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Volume 71 • No. 1 • 20 pages • HAWKESBURY, ON • Vendredi 13 janvier 2017

Yvonne Leblanc Bourbonnais a célébré ses 100 ANS

P l i C’est entourée de ses proches et de sa famille que Mme Leblanc Bourbonnais, avec sa médaille rose, a fêté, dimanche dernier, ses 100 ans. À LIRE EN PAGE 3 F o l d P l i F o l d

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MERCI AUX GENS DE LA COMMUNAUTÉ DE SOUTENIR L’HGH ! 800 000 $ DEPUIS 25 ANS !

Merci aux Amis de l’HGH qui ont remis un chèque de 50 000$ à la Fondation avant les Fêtes pour soutenir la campagne Accès 2018. « Les Amis ont, cette année, fait une contribution de 50 000$ à la Fondation et avec ce don, les Amis de l’HGH auront remis 800 000$ à

la Fondation au cours des 25 dernières années. C’est évidemment une très grande fierté pour tous les bénévoles. » Au cours des années, les Amis ont été de toutes les campagnes de la Fondation: chambres d’isolation, CT-scan, projet d’agrandissement, campagne de santé mentale, etc. Ils contribuent maintenant le deuxième versement de leur engagement envers la campagne Accès 2018. Le groupe les Amis de l’HGH compte plus de 107 bénévoles dédiés qui, chaque année, donnent plus de 20 000 heures de bénévolat à l’HGH.

La famille Champagne de Hawkesbury a contribué une fois encore cette année un montant de 100 000$ à la Fondation de l’HGH.

Laplante s’engage à soutenir la Fondation HGH pour un montant de 25 000$ Laplante Chevrolet Buick GMC de Hawkesbury s’engage à faire un don de 25 000$ à la Fondation HGH pour soutenir la campagne Accès 2018 qui soutiendra l’achat d’un nouveau tomodensitomètre (CT-scan) et d’un appareil à imagerie par résonnance magnétique. Merci à M. Laplante et toute son équipe de reconnaître l’importance des soins de santé pour notre région en soutenant l’HGH.

Il s’agit du cinquième don de la famille Champagne depuis 2012. « La Fondation est privilégiée d’avoir des membres de la communauté comme M. et Mme Champagne qui contribuent à l’épanouissement de l’HGH en nous faisant parvenir année après année des dons majeurs. Nous désirons les remercier du plus profond de notre cœur de nous aider à procurer à la communauté le meilleur équipement diagnostique possible pour nos familles, nos voisins, nos collègues de travail, etc. Ils désirent aider leur communauté et comme M. et Mme Champagne nous le mentionnait dernièrement, «Tout le monde aura besoin d’utiliser l’hôpital un jour ou l’autre », tout comme l’a déclaré Pierre-Luc Byham, directeur exécutif de la Fondation HGH.

Don de 10 000$ du Club Rotary à la Fondation HGH! Le Club Rotary de Hawkesbury s’est engagé à remettre 10 000$ à la campagne Accès 2018 de la Fondation HGH.

Merci au Club d’autos de Hawkesbury pour leur don de 1 000$ pour l’année 2016.

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Le vendredi 13 janvier 2017

100 ans pour Yvonne Leblanc Bourbonnais Yvonne Leblanc Bourbonnais a fêté son 100e anniversaire entourée de sa famille. Yvonne est en bas, au centre, avec une fleur accrochée à sa veste bleue. —photo Élise Merlin

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deux garçons. Edouard, décédé en décembre dernier, et Gérald qui vit actuellement à Montréal. Elle a huit petits-enfants, et à cela s’ajoutent deux autres qui sont malheureuse- ment décédés. Elle compte 21 arrière-petits- enfants et 10 arrières arrière-petits-enfants. Elle demeure auManoir Calédonia, à Saint- isidore, avec son époux des vingt dernières années, Georges Bourbonnais. Pour tous ceux qui la connaissent, Yvonne Leblanc Bourbonnais est une personne d’une indéfectible générosité et d’une grande humilité. Tournée vers la vie, elle inspire toutes les personnes qu’elle rencontre par sa lucidité, la profondeur de ses échanges, sa manière de vivre le temps présent et son acceptation des événements tels qu’ils se présentent. La petite fête en son honneur était à son image, un temps de partage et de convivialité au cours duquel se sont mêlés témoignages, recueillement et échanges chaleureux. « Grand-mère est une femme avec un bon caractère, joviale, aimant beaucoup rire et jaser avec les gens et elle adore les enfants. Ses petits-enfants aimaient beaucoup passer des vacances chez leurs grands-parents et grand-mère leur faisait de bons gros bei- gnets », a conclu Suzanne Leblanc.

