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Jamie Laurin seeks third terme on Russell council GREGGCHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca “It was always my intention to run again,” he said, adding that he talked the matter over with his family first. “It was a family decision.” said, “which is why I want to come back. The one major item I want to see started is the recreation complex project.”

Laurin noted that the aborted hockey academy project had occupied much of council’s time when Ken Hill occupied the Laurin noted that the aborted hockey academy project had occupied much of council’s time when Ken Hill occupied the mayor’s chair and pushed aside the original idea of developing a large-scale sports and recreation complex for the township. mayor’s chair and pushed aside the original idea of developing a large-scale sports and recreation complex for the township. The proponents for the hockey academy took their project to Clarence-Rockland in the end so Laurin thinks it is now time for council, township administration, and the community to re-examine the original recreation complex idea. “I want to see that the right plan is set in place at least,” he said, adding that a recreation complex was part of his original campaign platform when he first ran for council.

The two-term councillor noted that when he first decided to run for township council his original plans were to seek re-election at least twice. Laurin noted that many of the issues he wanted to deal with as part of council, like economic development goals and a community recreation complex, would take at least three terms to see satisfactory results for him. “There’s still a lot of work to be done,” he

RUSSELL | The youngest member of Russell Township council is going for his re-election hat trick. Jamie Laurin has decided to seek a third term as councillor. Laurin has been mulling over the matter since the start of the year and confirmed Monday during an interview with the Reflet News that his name will be on the ballot in the October civic election.

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Jamie Laurin

“I think it’s something we have to look at,” Laurin said. “Something we need for this growing community.” A community recreation complex also fits in with Laurin’s goals for expanding economic development in Russell Township. Hiring a full-time economic development director was the first step and he says now the township needs to take the next step with promotion of the industrial park site, opening up some municipal land in Russell village for development there, and other goals. Laurin plans to file his nomination papers in June after a family vacation. “When we get back,” he said, “I will be in full campaign mode.”

CHANTAL QUIRION CHANTAL.QUIRION@EAP.ON.CA

Chaque décision s’inscrit dans le souci du respect des normes ISO 14001, un système qui permet notamment demesurer l’impact des gestes posés et d’adapter les pratiques en conséquence. Le CEPEO annonçait d’ailleurs tout ré- cemment qu’il a obtenu la certification ISO 14001, devenant ainsi le premier conseil scolaire en Amérique du Nord à recevoir cette certification et le premier au monde à obtenir à la fois la certification ISO 14001 et à offrir le programme ISO 14000 pour ses élèves. Le siège social du CEPEO à Ottawa et trois de ses écoles, dont l’École secondaire publique L’Héritage à Cornwall, l’École élé- mentaire publique De la Rivière Castor à Embrun et l’École élémentaire publique Des Sentiers à Orléans, ont répondu aux attentes élevées de la norme ISO 14001 ainsi qu’à celles des vérificateurs externes, à la suite d’une visite de plusieurs jours. D’ici deux ans, le CEPEO vise à obtenir la certifi- cation de ses 38 écoles. La famille de la norme ISO 14000, traite divers aspects de la gestion environne- mentale et est reconnue mondialement par l’Organisation des Nations Unies pour l’édu- cation, la science et la culture (UNESCO). Nos résidents ne peuvent tout simplement pas se permettre de payer les coûts sans cesse croissants des services municipaux, particulièrement lorsque les zones rurales ont tellement d’infrastructures qui doivent être maintenues par une population petite et dispersée.» Bien que ce rapport offre des suggestions pour améliorer la situation financière des résidents, l’EOWC exige que le gouvernement provincial collabore avec les municipalités à élaborer et mettre en œuvre de nouvelles approches pour alléger ce fardeau pour leurs contribuables. Dans un ménage typique des régions rurales de l’est de l’Ontario, les revenus sont de 75 202$, soit 10 000$ en-dessous de la moyenne provinciale. Près de 90% de l’évaluation locale est résidentielle. La valeur moyenne des maisons est de 232 925$, ou 60 000$ plus basse que la moyenne provinciale. Il y a un grand pourcentage de maisons qui ont besoin de réparations importantes, soit 8,2% sur une moyenne de 6,6%.

OTTAWA | Le Conseil des écoles pub- liques de l’Est de l’Ontario (CEPEO) est au nombre des finalistes dans la catégo- rie Programme Éco-Responsable des Prix d’excellence du Regroupement des gens d’affaires (RGA), dont les lauréats seront dévoilés le 12 avril prochain lors du Gala qui aura lieu à Ottawa. « C’est pour nous une grande fierté que le RGA reconnaisse les efforts d’une organi- sation publique comme la nôtre, a indiqué Jean-Pierre Dufour, surintendant respon- sable du Programme Éco-Responsable au CEPEO. Ceci est le résultat d’une étroite col- laboration entre les élèves, les employés du CEPEO et les communautés scolaires. Le CEPEO s’est engagé à sensibiliser les élèves aux enjeux environnementaux en in- tégrant cet aspect dans l’enseignement de diverses matières, a expliqué M. Dufour. De plus, le CEPEO est en train d’adapter sa ges- tion à l’échelle du conseil, de sorte à réduire son empreinte écologique. Cela s’applique autant à la consommation d’eau ou d’éner- gie qu’aux choix des fournitures et même des fournisseurs. L’ORIGNAL | Les contribuables ruraux de l’est de l’Ontario ont de plus en plus de difficulté à payer les coûts des services municipaux essentiels, selon un nouveau rapport du caucus des présidents des Comtés unis. L’ Eastern Ontario Wardens Caucus (EOWC) dresse un portrait d’une région rurale qui, comparativement à la moyenne provinciale, a des revenus inférieurs, un plus faible niveau d’éducation, une proportion plus élevée de personnes âgées, et une proportion plus élevée de logements nécessitant des réparations majeures. «Notre analyse démontre que les revenus des ménages ruraux sont en moyenne 10 000$ par année de moins que la moyenne de l’Ontario, et que près d’un sur cinq de nos résidents est une personne âgée, dont beaucoup sont à revenu fixe», a expliqué Jean-Paul St. Pierre, président de l’EOWC et président des Comtés unis de Prescott et Russell pour 2014. «Nous sommes à un carrefour en matière de viabilité financière des collectivités locales.

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