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VOLUME 73 • NO. 13 • 16 PAGES • HAWKESBURY, ON • JEUDI 4 AVRIL 2019

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PORTRAIT

Saint-Joseph de Russell, elle revient enseigner en septième et huitième année à Embrun. Mais un autre défi l’appelait. Le directeur d’alors, Robert Surprenant, l’encourage pour qu’elle fasse samaîtrise. Elle aurait droit à une bourse et à une année sabbatique. Cela lui permettrait ensuite d’aller suivre son cours de surin- tendant. « Je me suis dit pourquoi pas, je pourrais changer des choses si j’étais à la direction. » Pendant un an, elle redevient une étu- diante à temps plein, en counseling, à l’Université d’Ottawa. « J’ai vécu un choc quand je suis revenue à l’enseignement. J’étais convaincue que je pouvais faire autre chose. J’avais tout fait dans l’ensei- gnement. Je ne pouvais pas donner plus. Et si rien ne se passe, je deviens tannante », raconte-t-elle en riant. Le directeur lui conseille, une fois de plus, de suivre son cours de direction à Sudbury. Ce qu’elle fit pendant deux étés. Elle postule ensuite pour le poste de coor- donnatrice des programmes, au Conseil des écoles catholiques de l’Est ontarien, à L’Orignal, où elle obtient le poste. Lise Bourgeois a été surintendante res- ponsable du développement pédagogique des écoles élémentaires et secondaires du Conseil. Ensuite elle a été nommée direc- trice associée de l’éducation au CSDCEO, un poste créé juste pour elle. Et, de 2003 à 2010, Mme Bourgeois a été à la tête du plus grand conseil scolaire de langue française, soit le Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE). En 2010, elle reçoit un appel d’un chas- seur de têtes qui lui offre le poste de directrice du plus grand collège franco- phone de l’Ontario, en remplacement de la bâtisseuse Andrée Lortie qui annonçait sa retraite. Aujourd’hui, elle en est la pré- sidente directrice générale. « Il me reste encore beaucoup de choses à faire au collège. Ma plus belle réussite jusqu’à maintenant, se rappelle-t-elle, a été le changement de culture sur le rôle que nous jouons auprès des étudiants au collège. J’y ai ancrémes valeurs, et je suis convaincue que chacun d’eux est un talent pur. Dans la francophonie, chaque talent en est un qui mérite d’être développé. Et mon rôle est de justement développer chaque talent. » Une autre de ses nombreuses réalisa- tions, est d’avoir maintenu la formation en français en agriculture dans l’Est ontarien, au collège. De cela, elle dira qu’elle en est très fière. Lorsque Lise Bourgeois entendra, ou sentira, qu’elle et son équipe ont fait une différence auprès des étudiants franco- phones, ce sera mission accomplie. Pour l’heure, elle n’est pas prête à partir, trop de choses restent encore à réaliser. « Quand on est francophone en Ontario, on est voué à être meilleur et à se surpasser. Aller au bout de ses rêves, créer de belles choses et faire une différence. Voilà ce que je vais continuer de faire à La Cité. » « QUANDON EST FRANCOPHONE ENONTARIO, ON EST VOUÉ À ÊTRE MEILLEUR ET À SE SURPASSER »

Lise Bourgeois. — photo Annie Lafortune

LISE BOURGEOIS, UNE VIE BIEN REMPLIE

ANNIE LAFORTUNE annie.lafortune@eap.on.ca

On lui a toujours inculqué de ne pas avoir peur de la tâche, de travailler fort, d’essayer. « Ils nous ont toujours dit d’être audacieux et ambitieux. Je les entends encore : allez, essaie! Si tu n’as pas de projet, tu n’avances pas », se souvient-elle. Pour ses sœurs et son frère, Lise était la maîtresse d’école structurée qui aimait apprendre, qui était curieuse. C’est sûrement pour cette raison qu’à la fin des années 1960, à 16 ans, après avoir terminé son secondaire à Embrun, elle quitte le nid familial pour se diriger en éducation à l’Université d’Ottawa. Elle en ressortira deux ans plus tard avec un certificat d’enseignante en poche. À l’âge de 18 ans, en 1970, elle obtient son premier poste pour enseigner à la deuxième année primaire, à l’école Saint- Jean d’Embrun. La même année, elle se marie et prend le nomde Bourgeois. Deux ans plus tard, elle donne naissance à sa première fille. La seconde fille du couple viendra agrandir la famille en 1975.

« Cette année-là, j’avais besoin de prendre du recul avec ma profession. Je ne suis pas revenue à l’enseignement à temps plein. » Elle accepte donc un poste à temps partiel à l’école Saint-Joseph de Russell, pour donner des cours chez les grands. « Je suis une personne qui ne peut pas faire la même chose longtemps. J’avais fait le tour chez les petits. J’avais fait mon œuvre. Avec les grands, je pouvais créer plein de projets dans la communauté et ailleurs. Je les ai amenés, par exemple, à Québec, dans le cadre des cours d’histoire. Je sentais que j’apportais beaucoup en épanouissement. Je les ai également fait participer au concours d’art oratoire. Il y avait une belle francophonie à Russell », se rappelle-t-elle. Finalement, Lise restera en poste à Russell pendant 12 ans. Lorsque l’Université d’Ottawa crée le programme pédagogique, formation des maîtres, Mme Bourgeois s’inscrit au BAC et obtient son diplôme. Après avoir passé 12 ans à l’école

Elle vient de recevoir le prix de l’Ordre de la francophonie de Prescott-Russell. Elle est présidente et directrice générale de La Cité. Lise Bourgeois n’a jamais cessé d’aller au bout de ses rêves et de les atteindre. Retour sur la vie de cette Franco-Ontarienne. La petite Lise Patenaude naît dans les années 1950, à Embrun. Deuxième d’une fratrie de six enfants, c’est dans l’amour et le respect des belles valeurs qu’elle, ses quatre sœurs et son frère grandissent. Les parents gèrent la ferme laitière familiale et les enfants mettent la main à la pâte. « On a beaucoup travaillé sur la ferme, raconte-t-elle. C’est là qu’on a appris à tra- vailler fort. Nos parents nous disaient que tout lemonde devait travailler ensemble, faire sa part, c’était important. On est une famille tricotée serrée, et on a beaucoup profité de grandir sur une ferme. »

