Étoile d’Horizon – Novembre 2020

Une publication pour le personnel du Réseau de santé Horizon

RECRUTEMENT DES MÉDECINS L’adaptation au monde virtuel offre de nouvelles possibilités Page 5

Unité mobile intégrée d’intervention en situation de crise Premier projet du genre chez Horizon Page 10

PRIX ET RECONNAISSANCE CHEZ HORIZON Toutes nos félicitations! À partir de la page 12

Numéro 24, vol. 5 Novembre 2020

Une publication pour le personnel du Réseau de santé Horizon

Collecte We Care : Des élèves de la 12 e année préparent des trousses de réconfort pour les patients atteints de cancer du Haut de la Vallée Page 5

Un prélèvement de poumons premier en son genre au Nouveau-Brunswick Page 8 La solidarité communautaire à Minto durant la pandémie de COVID Page 15

ContenU

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Assurer la sécurité de sa collectivité, un masque à la fois

Félicitations aux lauréates et lauréats des prix Quality Quest 2020!

Collecte We Care : Des élèves de 12 e année préparent des trousses de réconfort pour les patients atteints du cancer du Haut de la Vallée

Voici les conseillères en recrutement des médecins d’Horizon

Que savez-vous des infirmières et infirmiers praticiens?

Un prélèvement de poumons premier en son genre au Nouveau- Brunswick

Un nouveau programme améliore la vie à Saint John Célébration du bénévolat des Auxiliaires de l’Hôpital St. Joseph

Souvenons-nous des bébés partis trop tôt

FORMER UN SEUL

MÉDIAS SOCIAUX

Nous sommes là pour vous aider. Nous sommes là pour vous aider. 19

Carla Caissie Service de comptabilité Région de Moncton

Rebecca Agnew Services de traitement des dépendances et de santé mentale Région de Saint John

Dan Allan Centrale des rendez-vous Région de Saint John

Julia Brooks Services de bénévolat Région de Saint John

David Cormier

Dustin Clark Programme de santé communautaire Région de Fredericton 13 Anne Losier Région de Moncton Services de traitement des dépendances et de santé mentale Lynn O’Neill Région de Miramichi Services de production de rapports et du rendement

Sherry Leech Administration clinique Région du Haut de la Vallée

Isabelle Logan Services financiers Région de Saint John

Stephanie Goguen Programme de santé des femmes et des enfants Région de Saint John

Jackie Gordon Pratique infirmière Région de Fredericton

Sherry LeBlanc

Jennifer Hawkins Services financiers Région de Saint John

Liane Jordan Services de sécurité Région de Saint John

Services de traitement des dépendances et de santé mentales

Services de traitement des dépendances et de santé mentale

Ron McGrath Centrale des rendez-vous Région de Saint John 14 Kelly McNiven Centrale des rendez-vous Région de Saint John Aidan Proulx Région de Moncton Services d’apprentissage Darin Quinn Région de Fredericton Services thérapeutiques

La solidarité communautaire à Minto pendant la COVID Honorer nos anciens combattants 15

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Région de Moncton

Région de Saint John

Lynn Meahan-Carson Communications et Relations communautaires Région de Saint John

Lisa McAllister Service de comptabilité Région de Moncton

Hilary McDonough Smith Programme de santé communautaire Région de Moncton

Janis Mallet

Susan Neal

Tammy Morehouse Services d’admission et d’inscription Région de Saint John

Services de traitement des dépendances et de santé mentale

Région de Saint John Services de traitement des dépendances et de santé mentale

Région de Moncton

Karen Palmer Service des comptes fournisseurs Région de Saint John

Charo Poirier Région de Moncton Programme d’urgence

Stefan Poziomka

GinaBeth Roberts

Lee Vickers

Nathan Wickett Région de Fredericton Médecine familiale

Région de Saint John Planification technologique

Communications et Relations communautaires

Région de Miramichi Services de transcription

Région de Moncton

Lauréats des Prix de héros de la sécurité des patients de 2020 Prix de distinction en soins infirmiers 2020 d’Horizon

Célébration de la première promotion du programme « Former un seul Horizon »

Mentions dans les médias sociaux Formation obligatoire d’Horizon en cybersécurité

La technologie favorise les interactions sûres et une meilleure santé

La Fondation des Amis annonce la nomination de son nouveau président- directeur général

En page couverture : Le mercredi 18 novembre, Laura a déposé 50 trousses de réconfort destinées aux patients en oncologie de l’Hôpital du Haut de la Vallée du Réseau de santé Horizon. Les dons ont été emballés dans des sacs que le personnel d’Horizon pourrait facilement désinfecter, conformément aux précautions en place pour empêcher la propagation de la COVID-19. Dernière rangée, de gauche à droite : Erica Hull, travailleuse sociale; JoanneWarren, I.I.; Laura Nancekievill, élève de 12e année à l’école Hartland Community School et créatrice de la campagne We Care; Angela Flanders, I.I. et Christa Nancekievill, mère de Laura et I.I. Première rangée, de gauche à droite : la Dre Amber Swan, médecin généraliste en oncologie (MGO); Denise Gray, infirmière gestionnaire et Laura-Lee Cogswell, adjointe administrative.

Dans chaque numéro Message de la présidente-directrice générale

Ce bulletin est publié par le Service des communications du Réseau de santé Horizon. Il est distribué gratuitement au personnel, aux médecins et aux bénévoles d’Horizon. La version française est offerte en ligne à l’adresse fr.horizonnb.ca. Rédactrice : GinaBeth Roberts Chef de la création : Hudson Creative Agency Impression : Advocate Printing Veuillez transmettre vos commentaires et vos idées d’article à EtoileHorizon@HorizonNB.ca.

Mot de la rédactrice Le coin des collègues Regardez qui brille

Collecte We Care :

Mot de bienvenue de la rédactrice

Des élèves de 12 e année préparent des trousses de réconfort pour les patients atteints du cancer du Haut de la Vallée

Chers membres du personnel, médecins et bénévoles, En cette fin d’année 2020, je dois commencer par regarder en arrière et dire : Super! Au Réseau de santé Horizon, nous avons fait un travail remarquable cette année. Vous êtes allés au-delà de nos attentes dans notre intervention face à la pandémie de COVID-19, en vous adaptant aux pressions nouvelles et supplémentaires, notamment en composant avec de nombreux inconnus et le flux continu de nouveaux renseignements au sujet de ce virus.