Yvonne Leblanc Bourbonnais a fêté son 100 e anniversaire à la salle du Centre Joseph Roy de Saint-Isidore. Elle était entourée de sa famille et de ses amis, un moment fort agréable pour la rayonnante centenaire. C’est une cérémonie discrète et cha- leureuse qui s’est déroulée le dimanche 8 janvier à la salle du Centre Joseph Roy de Saint-Isidore, pour fêter le 100 e anniver- saire d’Yvonne Leblanc Bourbonnais. Une quarantaine de personnes, famille et amis, s’étaient rassemblées pour l’occasion. « Yvonne était très contente d’être entou- rée de tous ceux qu’elle aime. La salle était bien décorée avec plusieurs ballons. Un bon dîner a été servi et un beau gâteau aussi », a ajouté Suzanne Leblanc, la conjointe d’un des petits-enfants de Mme Leblanc Bourbonnais. Née le 11 janvier 1917 à Saint-Isidore, dans une famille de sept enfants, dont trois garçons et quatre filles, Yvonne n’a jamais quitté son village natal. Mme Leblanc Bourbonnais, née Villeneuve, s’est mariée à 16 ans avec Joseph Leblanc, avec qui elle a eu

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La méthode « pas de pupitre dans ma classe » à Alfred

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25 % de l’espace dans la salle de classe. Le but est d’essayer de minimiser les choses personnelles du professeur », a commenté Mme Graton. Des parents plus ou moins sceptiques au départ Certains parents doutaient de la fiabilité de cette classe qui dit non aux pupitres, mais très vite, certains ont vu des résultats jugés positifs de la part de leur enfant. « Lorsque j’ai rencontré des parents à la rencontre du début de l’année, certains n’étaient pas du tout motivés à l’idée que leur enfant n’ait pas de pupitre traditionnel. Je leur ai bien expliqué le fond demaméthode et à la fin de la rencontre, ils m’ont laissé comme commentaire qu’ils étaient bien

L’idée de cette jeune enseignante lui est venue en consultant régulièrement des blo- gues sur Internet et en faisant des recherches sur de nouvelles pédagogies. Les résultats sont encourageants depuis lamise en place il y a un an. L’enseignante note que ses élèves de 3 e et 4 e année ont moins tendance à bouger et sont très attentifs lorsqu’elle commence une leçon. Les élèves peuvent également changer de place à leur guise dès que l’envie se fait sentir. « C’est vraiment une façon de repenser l’enseignement. Il y a 17 élèves dans la classe et nous avons deux classes comme celle- ci dans l’école », a ajouté Mme Lalonde, avant de poursuivre. « Chaque élève a sa

Une classe d’école traditionnelle est com- posée de pupitres, mais dans la classe de Mme Lalonde, enseignante à l’ É cole élé- mentaire catholique Saint-Victor d’Alfred, les élèves travaillent sur des installations des plus confortables. Un véritable engouement de la part des élèves et une autre pédagogie pour l’ensei- gnant. La classe de Fannie Lalonde n’est pas composée de pupitres traditionnels, les uns à côté des autres ou en file comme dans lamajorité des classes. On y trouve des coussins, des ballons, des tables basses, des chaises qui roulent, des tabourets hauts, ou

Ici, la classe de Mme Lalonde. Un espace agréable pour les élèves de 3 e et 4 e année de l’école St-Victor d’Alfred. —photo Élise Merlin

encore des futons et quelques poufs. « Avec un pupitre, un élève a son poste assigné à lui, il n’a donc pas la possibilité de changer de place. C’est sa place et il passe sa journée à son pupitre. Dans une classe comme celle-là, l’enfant arrive lematin puis il peut s’asseoir là où il veut. Il peut choisir une chaise s’il est plus confortable sur une chaise, s’il aime travailler debout, il le peut également. L’élève est libre de son choix », a expliqué Mme Lalonde. Les élèves peuvent donc s’installer où ils le désirent et le plus confortablement pos- sible, c’est le but comme l’a expliqué Mme Lalonde. « Si les élèves sont confortables là où ils ont choisi de s’asseoir, ils auront moins de distractions. On voit des résultats positifs avec cette méthode. Alors que si un élève est assis sur une chaise derrière son pupitre toute la journée, il ne sera pas confortable et il sera davantage amené à bouger et à faire autre chose, donc ne pas être attentif », a estimé Mme Lalonde.

