Express_2012_12_07

COMMUNITY

editionap.ca

How ordinary citizens can become life-savers

Y a-t-il quelque chose dans l’eau?

L’ORIGNAL | Technology has greatly im- proved the chances of a person surviv- ing a cardiac arrest. Yet many people have no idea how to employ life-saving equipment or techniques. Citizen intervention, in applying cardio pulmonary resuscitation or using public automated external defibrillators, is a key link in the “Chain of Survival.” Local governments are being encour- aged to help save lives by promoting the Cardiac Safe Communities drive. “Few people know how to use CPR,” observes Barbara Burton-Newman, who along with Micheline Turnau spoke on behalf of the Heart and Stroke Founda- tion of Canada at a recent Prescott-Rus- sell united counties council meeting. A Maxville resident, Burton-Newman knows first-hand of the benefits of rapid intervention. Years ago, her father, the late Ernest Burton, one-time reeve of Rus- sell Township, got a new lease on new life when he collapsed at the Lachute Fair, and was revived by a person using CPR. The counties have done their share to enhance survival rates in the district, notes Michel Chrétien, director of the re- gional emergency services department. About 115 AEDs have been placed in public places in the counties, including all rinks, community centres, schools and town halls. Since the AED initiative was launched in this area in 2007, the computer-as- sisted defibrillators have been deployed three times. “We have had a 100 per cent survival rate so far,” relates Chrétien. The counties have also given CPR training ses-

« Je n’ai pas vu autant de bois mort depuis le verglas de 1998. » En 2010, un homme sage a fait cette remarque à la suite des élections. Comme on a pu le constater, le renouveau fut le thème lors des élections des conseils municipaux et des conseils scolaires en Ontario. À travers la province, les gens de plusieurs municipalités ont décidé que le gou- vernement local avait besoin d’un changement radical. Dans certaines municipalités, tous les membres des conseils municipaux ont été remplacés. Le même sentiment était évident dans notre région. Cinq des huit municipalités de Prescott et Russell se sont retrouvés avec de nouveaux maires à la suite de la cam- pagne. Aujourd’hui, ces conseils sont rendus à mi-chemin de leur mandat de quatre ans. Mais, deux ans après le début de l’ère du « renouveau », plusieurs se posent une question familière : « Y a-t-il quelque chose dans l’eau à Hawkesbury? » Bien sûr, c’est une farce. On peut éliminer l’eau comme étant une cause possible de toutes les chicanes que l’on voit depuis trop longtemps à la table du conseil municipal. L’eau potable est bien correcte; en effet les tests démontrent que la qualité de l’eau potable à Hawkesbury est excellente. Et les gens dans le canton de Champlain boivent la même eau que les gens de Hawkesbury. Et pourtant, depuis des décennies, le canton de Champlain n’a jamais vécu la même ambiance de division qui existe parmi leurs homologues de Hawkesbury. En effet, malgré un changement majeur en 2010, les membres de Hawkesbury ont souvent été impliqués dans des « débats » houleux et émotifs au cours des deux dernières années. En dépit des promesses électorales, l’harmonie au conseil municipal n’a pas duré longtemps. Peu après le début du nouveau mandat des élus, le 1 er décembre, il était déjà évident que deux clans existaient au sein du conseil. Dès le départ, les conseillers Johanne Portelance, Michel Thibodeau et Marc Tourangeau, qui siégeaient au conseil pour la première fois, ont questionné le choix dumaire quant aux membres qui siége- raient au sein des comités. Par le passé, les nominations étaient rarement contestées et le conseil les approuvaient rapidement. Mais les conseillers Portelance, Thibodeau et Tourangeau ont alors rappelé que lors de la campagne électorale, la transparence était un thème commun. Ils ont déploré le fait que la Ville n’avait pas avisé la popula- tion que des postes au sein des comités étaient disponibles. Le maire n’a eu d’autre choix de faire des modifications. Depuis, le conseiller Tourangeau s’est souvent aligné avec le clan du maire René Berthiaume, avec les conseillers Michel Beaulne et Alain Fraser. La conseillère Jo- hanne Portelance, qui était la plus populaire des 13 candidats en 2010, et le conseiller Michel Thibodeau, continuent de déranger le maire. Ils soulignent qu’ils ont le droit et la responsabilité de s’assurer que les membres et les contribuables sont au courant des dossiers municipaux. Le clan du maire soutient que les critiques font mal à la réputation de la ville et nuisent à la croissance de la municipalité. Mais, entre nous, si des investisseurs sont vraiment sérieux, est-ce qu’une prise de bec entre nos élus risque de faire annuler des plans d’investissement à Hawkesbury? L’harmonie au conseil? C’est un peu comme la transparence –un vœu pieux. La Fédération souligne que les inefficacités et l’incertitude résultant des pro- grammes fondés sur un processus de demande sont encore plus difficiles pour les petites villes et les collectivités rurales, qui n’ont pas les ressources humaines dont bénéficient les plus grandes municipalités. Les enjeux qui préoccupent la FCM semblent banals, mais ils joueront un rôle dans l’amélioration de nos services. Le plan Parlant de politique, personne n’aime la condition de nos infrastructures – grosso modo, il y a des chemins et des rues en mauvais état partout dans notre région. Visitez le site fcm.ca, le site web de la Fédération canadienne des municipalités. La FCM affirme que le Canada a besoin d’un plan de 20 ans assorti d’un financement prévisible pour réparer ses infrastructures « qui tombent en ruine ». Le message était lancé par la FCM alors qu’elle a dévoilé ses recommandations pour le Plan d’infrastructure à long terme du gouvernement du Canada. «Un engagement financier fédéral à long terme qui reflète les cycles de vie des infrastructures qu’il vise à réparer est nécessaire pour permettre aux municipalités d’investir de façon ju- dicieuse et stratégique dans les secteurs prioritaires pendant des décennies, et non seulement pendant quelques années», a déclaré la présidente de la FCM et conseil- lère d’Edmonton, Karen Leibovici. «Cela signifie aussi qu’il faut délaisser les budgets fondés sur des processus de demande et offrir une enveloppe financière prévisible à toutes les municipalités.» «Nous ne pouvons pas compter sur l’ancienne loterie des infrastructures pour bâtir des villes fortes et une économie concurrentielle. Tout comme vous ne planifiez pas les réparations à la toiture de votre maison en vous fondant sur les probabilités de remporter à la loto 6-49, on ne peut pas établir les priorités d’une ville en matière d’infrastructure sur la possibilité d’être choisi dans le cadre de programmes fondés sur un processus de demande», a lancé le président du Caucus des maires des grandes villes, le maire de Vancouver, Gregor Robertson.