Laura Nancekievill est consciente des défis que doivent affronter les patients atteints de cancer. Sa mère, Christa, est infirmière en oncologie à l’Hôpital du Haut de la Vallée du Réseau de santé Horizon, à Waterville. Elle sait également à quel point même le plus petit remontant peut être apaisant et insuffler de la force durant les temps difficiles. C’est lorsqu’elle se rendait à un match de soccer, un bon soir de septembre, que l’idée derrière la campagne We Care a commencé à mijoter dans son esprit. « Nous discutions de l’emploi de ma mère comme infirmière en oncologie et à quel point recevoir un diagnostic de cancer peut être difficile », explique Laura. « La première visite au Service d’oncologie peut être très stressante pour ces personnes… ma mère disait qu’elle aimerait trouver une façon de mettre un peu de soleil dans cette journée. » C’est ainsi que Laura, élève de 12e année à l’école Hartland Community School, s’est mise à réfléchir – réfléchir à des moyens d’apaiser le stress lié à ces visites et de remédier à certains effets secondaires de la chimiothérapie. Elle, sa mère et les collègues de sa mère se

sont remué les méninges et ont dressé une liste de produits qui seraient utiles pour une personne devant subir de la chimiothérapie. Ensemble, elles ont créé une liste d’articles, notamment de la crème pour les mains, du savon doux, des brosses à dents à soie souple, du baume à lèvres et des bonbons durs surets. Laura a ensuite réfléchi à un plan pour amasser des dons à son école, puis l’a présenté à ses enseignants et au directeur de l’école. Elle a rapidement recueilli leur soutien et a mené une campagne de collecte de dons à son école. Chaque classe de la 5 e à la 12 année était responsable de faire don de trois types de produits. Chaque classe a été mise au défi de faire don d’au moins 30 articles. Laura a recueilli des dons du 19 au 30 octobre. Au bout de deux semaines, ses camarades de classe avaient apporté de plus de 400 articles, soit une quantité suffisante pour créer 50 trousses de réconfort. Une fois la campagne de collecte de dons terminée, Laura a apporté les articles à la maison, en a fait le tri et a divisé le tout dans des sacs pour créer des trousses de réconfort

sur lesquelles elle a collé un autocollant où l’on peut lire « On pense à vous. » - Les élèves de la 5 e à la 12 e année de l’école Hartland Community School. « J’espère que ce petit geste mettra un peu de soleil dans la journée des patients en oncologie et leur laissera savoir que nous pensons à eux », souligne Laura. « Je suis si fière de Laura », dit sa mère, Christa. « Comme parent, on essaie d’élever nos enfants pour qu’ils soient gentils et attentifs, qu’ils pensent aux autres. Ça fait chaud au cœur de la voir manifester ces qualités si importantes durant son passage vers l’âge adulte. » Denise Gray, infirmière gestionnaire en oncologie à l’HHV, a été extrêmement touchée par cette générosité et cette délicate attention. « Recevoir un diagnostic de cancer, c’est très éprouvant. Grâce à son idée, Laura pourra offrir confort et soutien à nos patients en oncologie », dit-elle. « Nous remercions de tout cœur les élèves de la 5 e à la 12 e année de l’école Hartland Community School d’avoir participé à cette incroyable campagne de collecte de dons! Vous contribuez à améliorer la vie de notre collectivité et votre participation est grandement appréciée! »

Bienvenue au 24 e numéro de l’ Étoile d’Horizon! À un peu plus d’un mois de la fin de 2020, je ne suis pas la première – et certainement pas la dernière – à affirmer que ce fut toute une année. Au cours des neuf derniers mois, à maintes reprises, nous avons apporté des changements pour arriver à ce que nous considérons maintenant comme notre vie quotidienne « normale ». Les enfants sont de retour à l’école, ils apprennent et interagissent les uns avec les autres avec des moyens de protection supplémentaires. Nos collectivités font preuve de dynamisme en adaptant les événements annuels, comme l’Halloween, les cérémonies du jour du Souvenir et les collectes de fonds, pour en améliorer la sécurité compte tenu de la pandémie de COVID-19, et nos établissements fonctionnent aussi sûrement que possible, s’adaptant rapidement aux éclosions et aux nouveaux renseignements. Même si nous n’avons pas de boule de cristal pour prédire ce qui se passera en 2021 (nous avons des équipes extraordinaires qui travaillent sur la modélisation, basée sur l’épidémiologie, et d’autres directives de santé publique), nous pouvons encore réfléchir à ce que nous avons fait pour nous trouver dans cette situation favorable et à ce que nous pouvons continuer à faire pour que la nouvelle situation reste normale. Ce semblant de liberté n’a pas été – et ne sera pas – sans obstacle et ce n’est pas quelque chose dont toutes les régions de notre pays et du monde peuvent profiter. Parallèlement à cette réflexion, je pense qu’il est très important que nous prenions tous un peu de temps pour réfléchir à ce que nous avons accompli au cours de l’année écoulée, malgré le fait que nous vivons et travaillons dans un contexte de pandémie. J’espère que vous pourrez prendre le temps de vous adonner à vos loisirs et de prendre soin de vous, surtout pendant les Fêtes. J’espère également que vous trouverez du plaisir, et même une certaine relaxation, dans une publication comme celle-ci. Les derniers numéros ont été lus par un nombre de lecteurs parmi les plus élevés de tous les temps, ce qui me porte à croire que vous les avez lus. Dans le présent numéro, vous lirez de nombreuses histoires de premières chez Horizon – la première unité mobile intégrée d’intervention en situation de crise, grâce à laquelle des infirmières en santé mentale et les policières améliorent ont une incidence positive dans la région de Saint John, et le premier prélèvement de poumons dans le cadre d’un don d’organes après un décès d’origine cardiociculatoire au Nouveau- Brunswick. Il sera également question de nos recruteuses de médecins et de notre vice-président aux affaires médicales, universitaires et de recherche, qui mettra bientôt fin à sa carrière chez Horizon et qui vous parlera des défis et du succès du recrutement des médecins d’Horizon. En janvier 2021, nous célébrerons la parution de 25 numéros de l’Étoile d’Horizon! J’espère que vous marquerez cette étape en me relatant vos histoires. Transmettez-moi vos idées à HorizonStar@HorizonNB.ca. Bonne lecture!

En tant qu’organisation, bien que nous ayons dû réduire nos services au cours des premières phases de notre intervention pour assurer la sécurité générale, nous avons réussi à fournir un accès à des soins sûrs et de qualité aussi rapidement que possible. Vous avez également dû faire face à d’autres défis permanents, comme le manque de personnel. Nous continuerons à travailler sur ces questions, notamment sur la pénurie de médecins au service d’urgence à Sackville et la pénurie d’infirmières à Perth. Ces problèmes de dotation en personnel ne sont pas uniques à Horizon; sur la scène locale, nationale et internationale, le recrutement a été difficile. Le nombre réduit de vols à destination et en partance de la région ainsi que la recherche de recrues potentielles dans le monde en ligne rendent ce processus un peu plus difficile. Cependant, je peux vous assurer que nous avons certainement les

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Karen McGrath Présidente-directrice générale