préférence. Les ballons ils aiment bien ça. Ils peuvent sauter dessus tout en écoutant la leçon. D’autres préfèrent être seuls. Et ceux qui aiment être plusieurs choisissent les tables de huit personnes. » Privilégier le travail en groupe Le travail collectif est de plus en plus cou- rant, qu’il soit intégré au cours ou choisi par les élèves. Un exercice formateur et motivant selon leur enseignante. « Ce sont vraiment des stations dans le but que les élèves travaillent en collaboration, il y a peu de travail individuel. Nous misons sur le travail d’équipe puis sur les techniques d’enquête. C’est une nouvelle stratégie d’apprentissage et une classe comme celle-là va emmener tout cela », a expliqué Mme Graton. En plus d’apporter un espace de travail agréable pour les élèves, cette nouvelle pédagogie amène l’enseignant à ne plus avoir d’espace de travail, car lui aussi se voit ne plus avoir de grand pupitre. « On a calculé que l’espace de l’enseignant prenait

heureux, qu’ils comprenaient mieuxmain- tenant le fonctionnement et qu’ils voyaient leur enfant heureux d’être dans cette classe », a reconnu la jeune enseignante. Elle a poursuivi : « J’ai une petite fille dans ma classe. Tous ses amis sont dans une autre classe et les parents lui ont demandé si elle préférait aller avec ses amis ou rester dans la mienne. Elle a répondu qu’elle préférait rester ici plutôt que dans une salle de classe traditionnelle. » Et lorsque les élèves répondent à la ques- tion « Aimez-vous travailler sans pupitre? », les avis ne sont pas forcément mitigés et c’est avec le sourire qu’une élève, Samantha, a exprimé son contentement. « S’asseoir sur les coussins, j’aime bien ça et aussi les tabourets, j’y suis très confortable. Je peux être seule ou avecmes amis. » Quant à Alexis, il a précisé, « Le coin de lecture est bien, il y a un tapis par terre et si un ami me dérange, j’ai la liberté de changer de place quand je le veux. »

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Si vous ne pouvez assister à la séance d’information de votre école, ou si celle-ci a déjà eu lieu, communiquez avec l’école afin de fixer un rendez-vous. Il nous fera plaisir de vous rencontrer!

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Le vendredi 13 janvier 2017

De joyeux gagnants aux Chevaliers de Colomb

Nouvelle direction pour le Chœur du Moulin de Rockland Réjean Lafrance de Vankleek Hill a accepté de prendre la barre de la direction musicale du Chœur du Moulin, en janvier prochain, à la suite de l’annonce du départ de Denis Saumure qui demeurera au sein de la chorale en tant que choriste. « Réjean n’en est pas à ses premières armes dans la direction d’ensembles vocaux. Nous sommes assurés que Réjean saura relever le défi de la direction du Chœur du Moulin et amènera ses choristes vers d’autres belles expériences musicales », a précisé Nicole Charbonneau, présidente du Chœur du Moulin. Divers projets sont en préparation pour la nouvelle saison. Entre autres, la chorale présentera son concert du printemps le 7 mai prochain, conjointement avec le Chœur de Pom’ de La Petite Nation. De plus, le Chœur du Moulin représentera l’Ontario français lors du Festival de la Nouvelle-Acadie dans Lanaudière, en août prochain.

La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury Né d’une

race fière

Dupont Cette chronique généalogique a été réalisée par Guy Dupont, membre de La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, en hommage aux ancêtres paternels de son père Gérard. Le premier ancêtre au Canada est Gilles Dupont, fils de Guillaume et Marguerite Froain ou Féraut. Il épouse Françoise Michel, fille du roi (landry 347, dumas 299), fille de Brésitte (aussi Briside) Michel (aussi Michaud) et Marguerite Matret, baptisée le 18 août 1649 à Sennevoy-le-Haut, Champagne (Yonne), France. Six enfants, cinq filles et un garçon sont issus de cette union. Au recensement de 1681, il est au fief Hertel à Champlain. Il décède le 24 décembre 1683 et est inhumé le lendemain, jour de Noël, à Cap-de-la-Madeleine. Générations 10 e Chantal Dupont – Yves Létourneau Marie-Claude Dupont, Daniel Dupont 9 e Guy Dupont – Jacqueline Lamarche, fille de Bruno et Irène Boulerice m. le 1960-06-25 à Valleyfield, cté Beauharnois, Qc 8 e Gérard Dupont – Berthe Racine, fille d’Émile et Mary Sharkey m. le 1933-10-31 à Saint-Pierre, Shawinigan, Qc 7 e Damase Dupont, cult. – Annie Bastien, fille d’Édouard, cult., et Élizabeth Gélinas m. le 1885-02-09 à Saint-Boniface-de-Shawinigan, Qc 6 e Eusèbe Dupont, menuisier – Marie Marchand, fille de Louis, cult., et Louise Chartier m. le 1863-10-05 à Immaculée-Conception, Trois-Rivières, Qc 5 e Louis Dupont, cult. – Marie-Anne Rötlinger, fille de Franz et Marie-Anne Arseneau m. le 1818-10-12 à Saint-Léon-le-Grand, cté Maskinongé, Qc 4 e François Dupont – Marie-Anne Chayer, f. de Jean-François et Josèphe Jeanne Trotochaud date et lieu du mariage inconnus (PRDH) 3 e Joseph Dupont – Marie Joseph Blaye, f. de Jean Baptiste et Geneviève Martin m. le 1748-11-04 à Yamachiche, Qc 2 e Jean Baptiste Dupont – Marie Renée Ricard, f. de Jean et Madeleine Pinot (PRDH) (aussi Pineault) m. le 1721-05-02 à Cap-de-la-Madeleine, Qc 1 re Gilles Dupont – Françoise Michel c.m. le 1670-08-10, greffe Séverin Ameau Que se passe-t-il au pays au moment où Gilles et Françoise fondent leur famille ? « Le 10 octobre 1670, Talon écrit : « Depuis mon arrivée, j’ai fait partie des gens de résolution qui permettent de percer plus avant qu’on n’a jamais fait, les uns à l’ouest et au nord-ouest du Canada et les autres au sud-ouest et au sud. En tous lieux, ces aventuriers doivent faire des journaux et répondre à leur retour aux instructions que le leur ai données par écrit. En tous lieux, ils doivent prendre possession, arborer les armes du Roi, et dresser des procès- verbaux pour servir de titres ; peut-être que Sa Majesté n’aura de leurs nouvelles que dans deux ans d’ici et lorsque je retournerai en France ». Collaboratrice : Lise Léonard

