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En campagne contre la faim
que les gens comprennent pourquoi o le fait. D’une manière, on sensibilise le gens envers leur propre communauté conclut M. Gingras. Mélanie Génier et Ma Beaudry de FAC également, abondent dan le même sens. Le problème de la faim n’e pas le lot des villes exclusivement. FA étant impliquée auprès des communauté agricoles, elle a choisi d’agir dans sonmilie Le but de la campagne est de faire appel la solidarité des gens dans la lutte cont la faim, la malnutrition et la pauvreté. L campagne est d’envergure nationale toujours aussi pertinente. L’an dernier nombre de personnes qui ont eu recou aux services des banques alimentaires augmenté de 18 %. Notre couverture : le gérant de la Banqu alimentaire d’Alfred, Fernand Paquett est en compagnie de Ken St-Denis d l’UniversitédeGuelph - Campus d’Alfre Enmédaillon, le personnel de FAC pour Campagne contre la faim : Marc Beaudr Mélanie Génier et Dany Gingras.
CHANTAL QUIRION chantal.quirion@eap.on.ca
ALFRED | FAC en campagne contre la faim était à pied d’œuvre mercredi dernier à Alfred. L’équivalent de 2600 livres de nourriture ont été livrées à la banque alimentaire du village, située à l’arrière de l’église Saint-Victor. Comme elle fait depuis 2004 à travers le Canada, Financière Agricole Canada (FAC) invite les communautés rurales à recueillir des denrées pour les plus démunis. Elle s’occupe pour sa part de coordonner la cueillette et d’acheminer les provisions dans les banques alimentaires locales. La collecte a débuté à l’Université de Guelph - Campus d’Alfred, qui participe à l’effort depuis 5 ans maintenant. Cette année, le Campus a recueilli 2600 livres d’aliments.Lesdonsenargentsontconvertis à raison d’une livre par dollar versé. Comme c’est la tradition, les sacs de provisions ont été empilés dans une charrette et c’est en tracteur que s’est effectué le trajet. Le succès de cette récolte revient au comité du Campus formé d’Hélène Blais, Diane Lefebvre, France Morneau et Ken St-Denis qui se réjouissent du support inconditionnel de la communauté. L’épicerie Value Mart leur a encore permis de solliciter la clientèle qui a répondu généreusement. Pour sa part, FAC a délégué trois membres de son personnel qui ont rejoint le comité
Photos Chantal Quirion
FAC en campagne contre la faim a débuté sa tournée de l’Est ontarien à Alfred, mercredi dernier. La Banque alimentaire du village a profité de l’initiative.
d’Alfred. Plusieurs étudiants du Campus les ont suivis à la Banque alimentaire pour décharger la marchandise. Le tracteur reprenait ensuite la route en direction de Casselman pour terminer cette première journée de campagne à Limoges. Le circuit Est ontarien dure deux jours et se termine à Kemptville. Pour FAC, la campagne est rendue possible grâce à la collaboration des partenaires communautaires. « On est conscient que c’est beaucoup de travail pour nos partenaires alors on fait notre possible pour les supporter. Ce qu’on leur offre, c’est une formule clé en main, explique le directeur régional de FAC, Dany Gingras. On fournit les sacs,
les mémos pour que les comités puissent faire circuler l’information et on se déplace pour la cueillette. Mais le plus important, ce n’est pas celui qui ramasse le plus mais
Des étudiants et le co- mité du Campus d’Alfred ainsi que FAC ont mis la l’épaule à la roue.
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ACTUALITÉ
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Le nouveau DG est « un leader et rassembleur »
nouvelles@eap.on.ca HAWKESBURY | Le nouveau directeur gé- néral de la Ville de Hawkesbury entrera en poste le 5 novembre prochain. Le conseil municipal a confirmé l’embauche de Jean-Yves Carrier la se- maine dernière. Succédant à Normand Beaulieu, qui a quitté le 25 mai, M. Carrier « a été retenu pour ses qualités de leader et de rassem- bleur ainsi que ses valeurs personnelles de confiance et de respect », selon la mu- nicipalité. « Il arrivera en poste avec 30 ans d’expérience en gestion au niveau fédéral, avec une carrière d’officier dans les forces canadiennes et au niveau municipal, par- ticulièrement avec les services de transport urbain de la ville d’Ottawa. Il a aussi travail- lé comme directeur de projet avec la firme canadienne Trapeze de Mississauga ». Dans un communiqué on peut lire : « Monsieur le Maire et les membres du co- mité de sélection affirment que Monsieur Carrier s’est démarqué par sa capacité à créer et maintenir des relations avec son entourage, que ce soit avec les employés, ses collègues et le conseil municipal. Ils croient que la capacité de Monsieur Carrier à penser de façon stratégique deviendra un atout pour le développement futur de la ville ». Le poste d’administrateur-trésorier était vacant depuis le départ de M. Beaulieu qui
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Photo courtoisie
Jean-Yves Carrier
était DG depuis 2007. Alors que la ville cherchait un nouveau directeur, la greffière Christine Groulx a travaillé comme administrateur par inté- rim et la chef comptable Francine Tessier a agit en tant que trésorière.