bonnes personnes pour nous aider dans le domaine du recrutement. Comme vous le savez, et comme vous l’entendez sans cesse, le virus est omniprésent. Nous devons continuer à être vigilants dans notre lutte contre la COVID-19. Et je réitère que l’une des meilleures façons d’y parvenir est de suivre les mesures de santé publique simples, mais efficaces : • Dès que vous entrez dans votre lieu de travail, lavez-vous les mains. • Avant d’entrer dans votre lieu de travail et lorsque vous en sortez en fin de journée, mettez votre masque (un masque non chirurgical est suffisant). • Dans votre lieu de travail, portez toujours un masque chirurgical (niveau 3), et n’oubliez pas de garder vos distances, c’est-à-dire six pieds les uns des autres – sauf si vous donnez des soins cliniques, si vous mangez ou si vous travaillez seul dans votre bureau. Le vaccin contre la grippe est une autre façon de nous permettre d’aider les gens à être en bonne santé et à gérer notre capacité d’accueil à l’hôpital. Vous pouvez l’obtenir au Service de santé et de mieux-être de votre lieu de travail. Encouragez les autres personnes de votre bulle à en faire autant, car cette année, tous les Néo-Brunswickois et Néo-Brunswickoises peuvent se faire vacciner gratuitement contre la grippe. L’adoption de ces nouvelles mesures de santé publique peut vouloir dire que nous devons renoncer à nos habitudes. Le tout peut parfois être désagréable, mais c’est vraiment la façon la plus simple de se protéger et de protéger les autres contre ce virus. Normalement, à cette époque de l’année, nous attendons avec impatience un temps des Fêtes reposant et joyeux, rempli de bonheur, de réunions de familles et d’amis et de gestes d’affection. Il ne fait aucun doute que la période de Noël sera différente cette année : vous ne pourrez peut-être pas voir votre famille de l’extérieur de la bulle atlantique, et les réunions entre amis seront limitées. Pour cette raison – et après avoir fait face à des quarantaines et autres stress au cours des dix derniers mois – je vous prie de porter une attention particulière à votre santé mentale et de demander de l’aide au besoin. Je vous souhaite de joyeuses Fêtes et j’attends avec impatience la nouvelle année. La présidente-directrice générale du Réseau de santé Horizon,

Le mercredi 18 novembre, Laura a déposé 50 trousses de réconfort destinées aux patients en oncologie de l’Hôpital du Haut de la Vallée du Réseau de santé Horizon. Les dons ont été emballés dans des sacs que le personnel d’Horizon pourrait facilement désinfecter, conformément aux précautions en place pour empêcher la propagation de la COVID-19. Dernière rangée, de gauche à droite : Erica Hull, travailleuse sociale; JoanneWarren, I.I.; Laura Nancekievill, élève de 12e année à l’école Hartland Community School et créatrice de la campagneWe Care; Angela Flanders, I.I. et Christa Nancekievill, mère de Laura et I.I. Première rangée, de gauche à droite : la Dre Amber Swan, médecin généraliste en oncologie (MGO); Denise Gray, infirmière gestionnaire et Laura-Lee Cogswell, adjointe administrative.

GinaBeth Roberts Rédactrice, Étoile d’Horizon

Karen McGrath

Coin des collègues

Coin des collègues

Voici les conseillères en recrutement des médecins d’Horizon

Que savez-vous des infirmières et infirmiers praticiens? En tant que plus grande régie de soins de santé au Nouveau-Brunswick, le Réseau de santé Horizon est fier de compter parmi ses membres des professionnels de la santé et des professionnels paramédicaux de nombreuses disciplines. Nos patients bénéficient de notre expertise dans tous les domaines des soins de santé, que ce soit en première ligne ou en coulisses. INTERROGÉS SUR CE QU’ILS AIMENT LE PLUS DANS LEUR CARRIÈRE, VOICI CE QUE QUELQUES IP D’HORIZON ONT RÉPONDU : Dans le cadre de la Semaine nationale des IP, célébrée chaque année en novembre, nous souhaitons vous aider à mieux connaître le rôle

En raison de leur sourire radieux, ne présumez pas que leur tâche de recruter des médecins est facile; leur travail est extrêmement complexe et inestimable au succès de notre organisation. Les conseillères en recrutement des médecins d’Horizon relèvent du directeur médical de chaque région. En plus d’être responsables de l’identification et de la sélection des candidats, elles participent à la planification de la relève, au maintien en poste et à tous les aspects de la vie des médecins d’Horizon – y compris l’immigration, l’obtention du permis d’exercice, les privilèges, la mise en relation avec les principales parties prenantes, le logement et le transport. Voici les conseillères en recrutement des médecins d’Horizon : Debbie Donovan, Darlene Doiron, Denise Coulombe et Hope Kelly.

LES DÉFIS ET LES SUCCÈS DU RECRUTEMENT DES MÉDECINS

d’d’infirmière et d’infirmier praticien (IP). Voici 10 choses que vous devez savoir à propos des IP du Réseau de santé Horizon : 1. Les IP du Réseau de santé Horizon travaillent dans divers milieux, notamment dans des centres de santé communautaires, des services de traitement des dépendances et de santé mentale, des foyers de soins, des écoles et des services d’urgence. 2. Les IP travaillent aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural, notamment dans les services d’urgence les plus achalandés de la province et ceux de petites collectivités insulaires comme celles des îles Deer et Campobello. 3. Les IP peuvent prescrire, effectuer et interpréter des examens diagnostiques ainsi que fournir des soins de santé primaires aux patients, y compris des ordonnances et des demandes de consultation avec des spécialistes. 4. Les IP fournissent des services de soins de santé primaires aux patients et aux clients de tous âges et de tous horizons. Elles ou ils travaillent notamment avec les élèves, les personnes âgées, les collectivités des Premières Nations, les sans-abris et les nouveaux arrivants au Canada. 5. Les IP travaillent en collaboration avec les médecins et les autres membres de l’équipe de soins de santé. Elles ou ils contribuent à améliorer l’accès aux soins primaires, ce qui permet de réduire les listes d’attente et de soulager le système de soins de santé. 6. Les IP ont une éducation et une formation avancées. Ce sont des infirmières et infirmiers immatriculés qui suivent un programme d’infirmière praticienne, et beaucoup d’entre eux obtiennent une maîtrise. 7. Comme tout le personnel infirmier, les IP doivent satisfaire aux exigences annuelles en matière de licence fixées par l’Association des infirmières et infirmiers du Nouveau-Brunswick. 8. Au sein du Réseau de santé Horizon, les IP fournissent des services de santé en matière de sexualité à leurs patients – y compris des tests, des services de santé en matière de sexualité et de l’éducation aux élèves. 9. Les IP jouent un rôle de premier plan dans la promotion de la santé et la prévention des maladies et elles ou ils fournissent aux patients un plan de soins complet et efficace. 10. Voilà près de 20 ans (juillet 2002) que la Loi sur les infirmières et infirmiers a été modifiée au Nouveau-Brunswick pour permettre aux IP d’exercer au Nouveau- Brunswick.

« Le meilleur aspect de ma carrière est de pouvoir avoir une

« Le recrutement des médecins n’est pas une tâche facile », a expliqué le Dr Édouard Hendriks, vice-président des affaires médicales, universitaires et de recherche d’Horizon. « Il faut être proche des collectivités pour comprendre leurs besoins, être en communication constante avec les chefs des services cliniques pour comprendre leurs attentes, s’impliquer demultiples façons pour entrer en contact avec les candidats potentiels, s’assurer que les candidats connaissent nos attentes et que nous connaissons les leurs. Le tout demande du temps et de l’effort. » « La partie la plus difficile de ce travail est la couverturemédiatique négative et les commentaires dans les médias sociaux sur lemanque de recrutement demédecins au Nouveau-Brunswick », a déclaré Hope. Cependant, toute personne qui travaille en étroite collaboration avec ce groupe sait que le niveau d’effort, d’engagement et de réussite des recruteurs pour attirer des médecins est extrêmement élevé. « Nous travaillons en collaboration pour assurer une norme de pratique dans l’ensemble d’Horizon et pour favoriser une bonne communication et la collégialité », a souligné Darlene. Il est également essentiel de travailler en équipe, car de nombreux autres recruteurs et établissements recherchent des médecins dans lemême bassin de candidats. « La concurrence est féroce », a expliqué Denise. « Nous sommes en concurrence avec des collectivités, des villes, des provinces et d’autres établissements plus importants, à travers le Canada et les États-Unis. » Malgré les difficultés, elles recrutent constamment des médecins et pourvoient les postes vacants, d’une année à l’autre. Et 2020, en particulier, a été une grande réussite – même avec la pandémie et toutes les activités de recrutement virtuelles. En fait, en août 2020, lorsque les médias ont souligné les préoccupations concernant les postes vacants demédecins au Nouveau-Brunswick, le taux de postes vacants d’Horizon n’était que d’environ 4%. « En fin de compte, notre objectif est une transition en douceur pour les nouveaux médecins et leur famille », a déclaré Debbie, « et quand unmédecin ouvre sa porte pour travailler avec nous – c’est une journée fructueuse au bureau! »

