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Le CAPRAC, toujours à la recherche d’artistes!
VICKY CHARBONNEAU vicky.charbonneau@eap.on.ca
Le Conseil des arts de Prescott et Russell (CAPRAC) a annoncé qu’il ouvre ses fron- tières aux artistes des régions environ- nantes pour son projet d’envergure 150 raisons d’être Canadien. Après une période d’inscription exclusive aux artistes de Prescott et Russell, les artistes de la région d’Ottawa et de ses banlieues ainsi que les artistes des Comtés unis de Stormont, Dundas et Glengarry peuvent maintenant s’inscrire à 150 raisons d’être Canadien, avant la date butoir du 31 mars 2017. Le CAPRAC invite tous les artistes inté- ressés à consulter l’appel aux artistes au ca- prac.ca pour tous les détails et dates butoirs entourant le projet. Le but ultime du projet est essentielle- ment de rassembler 150 artistes et créateurs de toutes disciplines, ainsi que leurs œuvres, et d’en faire une exposition grandiose lors d’un vernissage qui aura lieu le 21 octobre 2017 au River Rock Inn à Rockland. Cette plateforme a été conçue pour célé- brer le 150e anniversaire de la Confédération du Canada et pour mettre en vedette les arts, la culture et le patrimoine de son peuple. Les artistes de la scène auront même la chance de faire la présentation de leur pièce sur place. Systèmes hydrauliques, électricité, sys- tèmes pneumatiques, moteurs à combus- tion… les sources d’énergies dangereuses sont nombreuses sur une ferme — et cau- sent malheureusement bon nombre d’acci- dents. Pourtant, en contrôlant efficacement ces énergies, les travailleurs du milieu agricole pourraient assurer leur sécurité lors de l’entretien, du déblocage ou de la réparation d’équipements. Ainsi, pour prévenir les accidents liés aux énergies dangereuses, toute entreprise agricole devrait être dotée d’une procédure d’intervention détaillée, et ce, pour chaque machine ou équipement. Selon la Com- mission des normes, de l’équité, de la san- té et de la sécurité du travail (CNESST), celle-ci doit au minimum préciser : • Qui est responsable de contrôler les énergies; • Quelles sont les tâches à effectuer et quelles sont les zones dangereuses que les travailleurs doivent atteindre pour être en mesure de les exécuter;
The Prescott and Russell Arts Council (CAPRAC) announced that it is also opening its 150 Reasons to be Canadian project to artists from surrounding regions. After an exclusive registration period for Prescott and Russell, artists from the Ottawa area and its suburbs, as well as artists from the United Counties of Stormont, Dundas and Glengarry, can now register for this historical exhibition project, before March 31, 2017. CAPRAC invites all interested artists to consult the call to artists at caprac.ca, for all the details and deadlines. —submitted photo
Parmi les 150œuvres rassemblées, envi- ron 36œuvres représenteront la jeunesse des écoles secondaires et des pavillons intermé- diaires de Prescott et Russell. « Ce projet qui sort de l’ordinaire est une opportunité unique pour les artistes et créa- teurs de toutes les disciplines artistiques, de laisser unemarque indélébile dans l’histoire culturelle de notre région et son peuple », a soutenu Shanna Steals, directrice générale du CAPRAC. Ce projet marquant l’histoire aura son album souvenir sous forme de catalogue d’art, qui sera mis en vente et distribué au
vernissage. Dans le but de faciliter la concep- tion de cet album, des photographes de la région seront appelés à participer au projet, suite à un appel d’offres, en prenant des photos professionnelles de chaque artiste et de son œuvre. Pour les gens qui n’auront pas eu la chance de visiter le grand vernissage, une deuxième chance sera possible pour vision- ner les œuvres, car les 150 œuvres seront aussi exposées dans divers lieux de diffusion de la région de Prescott et Russell pendant tout le mois de novembre 2017.
www. editionap .ca
J’entends prendre la relève de la ferme familiale.» Enraciné chez nous ! «
Contrôle des énergies : marche à suivre pour prévenir les accidents
• Quels sont les procédés sécuritaires qui permettent de désactiver ou de libérer les diverses sources d’énergie impli- quées, ou encore d’en abaisser le ni- veau; • Quel est le mode de vérification de la maîtrise des énergies dangereuses (un test de redémarrage, par exemple); • Quelles sont les différentes étapes à exé- cuter — et quel matériel est nécessaire pour cela — avant de pouvoir accéder en toute sécurité à la zone dangereuse ET afin de redémarrer sans danger l’équipement ou la machine après l’exé- cution des travaux. Par ailleurs, il est essentiel de consulter les manuels des manufacturiers (et d’en étudier les pictogrammes) et de prendre connaissance des divers avertissements qui sont apposés directement sur l’équi- pement. Enfin, une fiche de contrôle des énergies décrivant la procédure en cas d’intervention sur une machine donnée doit se trouver à proximité de celle-ci — et être connue de tous.
Alexandre, diplômé en Techniques agricoles – production végétale
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