Les Chevaliers de Colomb du 4 e degré de L’Orignal ont procédé récemment à leur 5 e tirage annuel, dont la gagnante est Mme Denise De Bellefeuille de Rigaud. Elle a gagné un voyage d’une valeur de 3000 $, grâce à la collaboration de Voyage Fly DK Travel. Un second prix de 500 $ dollars a été remporté par Ben Tessier de L’Orignal. Ci-dessus, l’organisateur du tirage, André Yargeau, Yvon De Bellefeuille, la propriétaire de Voyage Fly DK Travel, Marie-France Sauvé, la gagnante Mme Denise De Bellefeuille, Mme Micheline Sauvé, et l’aide organisateur du tirage Gaëtan St-Onge. —photo fournie AU SERVICE DE LA COMMUNAUTÉ PROFESSIONNELS

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Le vendredi 13 janvier 2017

Les enfants de parents obèses à risque Les enfants ont été testés une première fois à l’âge de quatremois, puis six fois avant l’âge de trois ans.

PRESSE CANADIENNE MONTRÉAL-Les enfants dont les parents souffrent d’obésité semblent présenter un risque accru de problèmes de développe- ment, selon des chercheurs des Instituts nationaux de la santé desÉtats-Unis. Les enfants dont la mère était obèse étaient plus susceptibles d’échouer lors de tests de motricité fine, soit la capacité à contrôler de petits muscles comme ceux des doigts et des mains. Les enfants dont

Comparativement aux enfants nés d’une mère de poids normal, les enfants demères obèses augmentaient de près de 70 % leur risque d’échouer au test de motricité fine. Les enfants de pères obèses étaient 75 % plus susceptibles de rater le test d’aptitude sociale. Et les enfants dont les deux parents étaient obèses étaient trois fois plus à risque

d’échouer lors du test de résolution de problèmes, à l’âge de trois ans. Le lien entre l›obésité et les pro- blèmes de déve-

Les enfants dont la mère était obèse étaient plus susceptibles d’échouer lors de tests de motricité fine...

le père était obèse étaient plus suscep- tibles d’échouer lors de tests mesurant les aptitudes sociales,

tandis que les enfants dont les deux parents étaient obèses étaient plus susceptibles d’échouer lors de tests de résolution de problèmes. L’auteure de l’étude, la docteure Edwina Young, a déclaré que cette recherche est la première à démontrer que le poids du père, et non seulement celui de la mère, a un impact sur le développement de l’enfant.

loppement demeure nébuleux, mais des études menées sur des animaux portent à croire que l›obésité stimule possiblement l›inflammation, ce qui pourrait nuire au développement du cerveau du foetus. L›impact de l›obésité paternelle est moins bien compris, mais le surplus de poids pour- rait avoir une influence sur l›expression des gènes dans le sperme.