incidence positive sur la vie et la santé des patients. Mes patients savent qu’ils peuvent venir me voir avec leurs questions et leurs préoccupations et que je peux leur offrir des soins préventifs pour les aider à vivre plus sainement. » - Sara, IP au Centre de santé et clinique de santé sexuelle de Chatham du Réseau de santé Horizon, à Miramichi.

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« Mes patients! L’important, c’est de sentir que vous avez changé quelque chose dans la vie de quelqu’un. J’aime faire partie d’un modèle de soins de santé primaires dans lequel je peux rencontrer le patient là où il se trouve, à cet instant précis, et l’aider à recevoir les ressources nécessaires. » - Keltie, IP au Centre de santé Gibson du Réseau de santé Horizon.

Denise Coulombe a commencé sa carrière chez Horizon il y a 17 ans en tant que coordonnatrice des langues officielles dans la région de Fredericton. Dans ce rôle, elle a aidé à la traduction et à la communication avec de nombreux médecins francophones, de sorte que le passage au poste de conseillère en recrutement des médecins s’est avéré parfaitement adapté.

Debbie Donovan, à Miramichi, s’occupe du recrutement des médecins depuis son embauche en 2007, lorsqu’elle occupait un poste administratif. Lorsque les régies régionales de la santé ont fusionné pour devenir le Réseau de santé Horizon, le besoin de ressources axées sur le recrutement des médecins s’est accru, et elle est devenue conseillère en recrutement des médecins.

« L’aspect que j’aime le plus dans mon travail d’infirmier est tout

simplement la possibilité d’aider les autres. J’éprouve de la satisfaction à utiliser les solides

compétences en communication et les connaissances pratiques que les infirmiers et infirmières immatriculés acquièrent au chevet des patients pour éclairer et orienter ma pratique en tant que fournisseur de soins primaires. Les IP maximisent leurs compétences en communication, ce qui leur permet de s’orienter efficacement dans les soins aux patients, de construire des relations plus solides et

Darlene Doiron travaille à Moncton. En 2008, elle a commencé à travailler au Bureau du personnel médical en tant que coordonnatrice des médecins salariés. En 2010, des responsabilités de conseillère en recrutement des médecins par intérim ont été ajoutées à son poste, et en 2015, elle est devenue conseillère en recrutement des médecins.

Hope Kelly occupe son poste à Saint John depuis près de quatre ans. Elle s’est jointe à Horizon il y a 14 ans et est devenue peu après conseillère en matière de privilèges des médecins au sein du bureau du chef du personnel médical local, ce qui s’est avéré être un milieu de formation parfait pour son rôle actuel de conseillère en recrutement des médecins.

d’obtenir des renseignements précieux sur les patients. » - Todd, IP au Centre de santé sexuelle de Saint John du Réseau de santé Horizon.

Voulez-vous renseigner vos collègues sur les services que vous offrez aux patients et au personnel dans l’ensemble d’Horizon? Écrivez à HorizonStar@HorizonNB.ca.

Voulez-vous renseigner vos collègues sur les services que vous offrez aux patients et au personnel dans l’ensemble d’Horizon? Écrivez à HorizonStar@HorizonNB.ca.

Un premier prélèvement de poumons en son genre au Nouveau-Brunswick

Assurer la sécurité de sa collectivité, un masque à la fois

Marie Crouse, de Wakefield, au Nouveau- Brunswick, savait dès le début de la pandémie que les masques en tissu n’étaient pas provisoires. Couturière de longue date, elle a rapidement mis ses compétences à profit et a commencé à coudre beaucoup. Après qu’une blessure à la cheville l’ait obligée à prendre un congé en avril, Marie a décidé de s’occuper en cousant des masques. « Je ne suis pas du genre à rester oisive. Donc, quand tout ça a commencé, je savais que j’avais une énorme quantité de tissu et j’ai décidé de commencer à fabriquer des masques », explique Marie, qui a appris à coudre avec sa grand-mère quand elle n’avait que 12 ans. « J’ai commencé à fabriquer quelques masques et à les distribuer à des travailleurs essentiels en les affichant (un message) sur Facebook, et ça a fait boule de neige. Pendant un certain temps, personne ne fabriquait de masques. Je pense que j’ai eu la clairvoyance de comprendre que la COVID-19 ne disparaîtrait pas de si tôt. » Marie a commencé par faire don de 100 masques à l’Hôpital du Haut de la Vallée (HHV) et s’est rapidement mise au travail pour en fabriquer d’autres. Il lui faut une dizaine de minutes pour faire un masque, ce qui comprend la coupe et la couture. On donne gratuitement un masque en tissu aux patients ou aux visiteurs sans masque qui entrent dans tout établissement d’Horizon; tout masque donné à un établissement précis reste dans la localité. Avant la distribution, l’équipe des ressources bénévoles d’Horizon s’assure que tous les masques sont lavés et placés individuellement dans un sac scellé avec des instructions d’utilisation et d’entretien. « J’ai déjà fabriqué 1 725 masques et j’en ai 100 autres qui sont prêts à être distribués »,

a déclaré fièrement Marie. « Je vise l’objectif de 2 000 masques. J’ai commencé à travailler en vue de l’objectif de 1 000 masques et puis je me suis dit, eh bien, je suis arrivée à 1 000, alors pourquoi ne pas en faire plus? » Coudre et donner 2 000 masques n’est pas une mince affaire. Mais Marie dit qu’elle ne fait que de son mieux pour que tout le monde soit en sécurité. Elle a également bénéficié de l’aide de la collectivité : une grande partie du tissu qu’elle utilise lui a été donnée par des gens du voisinage. Non seulement les masques donnés permettent de sauver des vies, mais ils contribuent aussi à répandre un peu de joie bien nécessaire. Fin octobre, les bénévoles de l’HHV ont distribué des masques sur le thème de l’Halloween aux enfants. Parfois, Marie utilise ses trois machines à coudre et a même apporté une de ses fidèles machines à son autocaravane cet été, afin de ne pas perdre un temps précieux à coudre. « La réponse a été excellente », a déclaré Marie. « À l’hôpital, des gens ont demandé un masque et en ont obtenu un. Par la suite, ils sont allés à l’accueil pour savoir qui l’avait fabriqué, afin de trouver le moyen d’en obtenir d’autres! »

Note de la rédaction : Afin de protéger la vie privée du patient, les renseignements explicites concernant ce don de poumons ont été omis. 11 donneurs d’organes en 2018 à 13 en 2019, et à 17 donneurs à ce jour en 2020, atteignant un taux de dons par million d’habitants de 21,7, ce qui est comparable au taux canadien de 21,9 en 2019. Le taux de dons de cornée pour transplantation au Nouveau-Brunswick était le plus élevé au Canada en 2018 et continue d’augmenter.