COLLECTIVITÉ

LA SOCIÉTÉ SAINT-JEAN- BAPTISTE DE MONTRÉAL HONORE YVES SAINT-DENIS

ALEXIA MARSILLO alexia.marsillo@eap.on.ca

en arts, docteur en philosophie, en lettres françaises, spécialiste en histoire et titu- laire de plusieurs brevets professionnels, certificats et diplômes en éducation. Professeur de carrière, M. Saint-Denis a aussi servi comme conseiller scolaire et membre de plusieurs autres organismes d’affaires franco-ontariens. Il a été président fondateur de la régio- nale de l’Association des enseignants franco-ontariens (AEFO), président fon- dateur de l’ACFO régionale et président de l’Association canadienne-française de l’Ontario (ACFO). Il était aussi président de la Section Ludger-Duvernay de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal. M. Saint-Denis est l’auteur d’une thèse de doctorat de 1526 pages sur l’historien national des Canadiens français, Lionel Groulx, et il est récipiendaire de sept distinctions majeures, dont deux prix littéraires, l’Ordre des francophones d’Amérique, le Prix Séraphin-Marion de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, la Médaille Bene Merenti de Patria, l’Ordre de la francophonie et fut aussi le premier grand lauréat, toutes catégories confon- dues, de la première demi-finale de la Dictée des Amériques en 1994. « Au nom de ses enfants, ses petits-en- fants et ses deux arrière-petits-enfants, on a un héritage puissant et exceptionnel qu’on porte avec nous dans nos cœurs, alors on dit un très grand merci à Yves Saint-Denis », a déclaré le fils de M. Saint- Denis, Félix Saint-Denis.

Lors de son allocution Yves Saint-Denis a pris le temps de remercier individuellement de nombreuses personnes présentes et aussi plusieurs gens avec qui il a travaillé au cours de sa sa vie. —photo Alexia Marsillo

La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal a remis la médaille Bene Merenti de Patria à Yves Saint-Denis, lors d’une cérémonie à Chute-à-Blondeau. Plusieurs membres de la Société Saint- Jean-Baptiste de Montréal, des membres de la famille et des amis d’Yves Saint-Denis ainsi que de nombreuses personnes de la communauté franco-ontarienne se sont rassemblés le jeudi 28 mars dernier chez M. Saint-Denis, à Chute-à-Blondeau, pour l’honorer. « C’est la plus haute distinction de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, a déclaré le président de la société, Maxime Laporte. C’est lamédaille Bene Merenti de Patria, celle d’argent – réservée à nos plus illustres compatriotes. » M. Saint-Denis à déjà reçu la médaille Bene Merenti de Patria bronze en 1989. Avant la présen- tation de la médaille à M. Saint-Denis, M. Laporte a énuméré ses nombreuses réalisations. Lors de son allocution, M. Saint-Denis a pris le temps de remercier individuel- lement les nombreuses personnes pré- sentes et aussi plusieurs gens avec qui il a travaillé au cours de sa vie. « Merci à vous tous, merci, merci », s’est-il exclamé. Né à Chute-à-Blondeau en 1941, M. Saint-Denis est bachelier es arts, maître

Vidéo

Présent

Venez célébrer notre anniversaire! 75 e

Avis de convocation Aux sociétaires et aux actionnaires de la Caisse populaire d’Alfred Limitée

Vous êtes convoqués à l’assemblée générale annuelle et extraordinaire.

Mardi 9 avril 2019

Heure : 19h (souper servi à 17h30)

Date :

Prix de présence

Salle des Chevaliers de Colomb 520, rue St-Philippe, Alfred

Lieu :

Lors de cette assemblée, les sociétaires seront entre autres invités à :

5. déterminer la somme à affecter au Fonds d’aide au développement du milieu; 6. délibérer sur toute autre question relevant de l’assemblée générale annuelle. Les sociétaires et les actionnaires devront adopter des résolutions extraordinaires pour: • modifier les statuts de la Caisse et les Règlements administratifs afin de modifier la valeur des parts sociales de 10$ à 5 $ et de permettre à la Caisse de rembourser les sommes excédentaires aux sociétaires; • modifier les statuts de la Caisse afin de permettre le rachat des «Actions privilégiées de catégorie A» en tout temps par la Caisse; • modifier le capital déclaré de la Caisse.

1. approuver le procès-verbal de la dernière assemblée générale annuelle et le procès- verbal de l’assemblée générale extraordinaire concernant la convention de fusion; 2. prendre connaissance des états financiers vérifiés pour l’exercice clos le 31 décembre 2018 et des rapports du vérificateur et du comité de vérification, ainsi que les autres renseignements sur la situation financière de la Caisse. Une copie des différents rapports pourra être obtenue à l’assemblée ou aux bureaux de la Caisse 10 jours avant la tenue de l’assemblée générale annuelle; 3. nommer le vérificateur de la Caisse ainsi que celui de la Caisse Desjardins Ontario Credit Union Inc. pour l’année 2020; 4. élire des administrateurs au conseil d’administration de la Caisse;

Élection au conseil d’administration

Nombre de postes à combler : 3

Cette candidate a produit la Divulgation des intérêts selon les exigences de la Loi de 1994 sur les caisses populaires et les credit unions (art. 94.1) et signé un consentement aux enquêtes de sécurité et de crédit permettant à la Caisse de déterminer si la candidate répond aux critères d’éligibilité prévus par la Loi.

Candidature reçue : Réjeanne Lévesque

Tous les sociétaires et actionnaires de la Caisse sont cordialement invités à participer à cette assemblée.

Yves Saint-Denis a reçu la médaille Bene Merenti de Patria par Maxime Laporte, le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. —photo Alexia Marsillo

Signé le 11 mars 2019 Eric Martin, secrétaire

COLLECTIVITÉ

LA NATION REMERCIE SES BÉNÉVOLES

La Municipalité de La Nation a tenu à remercier ses bénévoles le 23 mars dernier, lors d’une soirée qui se tenait à Saint-Albert. Un résident de chaque quartier a été nommé bénévole de l’année. On voit, de gauche à droite, les récipiendaires accompagnés du conseiller municipal de leur quartier : la bénévole pour le quartier 3 (groupe communautaire de Saint-Albert), Louise Cayer-Deslauriers, le conseiller du quartier 3 Danik Forgues; le conseiller du quartier 2, Alain Mainville, le bénévole pour le quartier 2, Roger Bourgon; la bénévole du quartier 1, Alice Vallée, la conseillère du quartier 1, Marie-Noëlle Lanthier; la bénévole pour le quartier 4, Stéphanie McLeod, et le conseiller du quartier 4, Francis Brière. « C’est grâce à des bénévoles comme eux que les résidents de La Nation peuvent participer à une variété d’évènements tout au long de l’année », a dit le maire François St-Amour. —photo fournie AU SERVICE DE LA COMMUNAUTÉ PROFESSIONNELS