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Le vendredi 13 janvier 2017

Christine Gratton, une passionnée de l’éducation

ÉLISE MERLIN elise.merlin@eap.on.ca

Après la pause des vacances de No ë l, les élèves et les professeurs ont repris le che- min de l’école. C’est l’’occasion pour eux de revoir Christine Gratton, celle qui dirige les destinées de l’ Éc ole secondaire catho- lique régionale de Hawkesbury depuis plus de deux ans . Portrait de cette dame originaire de la région. Inspirée par son père « Dès mon jeune âge, travailler dans les écoles était une option étant donné que j’ai grandi avec un père directeur d’école. Mes parents m’ont inculqué de bonnes valeurs et l’idée de redonner aux autres m’appelait beaucoup », a expliqué Mme Gratton. Christine Gratton a depuis réalisé son vœu. Elle est directrice de l’École secondaire catholique régionale de Hawkesbury, située rue Kitchener, depuis le 2 septembre 2014. « J’ai vu mon père passionné par son rôle de directeur et toujours vouloir faire plus pour la jeunesse et ça m’a inspiré », a-t-elle confirmé. Son parcours Originaire de Plantagenet, Christine Gratton vit dans ce même petit village de l’est de l’Ontario avec sa famille. « J’ai grandi à Plantagenet et j’y suis demeurée. C’est là- bas que je me suis mariée et que j’ai fondé ma petite famille. Lors de ces premières années universitaires, Christine Gratton hésite beaucoup entre l’éducation et le droit et c’est finalement à la suite d’un stage qu’elle opte pour l’éducation. Après avoir validé une maîtrise en leadership, elle complète ses cours à la direction. Son diplôme en poche, elle est affectée, à l’âge de 30 ans, en tant que directrice adjointe à l’École secondaire catholique d’Embrun. « J’ai fait un mandat de six ans

Christine Gratton entourée de sa famille —photo fournie

dans cette école, pendant lequel j’ai eumon premier enfant, en 2002 », a souligné Mme Gratton. Après cette expérience, elle se voit acqué- rir le poste de directrice adjointe à l’École secondaire catholique de Plantagenet, pour unmandat de trois ans, au cours duquel elle a son deuxième enfant, en 2008. C’est en 2010 que Christine Gratton obtient un premier poste en tant que di- rectrice à l’École secondaire catholique de Casselman, où elle œuvre pendant quatre années. Et maintenant, c’est depuis plus de

deux ans qu’elle est directrice des jeunes de l’École secondaire catholique régionale de Hawkesbury. Préparer les citoyens de demain « J’adoremon emploi en raison des mul- tiples défis qui se présentent à travailler avec des adolescents jour après jour. Qui peut se vanter d’avoir un emploi si noble? Préparer les citoyens de demain, guider la jeunesse à faire les bons choix, à devenir des Franco-Ontariens fiers de leur langue, de leur culture, de leur foi. Il ne faut pas sous- estimer l’influence que nous avons auprès de ces jeunes qui cherchent des modèles, des repères et des adultes significatifs pour leur bien-être », a observé Mme Gratton. Elle considère les élèves comme ses propres enfants, ce qui lui vaut le titre de confidente de certains élèves. « Lorsque je dois prendre les meilleures décisions, face à un souci avec un ou plusieurs élèves, je vais agir comme si c’était mes propres enfants. De plus, les élèves se livrent souvent à moi, car ils savent que je ne les juge pas », a-t-elle dit. Les avis des élèves sont unanimes. «Moi j’apprécie beaucoupMme Gratton, je suis très à l’aise de lui parler si des choses ne vont pas », a raconté une élève. Une autre a ajouté, « C’est l’une des meilleures direc- trices que j’ai eues, je la trouve vraiment très gentille et elle est trop belle ». Une enfance heureuse Ongles parfaitement manucures, longue chevelure blonde impeccablement coiffée et vêtue des dernières tendances de la mode, Christine Gratton ne passe pas inaperçue. «Mamère Colette, femme au foyer, se coiffait tous les matins et se maquillait. Elle m’a inculqué à prendre soin de soi », a confié Mme Gratton.

Elle avoue volontiers que la vie lui a souri énormément et qu’elle partage plusieurs beaux souvenirs qui agrémentent sa vie depuis son enfance. « Je réinvestis donc auprès des élèves dans le besoin, qui vivent des difficultés et qui ont besoin d’un coup de pouce supplé- mentaire. Ça, c’est redonner à son prochain et faire preuve de gratitude », a observé la directrice de l’école secondaire catholique. L’optimisme et la résilience sont ses straté- gies pour surmonter les défis ou ce que la vie lui présente. Son père lui a donné l’envie et le goût de se surpasser pour arriver à ces fins. « Mon père a beaucoup de charisme et quand il entre dans une salle, il prend une place importante, tout lemonde l’écoute. Il m’a transmis ses valeurs. J’ai hérité de ça », a-t-elle reconnu. En plus de foncer, Mme Gratton aime la lecture, et surtout les livres sur la réalisation de soi et sur le bonheur. Elle voue égale- ment une certaine passion à la décoration intérieure. « J’aime le goût de l’esthétique dans la décoration, j’aime rendre quelque chose à son image. » Dans la famille Gratton, on croque dans la vie à pleines dents et on rend service à la communauté. Son père, Rhéo Gratton, est très impliqué dans la communauté. Il a rejoint les Chevaliers de Colomb, différents comités paroissiaux et il est aussi très impliqué auprès de la jeunesse. Quant au frère de Christine Gratton, il n’est autre queMario Gratton, un policier communau- taire de la Police provinciale de l’Ontario, travaillant à Hawkesbury. Mario Gratton est très connu de la population de la ville et il est connu pour aimer partager et trouver les meilleures décisions pour les citoyens.