Au début de l’année, le Programme d’organes et de tissus du Nouveau-Brunswick du Réseau de santé Horizon a coordonné le premier prélèvement de poumons dans le cadre du don d’organes après décès d’origine cardiocirculatoire (DDC) de la province. Le DDC a été introduit au Nouveau-Brunswick en 2019 à titre de projet pilote au Centre hospitalier universitaire Dr-Georges-L.-Dumont (CHU Dr-Georges-L.-Dumont). Il permet aux familles de faire le don d’organes d’un patient atteint de lésions cérébrales graves qui ne répond pas aux critères stricts de la mort cérébrale, une fois que la décision a été prise de supprimer tous ses traitements vitaux. « Le DDC a été introduit progressivement, seuls les reins et le foie étant initialement prélevés sur les donneurs d’organes après décès d’origine cardiocirculatoire », a déclaré Nadya Savoie, directrice administrative du Programme de don d’organes et de tissus du Nouveau-Brunswick. « À ce jour, il y a eu au total sept donneurs après diagnostic de décès d’origine cardiocirculatoireau Nouveau- Brunswick, ce qui représente 25 % des donneurs d’organes depuis son introduction au Nouveau-Brunswick. » Avant 2019, au Nouveau-Brunswick, le don d’organes de personnes décédées n’était possible qu’après la mort cérébrale, qui survient lorsque le cerveau a perdu toutes ses facultés en permanence et qu’un diagnostic de décès a été établi à l’aide de critères neurologiques. « Grâce à l’augmentation du nombre de dons d’organes après décès d’origine cardiocirculatoire, je crois qu’un plus grand nombre de familles qui choisissent le don d’organes pour un de leurs proches se sentent en paix et ont une perception légèrement plus positive malgré la tristesse de la perte de l’être cher », a déclaré le Dr Robert Adams, neurochirurgien, chef du Service des sciences neurologiques, chef de la Division de neurochirurgie et directeur médical de la Division du don d’organes du Programme d’organes et de tissus du Nouveau-Brunswick. « Espérons que les familles seront réconfortées sachant que leur proche a fait le don de la vie à plusieurs autres personnes. » Étant donné que le pourcentage du taux de prélèvement des poumons est inférieur à celui d’autres organes entiers tels que les reins ou le foie, le DDC augmente le nombre de poumons pouvant être transplantés. « Le DDC a largement augmenté le potentiel de donneurs et il augmentera la disponibilité des organes pour nos patients sur la liste de transplantation », a déclaré le Dr Rémi LeBlanc, intensiviste, chef de l’Unité des soins intensifs au CHU Dr-Georges-L.-Dumont et médecin défenseur du don d’organes de la Division du don d’organes du Programme d’organes et de tissus du Nouveau-Brunswick. « C’est une excellente nouvelle pour les patients du Nouveau-Brunswick qui sont sur la liste d’attente de transplantation et pour leur famille. » Pour devenir donneur, il faut être sous assistance respiratoire, c’est-à-dire sous

respirateur ou appareil respiratoire dans une unité de soins intensifs (USI), sans espoir de guérison (seulement de 1 à 2 % des décès à l’hôpital au Canada). Le don n’est envisagé que lorsque toutes les méthodes permettant de sauver la vie du patient ont été épuisées. Le don a lieu dans le cadre de soins de fin de vie de qualité. Après une période de réduction du nombre de dons au début de la pandémie, le Programme d’organes et de tissus du Nouveau-Brunswick connaît maintenant une augmentation du nombre de prélèvements d’organes et de tissus par rapport à l’année dernière. En fait, les dons de personnes décédées sont en hausse au Nouveau-Brunswick, passant de

Administré par le Réseau de santé Horizon, le Programme d’organes et de tissus du Nouveau-Brunswick offre des services de don d’organes, de cornée et de tissus (par exemple, des os et des tendons) à tous les Néo-Brunswickois et Néo-Brunswickoises. Pour plus d’information sur le programme, visitez le site HorizonNB.ca/Organ-Tissue.

Pourquoi le don d’organes est-il important?

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• Environ 4 400 Canadiens attendent une transplantation qui pourrait leur sauver la vie. • Enmoyenne, 250 Canadiens meurent chaque année en attendant une transplantation. • Vous, unmembre de votre famille ou un ami avez beaucoup plus de chances d’avoir besoin d’une transplantation d’organe, de cornée ou de tissus que de devenir un donneur. Si vous aviez besoin d’une transplantation d’organe, de cornée ou de tissus, en subiriez-vous une? Si c’est le cas, n’oubliez pas d’aider ceux et celles qui en ont besoin. Le don sauve des vies, améliore la qualité de vie et donne de l’espoir pour l’avenir. Il suffit de deux étapes simples pour devenir donneur 1. Vous devez indiquer votre intention de faire un don sur votre carte d’Assurance- maladie provinciale. Vous pouvez le faire en appelant Service Nouveau- Brunswick au 1-888-762-8600 et en sélectionnant 2 pour demander la mise à jour de votre carte d’Assurance-maladie. Votre nouvelle carte d’Assurance- maladie comportera un D pour indiquer que vous êtes un donneur. Vous pouvez modifier ou retirer votre intention de faire un don n’importe quand. 2. Discutez de votre décision avec votre famille ou vos proches. Il est important que vos proches connaissent vos souhaits. Cela pourrait les aider s’ils doivent un jour prendre cette décision pour vous.

Gloria Bellamy, bénévole à l’Hôpital du Haut de la Vallée du Réseau de santé Horizon, montre quelques-uns des masques en tissu prêts à être distribués aux patients et aux visiteurs.

la province, ainsi que de diverses entreprises et groupes de courtepointe et d’employés d’Horizon. Le 1er octobre 2020, plus de 7 500 masques avaient été donnés au Réseau de santé Horizon.

Marie n’est pas la seule personne qui fait des heures supplémentaires à la machine à coudre ces jours-ci. Horizon a la chance d’avoir reçu des masques de la part de plusieurs autres personnes de

Assortiment de masques pour les Fêtes cousus par Marie Crouse, prêts à être donnés à Horizon. Les bénévoles de l’Hôpital du Haut de la Vallée du Réseau de santé Horizon fournissent aux patients et aux visiteurs des masques en tissu donnés par des membres de la collectivité. Avis : Horizon n’accepte plus les dons de masques en tissu faits maison à porter en public. lignes directrices de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) relativement aux masques en tissu (masques non médicaux et couvre-visages). Horizon est reconnaissant de la générosité des membres de la collectivité comme Marie, qui ont fait don de plus de 7 500 masques en tissu au cours des derniers mois. Ces masques ont été distribués aux visiteurs et aux patients en consultation externe.