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THE NEWS

Le 23 mars dernier, l’École élémentaire catholique Saint-Grégoire de Vankleek Hill, en partenariat avec Garderie Champlain, a offert une activité de Bric-à-Brac pour les enfants de la région de Champlain et leurs parents. Le Bric-à-Brac a comme but d’offrir un environnement rempli de matériaux polyvalents où les petits peuvent développer leur plein potentiel tout en s’amusant avec leurs parents. L’École élémentaire catholique Saint-Grégoire de Vankleek Hill a récemment terminé des travaux de rénovation de l’ordre de 3,6 millions de dollars qui comprennent entre autres, la construction d’un nouveau gymnase. —photo fournie

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LE LIEN COMMUNAUTAIRE

LETTRE À L’ÉDITEUR

LA PRESSE COMMUNAUTAIRE EN SITUATION MINORITAIRE LAISSÉE POUR COMPTE DANS LE BUDGET FÉDÉRAL 2019

LE CLUB AMITIÉ SANS FRONTIÈRES GRENVILLE

Le Club Amitié sans frontières Grenville organise une sortie, lemercredi 10 juillet, pour la pièce de théâtre “Broue” au théatre du Vieux Terrebonne à Terrebonne. Les places sont limitées. Info et réservation: Jacinthe Berniquez au 819-242-1963 ou Marie-Claire Champagne au 819-242-2622. FILLES D’ISABELLE Le lundi 8 avril à 19 h 30 aura lieu la réu- nion mensuelle des Filles d’Isabelle de L’Orignal à la sacristie de l’église. Il y aura une vente de pâtisseries à l’église avant ou après les messes, le samedi 11 mai à 16h30 et le dimanche 12mai à 9h30. Info: Chantal au 613-675-1289. L’ASSOCIATIONDE L’ARTISANAT DEHAWKESBURY Réunion des membres le mercredi 10 avril 2019, au sous-sol de l’église Saint- Pierre-Apôtre à 13h30. Informations sur l’ostéoporose. SOUPER SPAGHETTI GRENVILLE Souper spaghetti du Club de p ê che de Grenville-Harrington, le 13 avril, 17h à 19h, au Centre communautaire de Grenville. Information : Denis Bouchard au 613-677-8806. BÉNÉDICTIONDES TRACTEURS La bénédiction annuelle des tracteurs et des semences aura lieu le 14 avril, à 10 h, à Saint-Isidore. Organisée par les Chevaliers de Colomb de Saint-Isidore-Fournier (6237), le défilé de tracteurs partira de la Coopérative AgriEst sur la rue Sainte- Catherine et se rendra à l’aréna Saint- Isidore pour la cérémonie de bénédiction, suivie d’unemesse dans la salle de l’aréna. Pour obtenir de l’information, téléphonez à Richard Charlebois au 613-524-2311 ou à Claude Levac au 613-524-2068. CLUB DE BRIDGE 50 Club de Bridge 50 à Hawkesbury à comp- ter du 17 avril, à la salle communautaire du Complexe Sportif Robert Hartley, les soirs à 19 h. RECHERCHE DE BÉNÉVOLES La Friperie Kazi9 de la Banque alimentaire d’Alfred est à la recherche de bénévoles pour assurer un service courtois et adé- quat à sa clientèle, les jeudis et samedis. Les intéressés sont priés d’envoyer un courriel à banque.alimentaire.alfred@ gmail.com. CLUB DE BRIDGE Rencontre le mercredi à 18h45 à La Légion canadienne, 152, rue Nelson, Hawkesbury. DINERS COMMUNAUTAIRES Organisé par les Services communau- taires de Prescott et Russell pour les gens de 55 + L’Orignal (le premier jeudi dumois), Saint-Eugène (le premier mardi du mois), Chute-à-Blondeau (le troi- sième mardi du mois), Sainte-Anne-de- Prescott (le quatrième mardi du mois) et Vankleek Hill (le quatrième jeudi dumois). Conférences, prix de présence et autres activités. Réservation : 613-632-0939.

L’honorable Joly, ministre duTourisme des Langues officielles et de la Francophonie, L’honorable Pablo Rodriguez, ministre du Patrimoine canadien et du Multiculturalisme, Madame la ministre, Monsieur le ministre, L’Association de la presse francophone (APF) et Quebec Community Newspapers Association (QCNA) attendaient le dépôt du Budget 2019 du gouvernement fédéral avec beaucoup d’espoir. Depuis 2016, l’APF et QCNA ont partagé leurs attentes avec le gouvernement, afin que les journaux de nos communautés de langues officielles en situationminoritaire (CLOSM) puissent continuer de protéger la démocratie et servir l’intérêt public au sein de leurs communautés respectives. Les mesures proposées dans votre budget pour le Soutien au journalisme canadien démontrent que le gouvernement n’a pas tenu compte des journaux canadiens les plus vulnérables, ceux qui desservent les CLOSM dans les 10 provinces et 3 terri- toires du Canada. Les critères d’admissibi- lité proposés pour une organisation jour- nalistique canadienne admissible (OJCA) ne tiennent pas compte des besoins et des réalités des plus petits journaux de nos CLOSM. En raison des décisions prises par le gouvernement fédéral dans la dernière décennie, notamment la quasi-disparition de la publicité fédérale dans les médias des CLOSM, la majorité de nos journaux ont été contraints d’adapter leur modèle d’affaire en diminuant le nombre de jour- nalistes. Or, pour être considéré une OJCA et être admissible au crédit d’impôt, le média doit employer aumoins deux jour- nalistes à aumoins 26 heures par semaine. Le média ne pourra pas non plus avoir accès au crédit d’impôt s’il bénéficie déjà d’une subvention du programme Aide aux éditeurs du Fonds du Canada pour les périodiques. Ces critères disqualifient plusieurs de nos journaux, deux fois plutôt qu’une. Pourtant, la partie VII de la Loi sur les langues officielles (LLO) oblige les insti- tutions fédérales à appliquer, lorsqu’ils développent des programmes et services, des critères qui tiennent compte des réa- lités et des besoins des CLOSM. Les médias communautaires jouent un rôle essentiel dans le développement et l’épanouissement des CLOSM et sont souvent la seule source d’information écrite de langues officielles en situation minoritaire de toute une province ou un territoire. Le rapport du Comité perma- nent du patrimoine canadien (juin 2017) en fait d’ailleurs éloquemment foi. Les conclusions du rapport final d’enquête Mélanie

