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rière d’un joueur de hockey où les décisions vont influencer et chambouler leur vie et leur avenir. En les encadrant et leur offrant des choix réfléchis, réalistes et atteignables, ils pourront foncer avec détermination. » En quittant les Hawks, Ian Henderson a également vendu ses parts de l’équipe à Syl- vain Landers, qui est maintenant le seul et unique propriétaire de l’équipe junior A. À quelques semaines des repêchages bantam
Ian Henderson concrétise un ambitieux projet de développement du hockey qui a des ramifications dans les écoles, au niveau du hockey printanier et ainsi que dans les rangs midget et junior. Basés sur le sys- tème de développement américain, les programmes des Faucons et des Rebelles préparent les hockeyeurs avec discipline sans leur faire miroiter des rêves de hockey impossibles. Avec une académie à Hawkes- bury, le CEPEO fait du recrutement
et midget, le départ de Henderson n’est pas une situation idéale, mais Lan- ders indique que les Hawks demeurent entre bonnes mains avec la nomination de Rick Dorval au poste de directeur général. Ce der- nier continuera également à être l’entraîneur-chef de l’équipe.
« Si vous aviez la chance d’aller chercher le directeur général de l’année pour votre équipe, ne serait-ce pas une occasion à ne pas manquer? » Il sera l’entraîneur-chef des Rebelles et son expérience d’entraîneur, de dirigeant et de conseiller seront des atouts pour le développement complet de nos joueurs et l’implantation du programme à Louis-Riel. »
intense au Québec, tant à Montréal que sur la Rive-Sud et à Québec. Du côté des Rebelles, l’ar- rivée de l’équipe pourrait attirer plusieurs joueurs de l’Outaouais et de la Capitale na- tionale, un bassin de joueurs pas pi- qués des vers. D’un
Shawn Anderson
« Ian a fait de la bonne ouvrage avec nous, mais les Hawks, c’est d’abord un tra- vail d’équipe et il n’était pas seul à prendre des décisions au niveau du recrutement, a expliqué Sylvain Landers. Rick et le direc- teur adjoint Lou Nistico ont aussi beaucoup contribué, surtout pour le recrutement de joueurs aux États-Unis. Ian a eu une occa- sion ailleurs et nous comprenons ça. Il est jeune et a une famille à Ottawa et ce sera mieux pour lui. Ça fait partie de la game dans le junior. Les gens partent et viennent. Mais cela ne va pas nuire aux Hawks. » Bien placés sur l’échiquier La réunion de Shawn Anderson et de
bout à l’autre de la 174-17, le CEPEO se positionne comme un joueur sérieux dans l’industrie du hockey secondaire. Les deux équipes voyageront ensemble pour les showcases de la PSHF et les deux équipes tiendront un camp de recrutement conjoint à la fin des camps juniors pour dénicher des joueurs pour la saison 2016-2017. Avec un encadrement axé sur le déve- loppement sérieux sur la glace et les bancs d’école, les deux académies mettent en place une structure semblable aux collèges américains de la NCAA, où le hockey est un sport de gagnants qui ont une tête sur les épaules.
Shawn Anderson s’est tourné vers un ancien allier des Hawks pour construire sa nouvelle équipe des Rebelles de Louis-Riel. —photos Stéphane Lajoie
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