Photo Richard Mahoney

Barbara Burton-Newman, of Maxville, speaks to Prescott-Russell united coun- ties council.

AEDs are now fixtures in public buildings

sions to the general public. Yet, the foundation notes that a survey has shown, while almost every single municipality now has AEDs in public places, only 45 per cent of the population remember seeing AEDs. The same poll showed that seven per cent of the popu- lation had never heard of AEDs. An element of the public awareness campaign is greater, more active citizen participation. The foundation wants that all bystand- ers, regardless of their qualifications, at the scene of a cardiac arrest, be directed by the 9‐1‐1 emergency medical dis- patcher to deliver CPR. Such direction, urging the caller/bystander to initiate CPR, may increase the rate of bystander CPR intervention. As it is currently pre- sented, in the form of a question, the by- stander is presented with an ambiguous option. Calling 9‐1‐1 and pushing hard and fast, repeatedly on the centre of the victim’s chest until help arrives will go a long way to helping the person survive. Every year, 7,000 cardiac arrests occur in Ontario. A victim’s chance of survival can increase to 75 per cent when early CPR is used in combination with an AED. For out‐of‐hospital cardiac arrests, the survival rate in Ontario is only 5 to 6 per cent. By comparison, Seattle, considered by many to be the “gold‐standard” in car- diac safety in North America, has a sur- vival rate of 16.3 per cent. Research shows that 35 to 55 per cent of out‐of‐hospital arrests are witnessed by a bystander, often a family member or friend.

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