du Commissariat aux langues officielles (juin 2017), abondent dans lemême sens. Si le Plan d’action pour les langues offi- cielles 2018-2023 nous proposait un cer- tain appui pour mieux desservir les CLOSM en matière de journalisme civique, les mesures ne répondent que partiellement aux besoins criants de nos journaux, qui malgré leurs efforts soutenus n’arrivent pas à couvrir les pertes substantielles des dix dernières années. À ce stade-ci, le statu quo n’est pas accep- table puisqu’il fera en sorte que les plus vulnérables seront moins bien servis et que certains de nos médias ne survivront pas. Nous communiquerons avec votre

bureau dans les prochains jours pour obte- nir une rencontre d’urgence afin d’iden- tifier, avec vous, des solutions gagnantes pour veiller à ce que le gouvernement respecte ses obligations en vertu de la par- tie VII de la LLO et permette aux journaux communautaires de langues officielles en situation minoritaire de profiter des mesures positives de Soutien au jour- nalisme canadien annoncées dans votre budget cette semaine. –Francis Sonier, président de l’Association de la presse francophone et Lily Ryan, présidente inté- rimaire Quebec Community Newspapers Association.

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DOSSIER

NICOLE BEAUCHAMP : DU SKI PLEIN LA SEMELLE

FRÉDÉRIC HOUNTONDJI frederic.hountondji@eap.on.ca

exceptionnelle pour la neige parce qu’on a commencé tôt à avoir de la belle neige, dès novembre. Dans la soixantaine, elle passe au quotidien six heures dehors dans le froid. La journée de travail démarre à 8h30 sur les chapeaux de roue pour la régisseuse à la retraite. Elle utilise la neige pour faire plaisir à ses élèves qui viennent des quatre coins du monde, et son hiver dure du 4 novembre au début du mois d’avril. « À Saint-Sauveur, j’enseigne le ski à des gens qui commencent à skier et qui ne savent même pas mettre leur ski. J’enseigne aussi à des gens qui sont plus avancés. J’essaie de développer chez eux le plaisir de skier. Mon plaisir est de voir quelqu’un qui a peur, mais qui repart avec un sourire. Le défi d’un moniteur est de transmettre le plaisir de s’amuser dehors

Depuis 30 ans, les pieds de la Lachutoise Nicole Beauchamp ne jurent que par le ski alpin, dans lequel ils ont acquis une sacrée expertise. L’ancienne régisseuse des sports et évè- nements de la Ville de Lachute a com- mencé à faire du ski alpin au Centre de ski Lac Carling à Pine Hill, à l’âge de 30 ans. Aujourd’hui, elle en a 63. Si Nicole Beauchamp s’est lancée dans cette disci- pline un peu tard, c’était parce qu’elle avait une crainte. Celle-ci lui a donné l’énergie nécessaire pour avancer dans ce sport de glisse. « J’ai commencé à skier dans la trentaine parce que j’avais la peur et la crainte deme blesser. Alors, lorsqu’on devient moniteur ou monitrice en ayant eu ce chemine- ment-là, on est beaucoup plus prêt à aider quelqu’un qui commence à skier, parce qu’on a senti la peur, on a connu la peur, tandis que l’individu qui commence à cinq ans n’a pas peur », a estimé la sexagénaire. Après la fermeture du centre où elle pratiquait son sport préféré, à Carling Lake, elle s’est résolue à faire un pas de géant en tutoyant les cimes du ski alpin à Saint-Sauveur. « J’ai commencé par Pine Hill, jusqu’en 1997, pendant sept ans. La montagne a fermé à Pine Hill et je me suis dit, après la fermeture, que j’irais dans un plus gros centre. Jeme suis retrouvée aux Sommets Saint- Saveur en 1997. Ça fait maintenant 22 ans que je travaille pour la compagnie Sommets Saint-Sauveur », a déclaré fiè- rement Mme Beauchamp. LE FROID EST SONTRAVAIL Pour elle, 2019 est une année

« J’ai fait tous les sports pour voir ce qui me convenait le plus et c’est le ski alpin qui est demeuré la priorité », a déclaré Nicole Beauchamp. —photos Frédéric Hountondji

« J’AI FAIT TOUS LES SPORTS POUR VOIR CE QUI ME CONVENAIT LE MIEUX ET C’EST LE SKI ALPINQUI EST DEMEURÉ LA PRIORITÉ ».

lesquels on voit un pied et où on peut lire : Tout part des pieds. Malgré son amour pour le ski de piste, Mme Beauchamp ne néglige pas les autres sports. Son ancien titre de régisseur des sports et évènements lui a permis de toucher au golf, au tennis, même à l’art martial Tai-Chi-Chuan et autres. « J’ai fait tous les sports pour voir ce qui me convenait lemieux et c’est le ski alpin qui est demeuré la priorité », a tranché finalement la sexagénaire avec une éner- gie juvénile.

racontait cette fascinante aventure se lisait dans l’étincelant sourire qu’elle arborait. LE PIED La retraitée de la Ville de Lachute donne souvent un conseil à ceux qui veulent s’adonner au ski alpin : ne pas faire atten- tion à ce qui se passe au niveau de ses pieds et chercher à vaincre sa peur en des- cendant librement les pentes enneigées. « En donnant des techniques pour rassurer les gens, ils ont du plaisir à faire ça. J’ai même fait faire des petits porte-clés sur

en ski », a-t-elle lancé, les yeux rivés sur les amas de neige qui se laissaient admirer par la vitrine de la boutique de sport de son fils Simon Beauchamp. C’était là qu’elle avait choisi de recevoir L’Argenteuil pour l’entrevue, occasion aussi pour elle de souligner la flamme sportive qui a toujours dévoré son enfant. Ce dernier a avalé 5200 kilomètres à vélo, depuis Vancouver en Colombie- Britannique jusqu’à Lachute, en 36 jours. L’intensité de la joie avec laquelle lamère Publié le jeudi par : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par : Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON # convention : 0040012398

BERTRAND CASTONGUAY Président bertrand@eap.on.ca

1100, rue Aberdeen, Hawkesbury, ON K6A 1K7 Tel.: 613-632-4155 • 1-800-267-0850 Fax.: 613-632-6383

YVAN JOLY Directeur des ventes yvan@eap.on.ca

FRANÇOIS LEGAULT Directeur de l’information francois.legault@eap.on.ca

Nous invitons les lecteurs à nous faire parvenir leurs lettres qui ne doivent pas dépasser 300mots. Nous nous réservons le droit de les modifier ou de refuser de les publier. L’expéditeur doit inclure son nom, prénom, adresse et numéro de téléphone.

