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Le moral se maintient au Collège d’Alfred ACTUALITÉ

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Manley, réélu à cette occasion, que dans ceux de la directrice du Campus d’Alfred, Dre Renée Bergeron, l’optimisme a trans- paru. «Il n’y a pas eu beaucoup de change- ment au niveau de l’o#re de programmes. Malgré l’incertitude, les gens ont continué à nous faire con"ance», a mentionné Dre

CHANTAL QUIRION chantal.quirion@eap.on.ca

ALFRED | Il faudra attendre jusqu’à la mi- décembre mais au moins une date a été avancée pour la mise en circulation du rapport Godbout, rapport portant sur la relance du Collège d’Alfred. C’est ce qu’a indiqué, entre autres, le di- recteur général de l’Union des cultivateurs franco-ontariens, Simon Durand, mercredi soir lors de l’assemblée générale annuelle (AGA) du Conseil communautaire du Col- lège d’Alfred, qui s’est tenue sur le Campus même. Cependant, cela ne signi"e pas néces- sairement que les décisions du ministre de l’Agriculture de l’Ontario seront connues au même moment. Néanmoins, les intéressés pourront prendre connaissance des conclu- sions du négociateur Marc Godbout qui a entrepris une vaste campagne de consulta- tion à l’échelle provinciale, avant de dépo- ser ses recommandations, le mois dernier. M. Godbout avait étémandaté d’entamer ce processus après que l’Université de Guelph ait annoncé en mars dernier, son inten- tion de fermer ses deux campus agricoles, Guelph et Kemptville. Par la suite, La Cité et Le Collège Boréal ont accepté de prendre en main les trois programmes de formation o#erts à Alfred. Lors de l’AGA, tant dans les propos du président du Conseil communautaire Tom

Photo Chantal Quirion

Le président du Conseil communautaire du Collège d’Alfred, Tom Manley et le directeur général du l’UCFO, Simon Durand.

Bergeron. Ainsi, selon les chi#res mentionnés dans son rapport, non seulement les pro- grammes ont été maintenus grâce à La Cité et Boréal, mais les inscriptions ont augmenté et un nouveau programme d’intégration au marché du travail s’est ajouté. Quant aux volets projets à l’inter- national et recherche, là aussi les nou- velles sont bonnes. Une quinzaine de projets sont en cours au Centre ontarien des eaux usées pour une valeur d’un peu plus d’un million de financement déjà as- suré, et environ le même montant pour le Centre de recherche en production laitière biologique qui a une dizaine de projets en route. Les deux centres font partie du Cam- pus d’Alfred et dépendent principalement de subventions fédérales. Quand au volet international, le Collège Boréal a montré son intérêt à ce que ce volet demeure bien vivant, ce qu’il est présentement. «On a réussi à maintenir l’ensemble de nos activités et tout le monde a gardé le L’eau que vous buvez provient-elle d’un puits privé? Est-elle $able? Il est facile de le savoir en faisant tester l’eau de son puits. Le Bureau de Santé de l’Est de l’Ontario propose de tester gratuitement l’eau du puits des ménages qui provient d’un puits artésien. Même si la couleur de l’eau est claire et n’a aucune odeur, il se peut qu’il ne soit pas recommandé de la boire. «Les bac- téries dans l’eau peuvent être responsables de maladies graves qui peuvent amener à une hospitalisation ou encore conduire à la mort», a expliqué Caroline Kuate, res- ponsable du programme pour la qualité de l’eau. Il est très important de véri"er la pro- King Garage

moral» a conclu Dre Bergeron. M. Manley a abondé dans le même sens. Il a indiqué que les situations du Campus de Kemptville et d’Alfred ne sont pas vraiment comparables. «La position d’Alfred me semble beau- coup plus prometteuse. Quant à moi, l’ave- nir d’Alfredme semble à peu près assuré. On attend juste des décisions administratives», a indiqué M. Manley. Au nombre de ces décisions, le mode de gouvernance et la gestion des ressources humaines sont les principaux motifs de questionnement. Les contrats de travail des employés se terminent au printemps et nul n’est assuré de rien pour l’instant. Cepen- dant, personne ne semble croire que le fonctionnement actuel pourrait être com- promis. «Il faudra attendre la décision du ministre et si vous ne l’entendez pas de la bouche du ministre ou du sous-ministre, considérez cela comme une rumeur», a fait valoir M. Durand. venance de l’eau de votre puits pour plus de sécurité.» La qualité de l’eau peut changer avec le temps, ou encore cela peut se produire sou- dainement sans que le propriétaire ne se rende compte d’un changement de goût, d’odeur ou simplement d’apparence. C’est la raison pour laquelle l’eau d’un puits doit être testée au moins trois fois par année, précisément dès l’arrivée du printemps, à la fonte des neiges, lorsque de l’eau mal- propre peut s’in"ltrer dans le puits. Tester ainsi son eau sur une base régulière est la seule manière de s’assurer de la qualité et de la "abilité de l’eau potable. Les résultats permettent de cibler les problèmes et d’évi- ter toute contamination. Pour ce faire, il faut transvider un échan- tillon d’eau du puits dans une bouteille de véri"cation du Bureau de Santé de l’Est de l’Ontario. On peut s’y rendre tous les jours de la semaine sauf les vendredis. Pour plus d’information sur les tests d’eau de puits, on peut composer le 613-933-1375 ou le 1-800-267-7120 et demander la ligne san- té. On peut également visiter le site www. eohu.ca pour en connaître davantage.

Photo Chantal Quirion

La directrice du Campus d’Alfred, Dre Renée Bergeron.

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L’importance de tester l’eau de son puits

613-933-1375 ou 1 800 267-7120 Demandez la ligne Appel-santé.

935 route 17, C.P. 33, L’Orignal, ON K0B 1K0 Tél. : 613 675-4834 • Téléc. : 613 675-2877 À l’achat de pneus, obtenez l’installation et l’équilibrage gratuitement Réparation générale • Dépanneuse

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