Souvenons-nous des bébés partis trop tôt Octobre est le Mois de sensibilisation au deuil périnatal. Nous connaissons tous de près ou de loin des personnes qui ont vécu cette expérience douloureuse. Souvent, les médias sociaux nous laissent seulement voir les moments heureux de tout un chacun, mais ce n’est pas la réalité et ce n’est pas utile aux personnes qui ont besoin de savoir qu’elles ne sont pas les seules à vivre des moments difficiles. Voilà donc pourquoi je vous raconte mon histoire. Dre Amanda Worden-Rogers, médecin de famille à Fredericton

La première unité mobile intégrée d’intervention en situation de crise d’Horizon améliore la vie à Saint John

santé mentale d’Horizon à Saint John, a déclaré que les premiers résultats sont encourageants. « Les policières ont déjà détourné un certain nombre de cas de l’hôpital. C’est vraiment formidable de voir des résultats concrets si tôt », a-t-elle déclaré. « En plus du travail d’approche additionnel qu’elles font dans la collectivité, elles œuvrent sur le terrain auprès des clients pendant le quart de travail de 12 heures et s’occupent de régler différentes situations. Et elles affirment que l’approche est vraiment la bonne. » L’unité mobile intégrée d’intervention en situation de crise d’Horizon à Saint John est prête à répondre aux appels de situation de crise et à assurer des services auprès de la collectivité de 11 h à 23 h, sept jours sur sept, avec des membres du personnel travaillant par équipes de deux chaque quart de travail. Pour obtenir l’aide de l’équipe mobile d’intervention en situation de crise, il suffit de téléphoner au service de répartition 911 ou à l’unité mobile en situation de crise au 1-888-811-3664. Sarah Brannon a affirmé que le projet n’aurait pas été possible sans le soutien du service de police de Saint John, ainsi que de la Dre Mary Ann Campbell, chef du Département de justice pénale de l’Université du Nouveau- Brunswick à Saint John (UNBSJ). La Dre Campbell a mis son expertise à profit dans l’élaboration du cadre de la nouvelle unité et aidera également à suivre ses performances au cours du projet pilote.

Après des années de planification et de collaboration avec les parties prenantes, on a adopté dans la région de Saint John une approche d’intervention mobile en situation de crise unique en son genre au Nouveau-Brunswick. L’unité mobile intégrée d’intervention en situation de crise d’Horizon a été officiellement déployée au début de l’automne – il s’agit d’une version élargie de celle des Services de traitement des dépendances et de santé mentale d’Horizon qui existe dans la région de Saint John depuis 20 ans. L’ajout de deux policières de Saint John à l’équipe d’Horizon, une première dans la province, est la différence la plus notable de la nouvelle version d’unité d’intervention. Deux policières, Mary Gellatelty et Emily Hobbs, ont été détachées auprès d’Horizon pour une période de trois ans. Elles suivront une formation spécialisée en santé mentale et sur les rouages d’Horizon tout en travaillant activement au sein de l’unité, qui comprend également un trio d’infirmières en santé mentale. À chaque quart de travail, une policière sera jumelée avec une infirmière pour aider à répondre aux appels de situation de crise en santé mentale à haut risque, en effectuant une intervention critique et opportune en santé mentale et des services de proximité auprès des clients vulnérables, où et quand ils en ont besoin. Quelques semaines à peine après le début du projet pilote, Sarah Brannon, chef de projet des Services de traitement des dépendances et de

Les membres de l’unité mobile intégrée d’intervention en situation de crise d’Horizon à Saint John améliorent la vie dans la localité depuis le lancement à l’automne du premier projet pilote du genre avec deux policières de Saint John qui se sont jointes à l’unité pour trois ans. De gauche à droite : l’agente de police Mary Gellatly, Kendra Fudge et Erica Henderson, infirmières immatriculées, et l’agente de police Emily Hobbs. L’initiative a bénéficié d’un soutien financier important du gouvernement provincial, soit 900 000 dollars sur la période de trois ans. Mme Brannon a souligné que le modèle intégré devrait en fin de compte aboutir à une réponse plus coordonnée, plus rationnelle et plus efficace pour les clients en santé mentale de la région grâce à une meilleure collaboration entre les organismes. Elle a déclaré qu’en réduisant le nombre d’interactions entre la police et les personnes en situation de crise en santé mentale, on espère en fin de compte que le projet réduira le nombre de transferts inutiles vers le service d’urgence de l’hôpital. En 2019, l’unité mobile d’intervention en situation de crise de Saint John a répondu à plus de 2 100 appels à l’aide, dont environ 430 ont abouti au transport du client par la police ou par une ambulance au service d’urgence. Mme Brannon est convaincue qu’en libérant la police pour qu’elle puisse consacrer plus de temps et d’énergie aux affaires criminelles, la nouvelle approche permettra de réduire ces chiffres. « Quand vous voyez des gens travailler dans la collectivité, leur simple présence semble désamorcer les situations », a déclaré Mme Brannon. « Et surtout maintenant, compte tenu des préoccupations entourant la COVID, une visite à l’urgence n’est plus nécessairement ce qu’elle était. Et même si nous allons toujours emmener à l’urgence les personnes qui en ont besoin, il y a tant à dire sur le fait de voir les gens dans un environnement dans lequel ils sont à l’aise. » Et le fait que deux policières en civil répondant aux appels dans un véhicule banalisé se joignent aux infirmières du quart de travail, a-t-elle ajouté, ajoute une couche de sécurité supplémentaire pour permettre aux infirmières de l’unité mobile d’intervention en situation de crise de faire leur travail de manière plus sûre, et donc plus efficace. Compte tenu de la hausse de la demande d’intervention en santé mentale au Nouveau- Brunswick et du débat plus large sur le rôle que la police devrait ou ne devrait pas jouer dans la réponse à ces situations, Mme Brannon a déclaré qu’elle espérait qu’au fil du temps, le modèle intégré déployé à Saint John serait également considéré comme une option dans d’autres régions de la province.

Mon mari et moi avons appris au mois d’août dernier que notre famille s’agrandirait en avril 2021. Nous étions tellement excités! Notre chien, Figs, lui, l’était un peu moins. Disons qu’il en avait assez des deux mousses que nous avions déjà! J’ai toujours été du genre à ne pas garder les bonnes nouvelles pour moi, parce que je crois que la vie mérite d’être célébrée à tout moment. Notre famille et nos amis ont rapidement été mis au courant et étaient aussi excités que nous. Nos filles savaient qu’elles allaient devenir de grandes sœurs et elles prenaient déjà leur rôle au sérieux. À sept semaines de grossesse, nous avons eu une échographie qui montrait que tout allait bien et que le petit cœur battait fort. Grâce à mon expérience de médecin de famille, je savais que dans 98 % des cas, quand on obtient ce genre de résultat à la première échographie, on tient un bébé en santé dans nos bras neuf mois plus tard. Toutefois, durant les quelques semaines qui ont suivi, le doute a commencé à s’installer dans mon esprit. Mes pantalons me faisaient encore et certains symptômes avaient disparu. Au travail, j’ai essayé quelques fois d’entendre le beau petit battement de cœur du bébé, mais je n’arrivais pas à le trouver. Pourtant, quand j’ai porté mes filles Jubilee et Cadence, j’ai entendu leur cœur

aux alentours de la huitième ou de la neuvième semaine de grossesse. J’ai essayé de ne pas m’en faire et je me suis dit que ça devait être à cause des quelques livres que j’avais prises depuis ma dernière grossesse.

