Carillon_2021_04_07

A C T U A L I T É S LES SALAIRES DU SECTEUR DE LA SANTÉ SONT LES PLUS ÉLEVÉS

GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca

Hôpital de Hawkesbury Il y a 70 noms sur la liste Soleil de l’Hôpi- tal général de Hawkesbury et du district (HGH) pour 2020. En tête de liste des 10 premiers : Marc Leboutillier, directeur général de l’HGH, gagne 222 509,69$ ; Marcel Leclair, vice- président des finances et des services généraux, qui gagne 207 586,62$ et le troisième, Hristo Radilov, infirmier diplômé, avec 196 738,95$. Le reste du top 10 de HGH est composé de : Marilyn San Pablo, infirmière autorisée, avec 189 131,85$ ; Gisèle Larocque, vice- présidente des ressources humaines et des services généraux; Imrana Jeoffrey, vice-pré- sidente des soins ambulatoires, de la qualité et de l’informatique, avec 157 669,73$; Julie Milks, directrice clinique, à 150 332,90$ ; Sylvie Lefebvre, directrice de l’intégration critique et de la sensibilisation communautaire, avec 147 441,83$ ; Sylvain Grenier, directeur clinique, à 139 729,70$ et Chelsea Albright, infirmière autorisée, à 136 345,08 $. Bureau de santé Il y a 36 noms sur la liste Sunshine pour le Bureau de santé de l’est de l’Ontario

(BSEO). En tête des dix premiers salaires du BSEO se trouve le Dr Paul Roumeliotis, médecin hygiéniste et chef de la direction, avec 357 436,14$. La deuxième est Patricia Gauley, directrice du BSEO, avec 172 623,15$. La troisième est Nicole Laplante, directrice du BSEO, avec 172 623,14$. Les dix premiers salaires du BSEO sont les suivants : Thérèse Bourgeois, directrice du BSEO, avec 157 317,78 $ ; Frank Spa- gnolo, directeur du BSEO, avec 148 726,22 $ ; Linda Cleroux, directrice du BSEO, avec 141 625,01 $ ; Karine Hébert, gestionnaire des communications, avec 127 436,10 $ ; Caroline Kuate, gestionnaire de programmes, avec 12,5 millions de dollars. 10 $ ; Caroline Kuate, gestionnaire de programme, à 126 193,58 $ ; Joanne Porporo, gestionnaire des services d’information, à 124 952,76 $ ; et Shawn Pilon, gestionnaire de bureau, à 121 152,76 $.

Le gouvernement provincial a publié sa Sunshine List annuelle des salaires du secteur public les plus élevés et ce sont ceux du secteur de la santé qui sont les plus élevés. La Sunshine List est un évènement annuel depuis 1996 en raison de la Loi sur la divulgation dans le secteur public du gouvernement progressiste-conservateur de Mike Harris. Elle énumère tous les employés du secteur public dont le salaire annuel est de 100 000 $ ou plus au cours de la dernière année, dont tous les employés de la fonction publique provinciale et munici- pale, les employés des districts scolaires, les employés des hôpitaux et tous ceux qui travaillent pour des organismes non gouvernementaux du secteur public. La Sunshine List 2020 indique que les personnes employées dans le secteur de la santé, soit comme médecins et infirmières, soit comme techniciens médicaux ou person- nel de soutien, gagnent les salaires les plus élevés parmi les travailleurs de la fonction publique de l’Ontario.