GILLES NORMAND Directeur de Production et Distribution gilles.normand@eap.on.ca MARCO BLAIS, CARL LALONDE Infographie et prépresse pub@eap.on.ca

Publicité : yvan@eap.on.ca

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Nouvelles : nouvelles@eap.on.ca

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PORTRAIT

LEXINE MÉNARD, UNE JEUNE ENTREPRENEURE QUI PERCE

ANNIE LAFORTUNE annie.lafortune@eap.on.ca

2018, épuisée, elle décide, après trois ans, de laisser pour quelque temps les études et de se concentrer sur son entreprise, tout en n’abandonnant pas l’idée de finir sa dernière année pour obtenir son BAC. Et elle n’a pas eu tort ! L’entreprise a fait un pas de géant. Quatre photographes et deux vidéographes travaillent pour son entreprise. « Nous faisons 400 photos shoot par année. J’ai plus de 250 clients qui viennent

Tout semble réussir pour Lexine Ménard. À seulement 21 ans, cette Embrunoise s’est bâti une solide réputation dans le monde de la photographie professionnelle grâce à sa jeune entreprise qui ne cesse de grandir. Tout commence alors qu’elle fréquente la huitième année à l’École secondaire catholique d’Embrun. « Le Comité de l’album souvenirs m’avait mise en charge de prendre des photos, a expliqué celle qui n’avait pas d’expérience solide en photographie. J’ai continué jusqu’à ma dernière année. J’étais la photographe attitrée. Je faisais ça pour le plaisir. En 11e année, j’ai eu la responsabilité de prendre les photos des finissants. » C’est en 2014 que la jeune femme démarre sa petite entreprise appelée Lexine Ménard Photographie, en créant pour commencer une page Facebook pro- fessionnelle. « Le nom est très original, a-t-elle dit en riant. Je désirais rejoindre le plus de monde possible. J’ai donc mis sur cette page les photos des finissants qui étaient intéressés à en acheter. Et, au cours de l’été, j’ai fait des séances photos pour des familles, des bébés, etc. J’ai fait beaucoup de publicité aussi sur Kijiji. J’ai eu de belles occasions et d’autres plutôt étranges », s’est-elle amusé à raconter. Son premier contrat de photos de ma- riage, elle l’obtient le 31 décembre 2014. « C’était pas facile à 17 ans. Les gens me trouvaient trop jeune, ils avaient peur de

« MA VIE A PRIS UN VIRAGE À 360 DEGRÉS DEPUIS JUIN 2018. TOUT A EXPLOSÉ. C’EST DEVENU ÉNORME ! »

d’Embrun, de Russell, de Casselman, de Saint-Albert, de Limoges. En fait, tout l’Est ontarien, c’est mon p’tit monde », a-t-elle lancé, reconnaissante. Son entreprise va tellement bien que la jeune entrepreneure a des réservations pour des photos de mariage jusqu’en 2021 ! « On va travailler tous les samedis, dumois de juin aumois de novembre, en plus des autres contrats », a-t-elle confié. En octobre 2018, Lexine se voit deman- der, par des clients qui connaissent son talent, de partir avec eux en Irlande pour photographier leur mariage qui avait lieu dans un château. « Les gens sont contents de m’amener avec eux. Ils me connaissent, connaissent mon travail, ils savent quel produit ils recevront à la fin. » Le talent de Lexine l’a également amenée, la même année, au Mexique et trois fois en République Dominicaine, toujours pour des mariages. Les idées foisonnent toujours dans sa tête. Elle vient d’ailleurs de se lancer dans un nouveau projet et a créé une entre- prise-sœur appelée Lexibooth. « C’est une machine ultra moderne appelée photo booth, et j’ai investi dans l’achat de cinq appareils d’une compagnie basée en Californie. Son ancêtre, c’est le photoma- ton, machine dans laquelle on s’assoyait et on se faisait prendre en photo. Mais celles d’aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec ça. Elles ont des écrans interactifs et sont plus petites. C’est extrêmement moderne. On se déplace avec lamachine, louée par des clients dans des soirées et des événements spéciaux. Ils s’amusent vraiment car ils choisissent le thème de la photo et peuvent l’avoir immédiatement. Pas besoin d’attendre. » Lexine revient tout juste de Californie. Elle y avait été invitée pour rencontrer les dirigeants de la compagnie américaine d’où proviennent ses cinq appareils. « Ils voulaient absolument faire une entrevue

Aujourd’hui, Lexine vit de son art, et elle est resplendissante parce qu’elle fait ce qu’elle aime. L’année prochaine, elle devrait s’envoler vers Las Vegas et Los Angeles, où elle donnera quelques conférences. — photo fournie

avec moi, qui est d’ailleurs sortie cette semaine, parce que je suis la plus jeune de leur cliente, et c’est rare qu’une entreprise comme lamienne prenne rapidement de l’expansion. Ils ont été impressionnés. J’y suis donc allée 10 jours. C’était des petites vacances mêlées au travail. C’était super ! », s’est-elle exclamé. Aujourd’hui, Lexine vit de son art, et elle est resplendissante parce qu’elle fait ce qu’elle aime. Mais quels sont ses plans pour 2020 ? « J’aime beaucoup parler en public, alors j’aimerais vraiment être

conférencière, c’est mon rêve. J’aimerais parler demon aventure à de jeunes futurs entrepreneurs, aux jeunes en général, et les aider à réussir. » Lexine a de grandes chances de voir son rêve se réaliser puisque l’année prochaine, elle devrait s’envoler vers Las Vegas et Los Angeles où elle donnera quelques conférences. « Ma vie a pris un virage à 360 degrés depuis juin 2018. Tout a explosé. C’est devenu énorme ! », a-t-elle conclu, radieuse.

