicitationsàGaétanetMoniqueLascellesàl’occasionde leur50 e anniversairedemariage.
Auditions Cercle Gascon II
Le Cercle Gascon II fait passer des auditions ce vendredi à 19 h, pour sa prochaine production. Cette compagnie de théâtre de Hawkesbury est à la recherche de comédiens, quatre hommes et quatre femmes pour la pièce Wanabago Blues d’Isabelle Hubert qui sera présentée au printemps. La rencontre se tient au 151, rue Principale est à Hawkesbury, au sous- sol de l’arcade Assaly. Pour plus de renseignements, visitez le :www.theatrecerclegascon.ca.
La Coalition de Prescott-Russell pour éliminer la violence faite aux femmes présente le dernier des cinq articles qui ont débuté lors des journées d’action pour l’élimination de la violence faite aux femmes et de commémoration du 6 décembre. L’information publiée provient de la Campagne Voisin-es, Ami-es et Famille dont l’objectif est de sensibiliser les membres des collectivités pour que chacun et chacune apprenne à connaître et à reconnaître les signes avertisseurs de la violence faite aux femmes. Les enfants ne parleront pas nécessairement de la violence dont ils ont été témoins, mais on peut reconnaître quelques signes avertisseurs. Bien que les enfants soient en général dotés d’une grande capacité de résilience, et que certains ne montrent que peu d’effets négatifs à court ou à long terme après ce type d’expérience, tous les enfants qui sont exposés à la violence faite aux femmes courent des risques plus élevés de subir par la suite des actes de violence ou de mauvais traitements. L’agresseur peut se servir des enfants et des adolescent-es comme stratégie pour contrôler ses victimes adultes. Il peut par exemple : Prétendre que la mauvaise conduite des enfants est la raison de sa violence envers leur mère; menacer, en présence de la victime, de recourir à la violence envers les enfants et leurs animaux domestiques; garder les enfants en otages ou les enlever en vue de punir leur mère ou d’obtenir son obéissance; leur parler de leur mère en la dénigrant. Les enfants et les adolescents et adolescentes peuvent avoir des sentiments très ambigus à l’égard de leur parent violent. L’affection peut coexister avec le ressentiment et la déception; les jeunes peuvent imiter, apprendre et adopter les attitudes et les comportements de violence à l’égard des femmes dont ils sont témoins. En conséquence, il leur arrive de recourir à la violence et aux menaces pour obtenir ce qu’ils désirent, et de croire qu’on ne risque rien en faisant du mal aux autres, que les hommes sont les maîtres et peuvent diriger la vie des femmes, et que ces dernières n’ont pas le droit d’être traitées avec respect; le fait d’être exposés à la violence peut endurcir les enfants et les adolescents face à un comportement agressif. Lorsque c’est le cas, la violence finit par devenir « normale » et ne leur apparaît plus comme un signe inquiétant. Que faire si vous avez la possibilité de parler en toute sécurité à une mère, de son enfant ou de ses enfants, quel message devrez-vous lui transmettre? Le principal message à transmettre à une mère consiste à lui exprimer votre préoccupation à l’égard de sa sécurité et de celle des enfants. Vous assurer de ne pas lui faire de reproches ou de la culpabiliser quand vous lui parlez des effets que la violence faite aux femmes peut avoir sur les enfants. Il peut être utile de réfléchir avec la mère à d’éventuels moyens d’atténuer l’impact négatif sur les enfants. Vous pourriez aborder les points suivants lorsque vous discutez avec elle: Souligner qu’il est essentiel de fournir aux enfants la possibilité d’exprimer leurs sentiments en toute sécurité. Lui expliquer qu’elle pourrait essayer de leur donner des exemples de différents sentiments (le bonheur, la tristesse, la frustration, la peur, etc.), des moyens appropriés d’exprimer ces sentiments, ainsi que des méthodes permettant de les reconnaître chez les autres; employer des mots neutres en parlant du comportement de ses enfants et non des mots qui portent un jugement, comme « bon », « mauvais », « pas gentil », etc.; insister sur l’importance d’établir un plan de sécurité pour elle et pour ses enfants; lui suggérer de donner certaines responsabilités aux enfants. La possibilité de faire des choix et prendre une décision renforce leur estime de soi et leur sentiment de maîtriser la situation; lui suggérer de ne pas diaboliser ou critiquer le parent agresseur. Ceci peut troubler les enfants et leur donner l’impression de manquer de loyauté.
Utilisation autorisée Lors de la campagne des Anges de Noël du Club Optimiste de Hawkesbury, la Banque Scotia a remis un don de 5 864 $. Sur la photo : La présidente du club Optimiste, Denise Bougie, Suzanne Timbers, Michelle Beaulne, Lucie Aubry, Claudine Lalonde de la Banque Scotia, et Roger Champagne, responsable de la campagne.
38 500 copies
Bertrand Castonguay , President, bertrand@eap.on.ca Roger Duplantie , D.G. / G.M., roger@eap.on.ca François Bélair , Sales & Development, fbelair@eap.on.ca Yvan Joly , Sales director (Hawkesbury), yvan@eap.on.ca
François Leblanc , Directeur (Lachute), francois.leblanc@eap.on.ca Gilles Normand , Production & Distribution Mgr., gilles@eap.on.ca Julien Boisvenue , Layout & Prepress Mgr., julien.boisvenue@eap.on.ca
Publié le vendredi par/Published on Friday by : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par/Printed by: Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON Bureau Hawkesbury Office: 1100, rue Aberdeen St., Hawkesbury, ON Tel.: 613 632-4155 • Fax.: 613 632-8601 • 1 800 267-0850 Bureau Lachute Office : 52, rue Principale St., Lachute, QC J8H 3A8 Tel.: 450 562-8593 • Fax.: 450 562-1434 • 1 800 561-5738 # convention : 0040012398 Toute reproduction du contenu est interdite à moins d’autorisation écrite au préalable. No content may be reproduced without prior written permission.
Information : Fem’aide 1 877 336-2433, Centre Novas 1 866-772-9922, Maison interlude House 1 800 267-4101 ou Valoris 1 800 675-6168 Afin d’obtenir de l’aide pour les enfants exposés à la violence faite aux femmes, ou en savoir davantage contacter
www.voisinsamisetfamilles.on.ca
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