Publié le vendredi par : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par : Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON # convention : 0040012398

BERTRAND CASTONGUAY Président bertrand@eap.on.ca FRANÇOIS BÉLAIR Directeur Marketing et Développement francois.belair@eap.on.ca FRANÇOIS LEGAULT Directeur de l’information francois.legault@eap.on.ca YVAN JOLY Directeur des ventes yvan@eap.on.ca GILLES NORMAND Directeur de Production et Distribution gilles.normand@eap.on.ca THOMAS STEVENS Directeur de l’infographie et prépresse thomas.stevens@eap.on.ca Publicité : yvan@eap.on.ca Nouvelles : nouvelles@eap.on.ca

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Nous invitons les lecteurs à nous faire parvenir leurs lettres qui ne doivent pas dépasser 300mots. Nous nous réservons le droit de les modifier ou de refuser de les publier. L’expéditeur doit inclure son nom, prénom, adresse et numéro de téléphone.

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COLLIN BINKLEY THE ASSOCIATED PRESS Plus d’Américains envisagent de venir étudier au Canada estiment que les étudiants étrangers évitent d’aller aux États-Unis puisqu’ils craignent d’être déportés ou que leur sécurité soit menacée. Ils opteraient ainsi pour le Canada ou l’Australie, a-t-on indiqué. provenance de la Chine, de l’Inde et du Pakistan. Le Canada n’a jamais été, traditionnelle- ment, une destination très populaire auprès des étudiants issus des États-Unis. En 2014, quelque 9000 Américains ont fréquenté des établissements canadiens, tandis que 57 000 Chinois sont venus étudier au Canada, selon les données du Bureau canadien de l’édu- cation internationale. Des établissements canadiens ont d’ail- leurs remarqué un intérêt grandissant en S’il est encore trop tôt pour savoir com- bien d’Américains feront leur entrée dans des universités canadiennes l’automne pro- chain, certains établissements anticipent une hausse, vu l’effervescence observée présentement.

Plusieurs étudiants universitaires décou- ragés par l’élection de Donald Trump se sentent appelés par le Canada. Du Québec à la Colombie-Britannique, des universités canadiennes disent constater un plus grand trafic sur leurs sites Internet de la part d’internautes américains depuis le 8 novembre. Plusieurs ont également dit recevoir davantage de candidatures en provenance des États-Unis. Lara Godoff, une jeune femme de 17 ans originaire de Napa, en Californie, craint notamment que les lois fédérales relatives aux agressions sexuelles soient assouplies par l’administration de Donald Trump. Si de nombreux établissements cana- diens ont accru leurs efforts de recrutement aux États-Unis, plusieurs font valoir que la victoire de Donald Trump a propulsé l’intérêt des étudiants pour les universités canadiennes d’une façon qui surpasse leurs attentes. Lara Godoff, une jeune femme de 17 ans originaire de Napa, en Californie, raconte avoir exclu toute possibilité de rester aux États-Unis au lendemain de la présidentielle. Cette électrice démocrate craint notam- ment que les lois fédérales relatives aux agressions sexuelles soient assouplies par l’administration de Donald Trump et que les campus universitaires deviennent ainsi moins sûrs pour les femmes. «Si nous vivons dans un pays où tant de personnes ont pu élire Donald Trump, ce n’est pas un pays dans lequel je veux vivre», a-t-elle dit. Les demandes d’admission en prove- nance des États-Unis reçues par l’Université de Toronto ont augmenté de 70 pour cent depuis l’an dernier. Plusieurs autres établissements cana- diens ont quant à eux observé une hausse de 20% à ce chapitre. L’Université McMaster, à Hamilton, en Ontario, a pour sa part enregistré une hausse de 34 pour cent. « Nous ne pouvons ignorer les résultats de l’élection, mais je pense qu’il y a d’autres facteurs qui attirent les étudiants à notre université », a de son côté relevé une res- ponsable du recrutement au sein des pro- grammes de premier cycle de l’Université McGill, à Montréal, Jennifer Peterman. Les étudiants sont aussi attirés par la diversité au sein de l’établissement et par le coût de la vie moins élevé au Canada, a-t-elle fait valoir. Au sud de la frontière, certains res- ponsables d’établissements universitaires