« C’ÉTAIT PAS FACILE À 17 ANS. LES GENSME TROUVAIENT TROP JEUNE, ILS AVAIENT PEUR DEME FAIRE CONFIANCE ».

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me faire confiance. Mais après ce contrat, ma crédibilité a monté en flèche », a-t- elle lancé avec modestie. Et en plus, la communauté m’a tellement aidée, se souvient Lexine. Je dis un gros merci à tout le monde car j’ai été appuyée dans mon aventure. D’ailleurs, ma commu- nauté franco-ontarienne me manque tellement que je vais quitter mon appar- tement d’Ottawa, où j’habite depuis un an, pour revenir m’installer pour de bon à Embrun. » Inscrite en administration à l’Université d’Ottawa en 2015, Lexine gère ses études et son entreprise enmême temps. Mais, en

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ACTUALITÉS

CAROL JOLIN FAIT LE POINT SUR L’ÉTAT DE LA FRANCOPHONIE

c’est une crise linguistique que ça dépasse la question du Commissariat aux services en français et la question de l’Université de l’Ontario français, a-t-il mentionné. C’est devenu une attaque aux droits linguistiques. » M. Jolin s’est dit heureux de la réaction de la communauté francophone du Canada entier lors des derniers mois. « Cela fait réagir les francophones de partout au Canada, de toutes les provinces et les territoires, qui nous ont appuyés le 1 er décembre, a-t-il dit. On a envoyé unmes- sage à Doug Ford. » Le président de l’AFO, qui est souvent dans les coulisses de Queen’s Park à Toronto, a souligné qu’il y aurait beaucoup de frustration dans les rangs du caucus progressiste-conservateur. « Je pense qu’il

y a davantage de députés qui vont dire que ce n’est pas pour ça que j’ai signé, a-t-il dit. Amanda Simard l’a d’ailleurs dit. Je n’ai pas fait un cours en droit pour me faire dire quandme lever et quand applaudir. » De plus, M. Jolin a souligné qu’il croit en Caroline Mulroney. « Nous croyons que Caroline Mulroney est la meilleure personne pour le poste de ministre des Affaires francophones, a-t-il déclaré. Nous sommes convaincus qu’elle veut faire la bonne chose, mais qu’elle a les mains liées. » Rappelons que l’AFO se dit un organisme rassembleur et la voix politique de la francophonie de l’Ontario. Plus de 200 organismes sont membres de l’AFO.

FRANCIS RACINE francis.racine@eap.on.ca

Carol Jolin. —photo Francis Racine

« J’aimerais peindre la province en vert. » C’est ce qu’a déclaré Carol Jolin, président de l’Assemblée de la francophonie de l’On- tario (AFO), le 22 mars dernier, lors d’une conférence qu’il prononçait en marge de l’assemblée générale annuelle de l’Union des cultivateurs franco-ontariens (UCFO), au Collège d’Alfred. M. Jolin a dressé un portrait de l’ état de la francophonie. Il a aussi abordé les récents év è nements provinciaux qui ont touché celle-ci. « Je n’ai pas besoin de vous annoncer que l’on vit une crise spéciale sur le plan linguistique et c’est justement parce que

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LE RECRUTEMENT INTERNATIONAL À L’AVANT-PLAN

centre culturel

ALEXIA MARSILLO alexia.marsillo@eap.on.ca

à l’emploi. En situation de plein emploi, mais également face à une population vieillissante et à l’exode de nos jeunes, il nous est nécessaire d’évaluer toutes les possibilités qui s’offrent à nous quant au recrutement. » Mme Arcand a aussi souligné que seu- lement trois pour cent de la population desservie par le CSEPR vient de l’immi- gration francophone – un pourcentage qu’elle aimerait voir augmenter. C’est une des raisons pour ce rassemblement, qui a eu lieu à Hawkesbury, le mardi 26 mars dernier. Les employeurs de la région ont eu l’occasion de se faire renseigner sur différents programmes provinciaux et fédéraux. Au cours de la journée, des témoignages ont été livrés par des employeurs de la région qui font du recrutement interna- tional, mais aussi par des immigrants qui ont profité des services offerts et qui sont venus s’installer dans Prescott-Russell pour y poursuivre leur carrière. Ophélie Gainville, une immigrante de la France, a partagé son expérience quant

à la recherche d’emploi dans Prescott et Russell. Elle travaille pour une entreprise de la région depuis six ans maintenant et a commencé la procédure afin d’obtenir sa citoyenneté canadienne. « Le soutien des employeurs est vraiment nécessaire, a-t-elle expliqué. Sans eux, ce n’est pas possible. » Des présentations par des représentants des ambassades du Canada en France et en Roumanie, ainsi que des représen- tants du ministère du Développement économique, de la Création d’emplois et du Commerce de l’Ontario, concernant les divers services offerts dans la région, se sont aussi déroulées pendant la journée.

Plus de 100 employeurs de la région se sont rassemblés à Hawkesbury pour une session d’information concernant le recrutement international. Le Centre de services à l’emploi (CSEPR), en collaboration avec le Réseau de soutien à l’immigration francophone de l’est de l’Ontario et leurs partenaires, les Comtés unis de Prescott et Russell et Contak, Solutions de recrutement, a organisé cette assemblée dans le but de souligner l’importance du recrutement international et de présenter le survol des différents programmes d’aide offerts en Ontario. « C’est ici une occasion unique de se renseigner sur le potentiel qu’offre le recrutement international et de découvrir quelles sont les possibilités de s’adjoindre des candidats qualifiés pour pourvoir nos postes, a expliqué Caroline Arcand, directrice générale du Centre de services

Nous voilà déjà à notre 44e saison artistique et nous sommes très heureux de vous offrir une programmation à la hauteur de vos attentes!