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Mais comme vous le savez, l’instinct maternel est fort, et j’ai voulu en avoir le cœur net. À 11 semaines de grossesse, ma collègue et amie a essayé d’entendre le cœur du bébé, en vain. On m’a fait passer une échographie. La technologue était très gentille, et sans qu’elle ait eu à dire quoi que ce soit, j’ai compris qu’elle avait de mauvaises nouvelles pour moi : notre bébé à naître nous avait quittés. La marche entre la salle d’échographie et ma voiture m’a semblé surréelle. Je regardais le visage des gens que je croisais et me demandais si eux aussi, ils allaient avoir de mauvaises nouvelles ce jour-là. J’ai annoncé la nouvelle à mon mari et à ma famille, puis je suis allée chercher les filles à l’école. J’avais une envie irrépressible de les serrer dans mes bras et de les coller. Quand nous avons appris la nouvelle à Jubilee, elle s’est mise à pleurer, ce qui m’a fendu le cœur. Elle était si attentionnée et ses questions étaient empreintes d’innocence et d’amour. Nous avons décidé de passer la fin de semaine ensemble, tranquilles, pour digérer la nouvelle et nous remettre sur pied. Nous sommes allés faire une randonnée et nous avons pris le temps de réfléchir à toute la chance que nous avions malgré tout. Le lundi, au travail, ça n’a pas été facile. J’ai reçu des patientes qui étaient environ au même stade de grossesse que moi et qui entendaient le petit cœur pour la première fois. J’étais très contente pour elles, mais en même temps si triste pour moi et le petit être dans mon ventre que je ne verrais jamais grandir. À ma grande surprise, cette journée-là, je me suis sentie privilégiée malgré mon deuil. J’adore mon travail et faire partie du bonheur d’autrui

Prix d’excellence en bénévolat aux Auxiliaires de l’Hôpital St. Joseph

m’a aidée en ce moment de deuil personnel. Le lendemain, les rôles ont été inversés : c’est moi qui étais la patiente. Mon corps semblait prêt à lâcher prise et j’ai commencé à présenter des signes de ma fausse couche. Les soins que j’ai reçus ont été fantastiques. Comme médecin, je ne compte plus les fois où j’ai partagé la peine de femmes et d’hommes devant l’injustice des fausses couches et du deuil périnatal. Ce sujet me touche profondément, tant du point de vue de mon expérience professionnelle que de mon expérience personnelle, puisque nous avions aussi vécu une fausse couche avant la naissance de notre première fille. Tout le monde vit des deuils au courant de sa vie et tout le monde a sa propre façon de s’en remettre. Je suis du genre à en parler et à m’ouvrir sur le sujet; d’autres préfèrent garder leurs émotions pour eux. Le deuil n’est régi par aucune règle et n’a aucune échéance. Après tout, ces bébés faisaient partie de nos rêves, de nos souhaits et de nos plans pour l’avenir. Nous nous étions déjà imaginés en train de les tenir dans nos bras pour la première fois et compter leurs petits doigts et leurs petits orteils. Sentez-vous libres de vivre votre deuil à votre façon. Que vous souhaitiez vivre votre peine avec vous-mêmes ou la partager, c’est votre choix. Sachez seulement que vous n’êtes pas seuls et que bien d’autres personnes comprennent ce que vous vivez.

Le prix d’excellence en bénévolat de Santé catholique internationale a récemment été décerné aux Auxiliaires de l’Hôpital St. Joseph. Le 9 octobre, Jennie Gallant, présidente des Auxiliaires, a reçu le prix remis par Kathi Hurley, directrice de l’Hôpital St. Joseph du Réseau de santé Horizon, en présence de Melissa Short, administratrice des Auxiliaires. Les Auxiliaires de l’Hôpital St. Joseph sont actifs depuis leur création en 1929. Les membres font partie du personnel bénévole de Jo’s Boutique, la boutique de cadeaux très appréciée située dans le hall de l’Hôpital St. Joseph. Les recettes sont versées aux divers secteurs de l’hôpital au profit des patients. Santé catholique internationale (SCI), commanditaire de

l’Hôpital St. Joseph, a eu le plaisir de reconnaître l’immense dévouement des bénévoles en leur remettant ce prix. En raison des restrictions imposées par la pandémie de COVID-19, les membres auxiliaires n’ont pas pu assister à la remise du prix – mais on leur a promis une célébration lorsqu’il sera possible de

De gauche à droite : Melissa Short, administratrice des Auxiliaires de l’Hôpital St. Joseph; Jennie Gallant, présidente des Auxiliaires de l’Hôpital St. Joseph; et Kathi Hurley, directrice de l’Hôpital St. Joseph.

se rencontrer. Félicitations!

Félicitations aux lauréates et lauréats des prix Quality Quest 2020! Le programme annuel de prix Quality Quest remercier pour leur dévouement à la prestation de soins de qualité aux patients. »

Voici vos lauréats des Prix de héros de la sécurité des patients de 2020!

Le mois dernier, Horizon a lancé la célébration de la Semaine nationale de la sécurité des patients en remettant les Prix de héros de la sécurité des patients lors d’une cérémonie virtuelle. Les Prix de héros de la sécurité des patients sont remis chaque année à une personne et à une équipe d’Horizon qui excellent dans leur engagement envers la sécurité, leur approche novatrice pour apporter des changements qui améliorent la sécurité des patients, leur esprit de collaboration qui prouve que nous sommes des leaders, mais nous travaillons comme une équipe, ainsi qu’en valorisant et en comprenant le rôle des préoccupations de sécurité exprimées par les patients et leurs familles.

L’équipe a atteint son objectif visant à assurer la prestation de la thérapie à tous les patients 100 pour cent du temps dans des milieux qui réduisent au minimum l’exposition des fournisseurs de soins de santé, des patients et des familles à des médicaments dangereux. Le processus pour l’installation de l’équipement et la prestation de la thérapie par intraveineuse a été normalisé et mis en œuvre dans tous les lieux de prestation de ce service d’Horizon. En tant que projet global primé, la normalisation de l’administration de la thérapie systémique du cancer à Horizon sera présentée au concours de prix national 3M récompensant les initiatives d’amélioration de la qualité en février 2020. Le projet de la Clinique interprofessionnelle d’évaluation et d’éducation en matière de lombalgie du Nouveau-Brunswick était en lice pour le prix. Ce projet a été dirigé conjointement par Dana El-Mughayyar, coordonnatrice de la recherche au Canada East Spine Centre, à Saint John, et Tara Mann, gestionnaire des Services de physiothérapie à L’Hôpital de Moncton du Réseau de santé Horizon, lesquelles ont travaillé avec une équipe interdisciplinaire à chacun des sites. D’abord mis en œuvre sous la forme de projet pilote à l’Hôpital régional de Saint John et à L’Hôpital de Moncton du Réseau de santé Horizon afin de combler une lacune dans la qualité des soins offerts aux patients souffrant de lombalgie, le programme a pour but d’améliorer la prestation des services aux patients et de les aider à retrouver la santé grâce à une évaluation rapide et à d’excellents soins personnalisés. Le programme fournit en temps utile l’accès à des soins tels que des programmes d’exercices personnalisés, des plans de traitement et l’aiguillage vers des spécialistes. Il s’est avéré efficace pour réduire le nombre de rendez- vous non nécessaires au Service d’imagerie et améliorer les résultats de santé chez les patients. La Dre Rebecca Mills et Erica de Passillé, respectivement neuropsychologue clinique et physiothérapeute au Centre de réadaptation Stan Cassidy, à Fredericton, ont également été finalistes pour leur projet : Améliorer l’autogestion de la douleur. L’équipe derrière le projet a préparé et présenté des séances éducatives de groupe sur la douleur pour les patients hospitalisés et les patients en consultation externe, qui misent sur des stratégies de gestion non pharmacologique de la douleur fondées sur des données factuelles. Leurs travaux ont trouvé écho auprès de tous les autres membres de l’équipe, de sorte que l’éducation sur la science de la douleur et les stratégies d’autogestion de la douleur font maintenant partie de leur travail quotidien.