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Janvier, Mois de la à la

SENSIBILISATION MALADIE D’ALZHEIMER

Petit jeu-questionnaire pour démystifier l’Alzheimer

10.Le nombre de personnes atteintes d’Alzheimer diminue. RÉPONSES 1. Vrai. Il est toutefois recommandé de consulter lorsque les troubles demémoire affectent les activités quotidiennes. 2. Faux. 3. Vrai. On peut toutefois agir sur cer- tains facteurs de risque, comme le man- que d’activité physique et l’hyperten- sion artérielle. 4. Faux. 5. Faux. Bien que l’âge soit le principal fac- teur de risque, l’Alzheimer, qui touche majoritairement les 65 ans et plus, af- fecte parfois des gens de 40 ou 50 ans. 6. Faux. Elle représente seulement 5 % de tous les cas d’Alzheimer. 7. Vrai. 8. Vrai. Les fumeurs ont 45 % plus de ris- ques de développer la maladie. 9. Vrai. La destruction des cellules céré- brales entraîne tôt ou tard l’arrêt des organes vitaux. 10. Faux. Pour en savoir plus : www.alzheimer.ca

Janvier est le Mois de la sensibilisation à la maladie d’Alzheimer, une initiative de la Société Alzheimer du Canada. L’oc- casion est belle de mettre fin aux mythes qui entretiennent les préjugés envers la maladie, nous empêchant de la com- prendre et de venir en aide aux person- nes atteintes. Et vous, que savez-vous de l’Alzheimer? VRAI OU FAUX 1. Perdre la mémoire ne signifie pas forcé- ment que l’on souffre d’Alzheimer. 2. Toute personne atteinte d’Alzheimer devient agressive. 3. On ne peut pas prévenir l’Alzheimer. 4. L’Alzheimer fait partie du processus normal du vieillissement. 5. L’Alzheimer ne touche que les per- sonnes âgées. 6. La maladie d’Alzheimer familiale représente 75 % de tous les cas d’Alzheimer. 7. Ranger des objets dans un endroit inap- proprié est l’un des signes précurseurs. 8. Le tabagisme est un important facteur de risque. 9. La maladie d’Alzheimer est mortelle.

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Janvier, Mois de la à la

SENSIBILISATION MALADIE D’ALZHEIMER

Les stades de la maladie d’Alzheimer La maladie d’Alzheimer est une maladie du cerveau caractérisée par une dégénérescen- ce progressive des cellules du cerveau. L’évolution de la maladie d’Alzheimer suit généralement certaines étapes, ou stades, qui entraîneront des changements dans la vie des personnes atteintes et celle de leur famille. Parce que la maladie affecte chaque personne différemment, les symptômes, l’ordre de leur apparition et la durée de cha- cun des stades de la maladie varient selon les personnes. Dans la plupart des cas, la maladie d’Alzheimer progresse lentement. Les symptômes peuvent chevaucher plus d’un stade et en estomper les limites.

moire et les facultés cognitives continuent de se détériorer, bien que de nombreuses personnes conservent une certaine conscien- ce de leur état. Les personnes atteintes du stade modéré de la maladie d’Alzheimer auront besoin d’aide avec de nombreuses tâches quotidiennes, comme magasiner, fai- re le ménage, s’habiller, prendre un bain et faire la toilette. Ce stade marquera une augmentation subs- tantielle des soins à donner et nécessitera donc de l’aide et du soutien pour toutes les personnes concernées. LE STADE AVANCÉ Le dernier stade de la maladie d’Alzheimer est également appelé « stade avancé » ou « stade grave ». À ce stade, la personne finit par devenir incapable de communiquer ver- balement ou de prendre soin d’elle-même. Les soins sont nécessaires 24 heures par jour. L’objectif des soins à ce stade est de continuer à soutenir la personne atteinte pour lui assurer la meilleure qualité de vie possible. LA FIN DE VIE Dans les derniers mois de la maladie d’Alzheimer, les personnes atteintes de la maladie éprouveront un déclin accru des fa- cultés cognitives et physiques. Elles néces- siteront des soins 24 heures par jour. À cause de la nature progressive de la mala- die, les symptômes s’aggraveront au fil du temps. La rapidité de ce déclin varie selon les personnes. Lorsque la personne atteinte de l’Alzheimer approche de la mort, les soins se concentre- ront sur son confort. Comme pour toute per- sonne en phase terminale, il est important de tenir compte des besoins physiques de la personne, mais aussi de ses besoins affectifs et spirituels, le soutien fourni à ce stade étant axé sur la qualité de vie et le confort.