La Sunshine List est disponible sur https://www.ontario.ca/page/public-sec- tor-salary-disclosure-2020-all-sectors-and- seconded-employees. Le secteur des soins de santé offre certains des salaires les plus élevés parmi les employés de la fonction publique de l’Ontario, comme l’indique la liste ensoleillée 2020, maintenant disponible sur le site Web du gouvernement provincial. La Sunshine List comprend tous les employés du secteur public de l’Ontario qui ont un salaire annuel de 100 000 $ ou plus. —photo d’archives LE TEST BUCCAL S’IMPOSE DANS LA RÉGION PATRICK HACIKYAN patrick.hacikyan@eap.on.ca

profiter de cette solution de rechange pour freiner la propagation du virus», a commenté Rosemonde Landry, présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides. Par contre, les tests buccaux par gar- garisme ne sont pas encore disponibles dans la région de Prescott-Russell, du côté ontarien. Pourtant, au mois de septembre 2020, la compagnie Dynacare avait déjà procédé à des tests auprès de 432 patients de deux hôpitaux de l’Ontario: Sunnybrooke et North York, pour homologuer une nouvelle méthode d’échantillonnage salivaire. Les tests ont été concluants, mais n’ont pas été immédiatement approuvés par la Santé publique du Québec. Interrogé sur la non-disponibilité des tests buccaux dans les centres de dépistage de Hawkesbury et des autres municipalités de Prescott-Russell, Dr Paul Roumeliotis, directeur général du Bureau de santé de l’est de l’Ontario a signifié qu’ils sont sur le point d’être implantés. Bien que d’autres comtés ontariens aient débuté l’utilisation du test buccal, tel n’est pas encore le cas dans Prescott-Russell. «Nous travaillons actuellement sur ce dossier, pour rendre le test salivaire disponible à la population. Nous avons des équipes qui travaillent en ce moment pour que cela puisse être mis sur pied. Nous n’avons pas encore d’infor- mation pour savoir la date exacte à laquelle le dépistage buccal sera offert» a expliqué Dr Roumeliotis. La situation du coronavirus est stable dans les Laurentides avec 359 cas actifs de COVID-19 au 1er avril 2021. La MRC d’Argenteuil compte 21 cas actifs en date du 1er avril. Le comté de Prescott-Russell compte pour sa part 169 cas actifs à pareille date. Le centre de vaccination de Lachute desservant la MRC d’Argenteuil et situé à l’aréna Keven-Lowe – Pierre-Pagé a manqué de vaccins dans la journée du vendredi 2 avril et a donc dû fermer pour la journée. Les vaccins ont depuis recommencé à être distribués. Les 60 ans et plus peuvent désormais prendre leur rendez-vous pour se faire vacciner. De plus en plus, la liste de priorisation commence à faire jaser.

Né d’une race FIÈRE CASTONGUAY

Alors que le test buccal par gargarisme est maintenant généralisé dans les Laurentides, les habitants de Prescott- Russell attendent toujours pour la dispo- nibilité de cette méthode moins invasive de test COVID-19. Depuis le 17 mars dernier, les hôpitaux, centres de dépistage, CHSLD et ressources d’hébergement de la région des Laurentides offrent le test COVID-19 buccal, ne nécessi- tant pas l’utilisation d’écouvillons. Toute la population âgée de plus de six ans a donc maintenant accès à ce type de test. Ce test ayant été approuvé pour utilisation générale à Laval dès le 9 novembre 2021, toutes les régions ne l’ont pas encore déployé. «Plusieurs élus se sont manifestés lors de discussions avec le directeur de la santé publique des Laurentides, le Dr Éric Gohier, afin d’obtenir l’implantation de ce test dans les Laurentides, ce qui est maintenant fait. Je suis heureuse que le test salivaire soit maintenant disponible pour la région. Les personnes plus réticentes pourront plus facilement aller se faire dépister s’ils le désirent», a noté Agnès Grondin, députée d’Argenteuil. Le test buccal offre plusieurs avantages sur le test par l’écouvillon oronasopharyngé. Il ne nécessite pas de technique invasive et est aussi précis que ce dernier, sauf pour de rares exceptions. Le test salivaire ne nécessite pas de personnel qualifié pour être effectué. Les explications à donner au patient sont plus simples, les tests ne dépendent pas d’un approvisionnement en écouvillon oronasopharyngé, et la manipulation des échantillons et leur dépistage sont moins couteux. «Les tests par gargarisme sont beaucoup moins invasifs et représentent un atout de plus dans notre lutte contre la COVID-19. La validité de ce type d’échan- tillon a été prouvée et toutes les équipes de nos cliniques désignées de dépistage sont prêtes à procéder. Nous invitons donc les citoyens ayant des réticences à passer le test de dépistage régulier par le nez à