Du 29 mars au 28 avril Exposition Jean-Paul Jérôme Variations 1985 – 2003 La couleur – la lumière – la forme

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Ophélie Gainville, une immigrante de la France, a partagé son expérience dans la recherche d’emploi dans Prescott-Russell. —photo Alexia Marsillo

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SEMAINE DU 31 MARS AU 6 AVRIL 2019

SIGNES CHANCEUX DE LA SEMAINE : TAUREAU, GÉMEAUX ET CANCER BÉLIER (21 MARS - 20 AVRIL) Lorsque vous êtes le moindrement fatigué, vous vous rendez plus vulnérable aux rhu- mes et aux grippes. Alors, n’oubliez pas de prendre le temps de bien récupérer lorsque vous faites des efforts surhumains. TAUREAU (21 AVRIL - 20 MAI) Vous serez entouré de gens plutôt confus et vous aurez besoin de vous retirer pour vous isoler un moment. Vous serez également inspiré pour entamer la pratique d’une forme de spiritualité en bonne compagnie. GÉMEAUX (21 MAI - 21 JUIN) Pour bien des gens, le temps est souvent une denrée rare et vous ne ferez pas excep- tion à la règle cette semaine. Vous devrez mettre les bouchées doubles pour terminer vos tâches dans les délais prescrits. CANCER (22 JUIN - 23 JUILLET) En couple ou entre amis, vous commen- cerez à faire des démarches pour organiser un voyage prochainement. Vous ferez aussi quelques changements à la maison, ne serait-ce que changer les meubles de place. LION (24 JUILLET - 23 AOÛT) Peut-être faudra-t-il jouer davantage du coude pour vous frayer un chemin vers un succès professionnel. L’abondance sera au rendez-vous, mais au préalable, attendez- vous à une bonne dose de stress. VIERGE (24 AOÛT - 23 SEPTEMBRE) Vous devrez faire quelques compromis avant d’arriver à une entente convenable pour tout le monde. Vous aurez également la justice de votre côté pour régler un conflit avant qu’il ne dégénère. BALANCE (24 SEPTEMBRE - 23 OCTOBRE) Beaucoup de boulot à l’horizon! La compéti- tion viendra sûrement vous courtiser en vous offrant un poste des plus intéressants. En remettant en question votre intégrité, vous pourriez également vous sentir tourmenté. SCORPION (24 OCTOBRE - 22 NOVEMBRE) Vous vous mettrez en valeur en réussis- sant l’exploit de détendre l’atmosphère et en faisant rire les gens avec quelques bouffonneries. Attendez-vous à quelques chauds applaudissements par la suite. SAGITTAIRE (23 NOVEMBRE - 21 DÉCEMBRE) Il y aura pas mal de choses à faire à la maison ou avec la famille. Heureusement, vous serez un véritable héros aux yeux de vos proches. Vous ferez preuve d’un grand sens des responsabilités et vous placerez les priorités dans l’ordre. CAPRICORNE (22 DÉCEMBRE - 20 JANVIER) Vous aurez les mots justes pour vous démarquer ainsi que pour faire valoir votre point de vue. Avec une nouvelle voiture entre les mains, vous passerez la semaine à la conduire pour la montrer à vos proches. VERSEAU (21 JANVIER - 18 FÉVRIER) Vous pourriez entreprendre quelques démarches pour acquérir une propriété ou pour trouver un logement plus adéquat. Du moins, vous magasinerez quelque chose pour la famille et ce sera la réalisation d’un projet de longue haleine. POISSONS (19 FÉVRIER - 20 MARS) Vous serez extrêmement dynamique et vous vous sentirez prêt à relever tous les défis, aussi bien au travail que dans d’autres sphères. Une escapade en amoureux, entre amis ou en famille serait très appréciée.

MOTS CROISÉS

JEU NO 602

HORIZONTALEMENT 1. On y vend des fruits de mer. 2. Arme – Enchevêtrer. 3. Dresse – Brin long et fin de matière textile. 4. Petite baguette de bois – Prête.

5. Radium – Trop étroit. 6. Abrasif – Dévêtues. 7. Molybdène – Permise. 8. Possèdent – Comprimée. 9. État américain – Se promène. 10.Réduite – Surface. 11.Insecte qui se déplace par sauts. 12.Crochet – Qui ne brûle plus.

VERTICALEMENT 1. Gros agrume. 2. De vive voix – Colline – Carte à jouer. 3. Jaunisse – Pente. 4. Intervalle – Empressement. 5. Sélénium – Atome – Pronom personnel. 6. Absence de lumière – Encaustique. 7. Nanomètre – Créatures – Propre. 8. Partie d’une église – Dévoile. 9. Fera disparaître – Mesure chinoise. 10.Lorgner – Monnaie divisionnaire du Japon. 11.Iridium – Chemin – Le moi. 12.Divinité féminine – Parcourue des yeux.

RÉPONSE DU NO 602

JEU NO 602

RÈGLES DU JEU : Vous devez remplir toutes les cases vides en plaçant les chiffres 1 à 9 une seule fois par ligne, une seule fois par colonne et une seule fois par boîte de 9 cases. Chaque boîte de 9 cases est marquée d’un trait plus foncé. Vous avez déjà quelques chiffres par boîte pour vous aider. Ne pas oublier : vous ne devez jamais répéter les chiffres 1 à 9 dans la même ligne, la même colonne et la même boîte de 9 cases.

DOSSIER

LE FÉDÉRAL ENCLENCHE LA MODERNISATION DE LA LOI SUR LES LANGUES OFFICIELLES

redressement, a noté la ministre. « Le nombre de francophones augmentemoins vite que la population canadienne dans son ensemble et le taux de bilinguisme stagne chez la majorité anglophone hors Québec. » UNTAUX DE BILINGUISME DE 20 % Dans le Plan d’action pour les langues officielles 2018-2023 , lancé enmars 2018, le gouvernement a élaboré des cibles sur 20 ans. Ottawa s’est engagé à relever la part des locuteurs dans les communautés minoritaires de 3 à 4%, afin de générer une hausse de 400 000 francophones. Selon l’énoncé, le fédéral a aussi fixé cet objectif ambitieux : « faire passer notre taux national de bilinguisme de 17,9 % à 20%d’ici 2036, grâce surtout à l’augmen- tation du pourcentage des anglophones bilingues à l’extérieur du Québec de 6,8% à 9 %. » Les forums auront lieu au cours des prochains mois dans cinq grandes villes : Moncton, Sherbrooke, Ottawa, Edmonton et Vancouver. Les tables rondes dans plu- sieurs juridictions visent la collecte de l’opinion d’experts, de militants et de la population. Depuis l’automne dernier, plusieurs réflexions sont en cours sur la moderni- sation, dont celles du commissaire aux langues officielles, Raymond Théberge, attendues ce printemps. « DÉSIGNERUNE AUTORITÉ CENTRALE POUR LA MISE ENŒUVRE » Le Comité permanent des langues offi- cielles du Sénat a déjà produit trois études

D’après l’organisme parapluie, la Loi adoptée en 1969 et remplacée en 1988 n’a jamais été pleinement respectée. « Au cours de la dernière décennie, a affirmé le groupe, la situation s’est dégradée à un tel point que des mots comme ‘stagnation, déclin et plafonnement’ font partie du vocabulaire utilisé dans les rapports du commissaire aux langues. » Il faudra toutefois attendre après les élections fédérales de l’automne avant de reprendre les débats et les propositions du gouvernement quant à l’avenir de la législation.

sur la réforme linguistique, en attendant de publier son rapport final en juin. Depuis novembre, 11 mémoires sur la moderni- sation auraient été déposés au Comité permanent des langues officielles des Communes. La Fédération des communautés franco- phones et acadienne (FCFA) du Canada a publié, le 5 mars, sa proposition d’un nouveau libellé de la Loi. Il est question notamment de « désigner une autorité centrale pour lamise enœuvre, la création d’un droit de participation des minorités de langue officielle et de l’élargissement de la portée des droits et obligations ».