d’Horizon sert à reconnaître les équipes d’Horizon qui veillent à l’amélioration de la qualité et à faire connaître les initiatives d’amélioration de la qualité mises en œuvre à l’échelle d’Horizon. Dans le cadre de la septième remise de prix, sept mises en candidature ont été présentées et examinées par le comité d’examen des prix Quality Quest. Les collègues et l’équipe de direction d’Horizon ont célébré le travail de la grande gagnante et des deux finalistes lors d’une cérémonie virtuelle de remise de prix en octobre. « Les prix Quality Quest mettent en évidence le travail extraordinaire réalisé dans toute notre organisation et soulignent notre recherche constante de l’excellence », a déclaré Margaret Melanson, vice-présidente aux services de qualité et aux soins centrés sur le patient du Réseau de santé Horizon. « Je tiens à féliciter les lauréates et lauréats et à les

La grande gagnante est Brenda Kinney, directrice générale pour la région de Saint John au Réseau de santé Horizon, et son équipe pour leur projet « Normalisation de la prestation de la thérapie systémique du cancer d’Horizon ». Le projet a débuté sous la forme d’une initiative régionale d’amélioration de la qualité en 2018. Dans l’ensemble du Réseau de santé Horizon, on administre plus de 15 000 traitements de chimiothérapie par année, ce qui fait de la thérapie systémique du cancer (TSC) une composante essentielle des soins oncologiques dans l’organisation. Compte tenu du vieillissement croissant de la population et de l’augmentation des taux d’incidence du cancer au Nouveau-Brunswick, la prestation sûre et compétente de la TSC nécessite une planification, une éducation et un suivi normalisés et fondés sur des données probantes.

Lauréat du Prix individuel, RickWallace.

Lauréats du Prix d’équipe, Dr Angus MacDonald et Jacquelynn Carter.

de simulation et de sécurité au Service d’urgence de L’Hôpital de Moncton du Réseau de santé Horizon. Ils ont modifié leur travail

à ce qui est le mieux pour le patient et ses collègues. Il travaille avec diligence pour fournir les soins les plus sûrs possible à nos patients. Prix d’équipe : Dr Angus MacDonald et Jacquelynn Carter On a félicité le Dr MacDonald et Jacquelynn Carter, infirmière immatriculée, pour leur ouverture aux commentaires sur leur travail en matière immatriculés (I.I.), les infirmières et les infirmiers auxiliaires autorisés (I.A.A.) et les infirmières praticiennes et infirmiers praticiens (I.P.) qui ont été nommés par leurs collègues pour leur excellence en soins infirmiers dans les domaines du leadership, de la pratique clinique, du mentorat et de pratique infirmière débutante. Le Comité sur la qualité et le professionnalisme des soins infirmiers a reçu 40 soumissions de l’ensemble d’Horizon, et 16 professionnels des soins infirmiers ont été officiellement

Cette année, il y a eu quatre nominations pour le prix individuel et cinq nominations pour le prix d’équipe. Et voici les gagnants… Prix individuel : Rick Wallace Rick est un travailleur de soutien en médecine familiale à l’Hôpital régional de Saint John du Réseau de santé Horizon qui réfléchit toujours pour s’assurer qu’il s’agissait de l’outil le plus centré sur le patient qui pouvait être mis en pratique, non seulement pendant la COVID-19, mais aussi à l’avenir. Félicitations aux lauréats des Prix de héros de la sécurité des patients de 2020! Prix de distinction en soins infirmiers 2020 d’Horizon Récemment, le Comité sur la qualité et le

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reconnus par le Comité et par Geri Geldart, vice-présidente des services cliniques et infirmière en chef d’Horizon. Les lauréats ont été récompensés pour leur contribution au professionnalisme des soins infirmiers, ainsi que pour avoir concrétisé la mission, la vision et les valeurs de notre organisation. Félicitations à tous les lauréats et lauréates du Prix de distinction en soins infirmiers de 2020!

professionnalisme des soins infirmiers d’Horizon a tenu une cérémonie pour sa troisième remise annuelle de prix de distinction en soins infirmiers. Dans le passé, on remettait les prix lors d’une série d’événements de reconnaissance dans les établissements d’Horizon, mais en raison de la pandémie de COVID-19, cette année, l’événement a eu lieu virtuellement. Les prix de distinction en soins infirmiers récompensent les infirmières et les infirmiers

RÉGIONDEMONCTON

RÉGIONDEMIRAMICHI

Brenda Kinney, chef d’équipe du projet de normalisation de la prestation de la thérapie systémique du cancer à Horizon, a reçu la plaque Quality Quest à l’Hôpital régional de Saint John du Réseau de santé Horizon.

Dana El-Mughayyar, chef de projet de la Clinique interprofessionnelle d’évaluation et d’éducation en matière de lombalgie du Nouveau-Brunswick (CIEEL-NB), a reçu la plaque Quality Quest au Canada East Spine Centre à Saint John.

De gauche à droite : Karen Hicks, I.A.A. (pratique clinique) en compagnie de l’infirmière gestionnaire Christine Flanagan et de collègues de l’unité : Brittany Lyons, I.I. (pratique infirmière débutante), Kiera Strang, I.I. (leadership); et Pauline MacDonald, I.I. (mentorat).

De gauche à droite : Carolyn Sutherland, I.I. (mentorat); Jessica Marshall, I.A.A. (pratique infirmière débutante); et Jaqueline Hare, I.I. (leadership). Le mari de Jaqueline, Chris Hare, a accepté le prix en son nom remis par Lisa Keirstead Johnson, coordonnatrice de la pratique infirmière.

RÉGIONDE SAINT JOHN

RÉGIONDE FREDERICTONETDUHAUTDE LAVALLÉE

De gauche à droite : Brenda Zadorozny, I.I. (pratique clinique); Veronica Jamieson, I.I. (leadership, Fredericton); Courtney Curtis, I.I. (pratique infirmière débutante); Lisa Jones, I.A.A. (mentorat); et Denise Gray, I.I. (leadership, Haut de la Vallée).

Les responsables de l’équipe du projet d’amélioration de l’autogestion de la douleur, Erica de Passillé et la Dre Rebecca Mills, ont reçu la plaque Quality Quest à l’extérieur du Centre de réadaptation Stan Cassidy du Réseau de santé Horizon.

De gauche à droite : Karen Bedford, I.I. (leadership); Logan Rousselle, I.I. (pratique infirmière débutante), Patti Reid-Shore, I.A.A. (mentorat); et Tracy Adams, I.I. (pratique clinique), en compagnie de l’infirmière gestionnaire Meghan Fitzgerald.

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