>Les descendants de Pierre Gauthier/Saguingoira sont à l’honneur cette semaine. Armand Lapierre membre de la Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, a préparé cette chronique généalogique pour rendre hommage à ses descendants. Un contrat de mariage avait été préalablement préparé le 3 novembre 1668 par le notaire Bénigne Basset dit Deslauriers. Pierre Gauthier/Saguingoira, fils de Jacques Gauthier et Marie Boucher de Saint-Gilles, Surgères, Charente-Maritime, France, épouse Charlotte Roussel, fille de Thomas et Barbe Poisson, fille du roi (landry 366, dumas 329), de Notre- Dame-de-la-Ronde, Eure, France. GÉNÉRATIONS 8e Joseph Castonguay, cult. – Émiliana Levacque, fille de Jean-Baptiste et Clarisse Ladurantaye, m. le 1892-10-24 à Fournier, Ont. 7e Joseph Théophile Castonguay - Marie Reine Provost, fille d’Antoine, cult. et Marie Reine Poirier, m. le 1860-10-02 à Saint-Polycarpe, Qc 6e Paschal Castonguay, cult. - Lucie Leduc, f. d'Augustin, cult. et Eugénie Séguin m. le 1824-11-08 à Saint-Michel, Vaudreuil, Qc 5e Pélagie Gauthier - Pierre Gastongué (Castonguay), cult., fils de Pierre et Anastasie Raizaine (Raizenne), m. le 1777-10-20 à Saint-Michel, Vaudreuil, Qc 4e Joseph Amable Gautier - Pélagie Leduc, fille de Pierre et Pélagie Tougas m. le 1756-01-12 à Sainte-Anne-de Bellevue, N.-F. 3e Joseph Gautier – Marie Rose Lalonde, fille de Jean Baptiste de Lalonde,

capitaine de la Coste Sainte-Anne, et Jeanne Gervais, m. le 1728-11-09 à Sainte-Anne-de-Bellevue, N.-F.

2e Joseph Gautier – Clémence Jarry, vve d’André Rapin, fille d’Éloi Jarry/ Lahaie et Jeanne Marrain, m. le 1699-08-16 à Ville-Marie, Nouvelle-France 1re Pierre Gauthier/Saguingoira – Charlotte Roussel m. le 1668-11-12 à Ville-Marie, N.-F.

Que se passe-t-il en Nouvelle-France l’année où Pierre et Charlotte fondent leur famille ? « Entre 1635 et 1760, plus de 300 000 Britanniques (Anglais, Écossais, Gallois et Irlandais) ont quitté la Grande- Bretagne pour la seule Amérique du Nord. Par ailleurs, les deux tiers des Français sont repartis en France après quelques années, alors que plus de 90 % des colons anglais sont restés en Nouvelle-Angleterre. Un sujet britannique sur six vivait dans les colonies, contre un sujet français sur 300! De son côté, le ministre Colbert a toujours cru naïvement que pour peupler le Canada il fallait dépeupler la France! Voici ce qu'il écrivait à l'intendant Jean Talon le 5 janvier 1666 (« Correspondance entre la cour et l'intendant Talon »): « Le Roi ne peut convenir de tout le raisonnement que vous faites sur les moyens de former au Canada un grand et puissant État, y trouvant divers obstacles qui ne sauraient être surmontés que par un très long espace de temps, parce que quand même il n'aurait pas d'autre affaire, et qu'il pourrait employer, et son application, et sa puissance à celle-là, il ne serait pas de la prudence de dépeupler son Royaume comme il faudrait faire pour peupler le Canada. 1 » 1 http://www.axl.cefan.ul/aval.ca/francophonie/HISTfrQC_s1_NlleFrance.htm#7.1_Le_d%C3%A9ficit_d%C3%A9mographique_

Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1

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