JEAN-PIERRE DUBÉ FRANCOPRESSE

Après l’annonce du gouvernement Trudeau en juin 2018 de réviser la Loi sur les langues officielles ( 1988), laministre chargée du portefeuille, Mélanie Joly, a détaillé, le 11 mars, les consultations à venir pour définir les enjeux. Ottawa tiendra ensuite un symposiumnational à la fin mai pour tirer des conclusions. Mais pas de projet de loi dans un avenir prévisible. Le gouvernement libéral s’engage à mieux outiller les communautés de langue officielle, a souligné la ministre Mélanie Joly, pour qu’elles puissent « relever les nouveaux défis auxquels elles sont confrontées pour assurer leur vitalité à long terme ». Ces défis seraient en partie du domaine juridique. Au cours des dernières années, il s’est avéré plus difficile pour les minorités francophones de faire des percées devant les tribunaux en éducation et services au public. Sur le plan politique, la francophonie a subi des revers en Ontario, avec les coupes de l’administration Ford au Commissariat aux services en français et à l’Université de l’Ontario français. Au Nouveau-Brunswick, le climat institutionnel et social aurait dégénéré suivant l’élection d’un gouver- nement de coalition, chevillé par un parti voué à combattre le bilinguisme. Les tendances démographiques à long terme ont incité le fédéral à formuler un

Né d’une race FIÈRE LALONDE

Les ancêtres Lalonde, aïeux de Doris Winifred Radburn, sont à l’honneur cette semaine. Armand Lapierre, membre de La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, a participé à la préparation de cette chronique généalogique pour rendre hommage aux ancêtres de James Michael Andrews Conley, fils de Paul Vincent Conley. Le premier ancêtre en Nouvelle-France est Jean de Lalonde dit L'Espérance, fils de François Philippe de Lalonde et Jeanne Duval de Notre-Dame, ville et arrondissement Le Havre, archevêché de Rouen, Normandie. Il est membre du régiment de Carignan-Salières, compagnie de Saurel. Il épouse Marie Barbant, fille d’Alexandre Barbant et Marie Le Noble (fille du roi landry 274, dumas 175) de Saint-Remy, Dieppe, Normandie. Quatre fils et une fille sont issus de ce mariage. Il décède le 30 septembre 1687 et est inhumé la même journée à Sainte- Anne-de-Bellevue. GÉNÉRATIONS 10e James Michael Andrews Conley n. à Pointe-Claire, Qc 9e DorisWinifred Radburn - Paul Vincent Conley, fils de Paul et Catherine Gavin m. le 1957-09- 21 à St. Joseph, Ottawa, Ont. 8e IsabellaWinifred Andrews – LeonardWilliam (Bill) Radburn, dessinateur, né à Londres, Angleterre, fils de Frederick et Alice Page m. le 1928-06-25 à Timmins, Ont. 7e Josephte Lalonde - Alfred Andrews, fils de Thomas et Isabelle Todd, n. à Yorkshire, Angleterre, vf de Mary Ann McDonald m. le 1884-01-17 à Fournier, Ont. 6e François Lalonde, journalier - Adélaïde Leroux, fille de Jean-Baptiste, cult. et Josephte Véronneau m. le 1848-02-28 à Coteau-du-Lac, Qc 5e Jean Baptiste Lalonde, cult. – Josephte Bonne, f. de Joseph Bône, cult. et M. Hyppolite Merlot m. le 1824-01-26 à Les Cèdres, Qc 4e Toussaint Lalonde, cult. – Angélique Ravarie, f. de François et Catherine Marot/ Laboursodière m. le 1794-10-20 à Les Cèdres, Qc 3e Francois Lalonde – Élizabeth Réome [Réaume], f. de Simon et Charlotte Turpain m. le 1745-02-08 à Sainte-Anne-de-Bellevue, N.-F. 2e Guillaume Lalonde – Sara, puis Marie Magdeleine Édeline [Allen, ou Allyn, ou Hélène, ou Hélène, ou Halaine], f. de Hedade (Edward) et Minge Hepi de Deerfield (Mass.) m. le 1710-04-27 à Sainte-Anne-de-Bellevue, N.-F. 1re Jean de Lalonde/L’Espérance - Marie Barbant c.m. le 1669-11-14, greffe Antoine Adhémar Que se passe-t-il en Nouvelle-France à la fin de XVIIe siècle ? « Talon débarque dans la colonie en 1666. Il y restera pendant six ans. À titre d’« intendant de la justice, de la police et des finances du Canada, de l’Acadie et de Terre-Neuve », de 1666 à 1668 et de 1669 à 1672, Talon se révèle un serviteur énergique et ingénieux du roi et de son ministre, Jean-Baptiste Colbert. Ce premier intendant de la Nouvelle-France transformera un faible petit avant-poste de traite des fourrures et de missionnaires, alors sous l’autorité d’une compagnie, en une province royale rentable, bien peuplée et capable de se défendre. En vue de diversifier l’économie, Talon fait évaluer les ressources minérales et forestières, encourage l’agriculture commerciale, les arts ménagers, la construction de navires et la pêche. Il voit à l’établissement sur des terres de près de 2 000 immigrants et soldats démobilisés. »

1 http://fra.1sep.ru/view_article.php?ID=200900912

Le gouvernement s’engage à mieux outiller les communautés de langue officielle, a souligné Mélanie Joly, pour qu’elles puissent « relever les nouveaux défis auxquels elles sont confrontées pour assurer leur vitalité à long terme. » —photo compte Twitter de Mélanie Joly

Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1

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