À ce jour, la maladie d’Alzheimer est incu- rable et son évolution est irréversible. Ce- pendant, les traitements actuels et l’adop- tion de certains modes de vie peuvent souvent ralentir de façon significative l’évo- lution de la maladie. LE STADE LÉGER Le stade léger de la maladie d’Alzheimer (également appelé « stade précoce ») dési- gne des personnes de tous âges qui présen- tent des déficits légers. Au stade léger, les symptômes courants sont les pertes de mé- moire, les difficultés à communiquer et les changements des humeurs et des comporte- ments. Les personnes qui en sont à ce stade n’ont généralement besoin que de peu d’aide. Elles peuvent comprendre les chan- gements qui se produisent et peuvent parler à d’autres personnes de leur expérience de la maladie. Elles peuvent également souhai- ter aider à planifier et à orienter leurs soins futurs. LE STADE MODÉRÉ À ce stade de la maladie, on observe un dé- clin accru des facultés cognitives et fonc- tionnelles de la personne atteinte. La mé-

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Unis pour sauver le campus d’Alfred Le campus d’Alfred, qui comprend 13 bâtisses et 140 hectares de terres agricoles, devra être inventorié pour ensuite être vendu à des intérêts locaux. La Cité appartient bel et bien l’Université de Guelph en ce qui a trait à l’enseignement et la formation mais les édifices appartiennent toujours au gou- vernement ontarien. Ce ne serait pas le cas pour le campus d’Alfred. Une proposition à trois volets L’initiative est composée de trois volets. En premier lieu, La Cité devra maintenir sa mission éducative et formative, un Centre d’innovation et de transformation agroa- limentaire (CITA) devra voir le jour ainsi qu’un carrefour communautaire regroupant différents services.

MAXIME MYRE maxime.myre@eap.on.ca

commercialisation des produits agricoles de la région. Le CITA sera aussi un outil de développement entrepreneurial. Échéancier Les cinq partenaires visent le mois de mars pour en arriver à une entente de prin- cipe avec la province. Au même moment se déroulera le Sommet rural de Prescott et Russell. Le transfert des propriétés, si l’entente est conclue, serait complété au mois de juillet. Le campus d’Alfred serait reconverti et ouvert au public dès septembre. Selon le rapport, le campus deviendrait autosuffisant après cinq ans.

Cinq partenaires, dont quatre de la région, s’unissent derrière un plan d’affaires afin de relancer le campus d’Alfred. Le plan d’affaires a été présenté le mercredi 11 janvier aux maires des Comtés unis de Prescott et Russell (CUPR). Les cinq partenaires qui participent au projet sont les CUPR, la Société de dévelop- pement communautaire de Prescott-Russel (SDCPR), La Cité, l’Union des cultivateurs franco-ontariens (UCFO) et l’Académie en- trepreneuriale de Prescott et Russell (AEPR).

En deuxième lieu, le carrefour commu- nautaire sera constitué en société à but non lucratif et deviendra propriétaire des instal- lations. Le carrefour communautaire sera ainsi financé à même les revenus locatifs. Finalement, le CITA sera une entité dédiée à la recherche, au développement et à la

L’autre condition est que le gouverne- ment provincial investisse 7,3 M$ sur une période de cinq ans pour mettre à niveau les bâtiments du campus. En retour, 15 M$ en retombées économiques annuelles décou- leraient de ce projet.

Pour une 5 e année, toujours une belle expérience inoubliable! Dans les éditions du Carillon les 2, 9 et 16 décembre, nous demandions l’aide de la population afin d’identifier 4 familles nécessiteuses de notre région pour leur faire partager la joie de Noël. La Compagnie d’édition André Paquette Inc. remercie les marchands participants qui ont contribué à l’achat de cartes-cadeaux d’une valeur de 500 $ chez et de 500 $ chez L’Orignal Packing

Voici les 4 familles qui bénéficient de cette grande générosité… Accompagnées des représentantes des ventes du Carillon, Tribune Express et nos adjointes

Pierre-Luc Dicaire, de St-Eugène.

Michel et Nicole Cadieux et leur fille Nathalie d’Alfred.

Famille 5 enfants

Josée Duez, de Grenville- sur-la-Rouge, QC.

Vicky représentant

sa mère Linda Myre (absente) de Hawkesbury. Famille 5 enfants et 6 petits-enfants.

Famille 6 enfants

Les familles gagnantes ont quitté avec 250 $ en cartes-cadeaux

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