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ACTUALITÉ
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Deux personnes blessées Deux personnes ont subi des blessuresmineures à la suite d’une collision jeudi matin sur le chemin de comté 4, à l’ouest de Hawkesbury. Lors de l’accident, un Jeep conduit par Josée Ouellette, 45 ans, d’Alfred-Plantagenet, est allé dans un fossé alors qu’une camionnette, conduite par June Fish, 71 ans, de Hawkesbury-Est, s’est retrouvé immobilisé.
Photos Richard Mahoney
Les subventions font gonfler le surplus de la Ville
Richard.mahoney@eap.on.ca HAWKESBURY | La Ville de Hawkesbury a enregistré un important surplus l’an dernier. Et encore un fois, le chiffre a été gonflé par les allocations attribuées pour les améliorations de l’usine de traitement des eaux usées. En 2010, la Ville de Hawkesbury a enreg- istré un surplus de presque 3 millions, dé- passant le surplus de 818 901 $ qu’il avait eu en 2009. L’an dernier, la municipalité a eu un autre surplus énorme – 6 019 475 $. Toutefois, la raison principale pour cette encre noire est le montant de 6,7 millions $ que la munici- palité a reçu des gouvernements fédéral et provincial afin d’améliorer sa facilité de traitement des égouts. En 2011, le gouvernement de l’Ontario a fourni 3 395 350 $ pendant qu’Ottawa a contribué 3 419 638 $ au projet. Le revenu supplémentaire fait partie de la somme de 24 millions $ que la province et le gouver-
nement fédéral paient envers les travaux de 36 millions $, explique la trésorière, Francine Tessier. Les fonds gouvernementaux sont payés au fur et à mesure que la ville paie des dépenses liées au projet qui doit être complété d’ici la fin de 2013. Sans ces subventions, la municipalité aurait enreg- istré un déficit de 796 911 $, résultant des dépenses de 17 885 132 $ et des revenus de 17 088 220 $. L’an dernier, les revenus des taxes ont augmenté de 8 398 342 $ à 8 450 956 $ pendant que les frais usagers ont diminué de 5 864 715 $ à 5 651 756 $. Les dépenses majeures incluent la pro- tection aux personnes et à la propriété, 6 179 606 $, (5 568 068 $ en 2010) ; les rues, 3 019 095 $ (2 619 556 $ en 2010) ; hygiène et écologie, 4 829 996 $ (4 908 683 $ en 2010) ; loisirs et culture, 1 774 676 $ (1 701 044 $ en 2010) ; l’administration générale, 1 571 668 $ (1 529 747 $ en 2010).
Par Yves Saint-Denis
Liminaire : Voici l’histoire de la venue des prochaines capsules historiques. La semaine dernière, le chroniqueur se présente chez le grand patron du journal Le Carillon, pour exprimer les plaintes des lecteurs face à la confusion dans la liste des « paroisses régionales au temps du Congrès eucharistique » publiée le 10 octobre. Vif et astucieux, celui-ci de dire : « Ça sonne une cloche. Ça prouve qu’on connaît mal l’origine de nos paroisses et de nos localités. Faudrait-il redire d’où vient le nom Hawkesbury ? Qui est saint Alphonse ? » L’autre réplique que dans ce cas l’imprimeur-bedeau a besoin de se lever de bonne heure, car c’est tout un angélus, un CARILLON qui pourrait retentir des clochers environnants. Ainsi, le vieux Joachim pourrait partir de Chute-à-Blondeau et passer par Saint-Eugène pour aller expliquer à sa vieille, la bonne sainte Anne (de Prescott), qu’en haut de l’Île- du-Chenail, où devrait sans faute se dresser le Monument de la Francophonie en 2013, il y a la plus vieille paroisse de la rive ontarienne dédiée à leur petit-neveu Jean-Baptiste qui ne mangeait pas de l’Orignal mais plutôt des sauterelles dans le désert. Et Anne pourrait répondre qu’on aurait sans doute besoin du bon secours de leur fille Marie et qu’en parlant de vieille paroisse, la plus ancienne sur l’autre rive lui était justement consacrée : Notre- Dame-de-Bonsecours de Montebello, dans l’autre seigneurie en amont du Chenail, celle des Papineau. Le profitable exil de Papineau Le 21 octobre 2012, le Comité du Mémorial Louis-Joseph-Papineau a dévoilé à Saint- Denis-sur-Richelieu un magnifique bronze de pied en cap et plus grand que nature, sur socle. La postérité sera redevable de cette magnifique réalisation, dans le cadre du 175e anniversaire de l’héroïque victoire de Saint-Denis, à l’équipe de l’infatigable Benoît Roy. Mais qu’en est-il du parcours du grand homme d’état, qui dût quitter précipitamment le théâtre de l’insurrection, de cette révolution (qui n’était pas une rébellion), à la veille du combat du 23 novembre 1837, alors que le « tête à Papineau », chef populaire et incontesté des Patriotes, avait été mise à prix ? Forcé de quitter Saint-Denis, Papineau s’exile en Nouvelle-Angleterre et le 8 février 1839, il s’embarque à New-York pour Paris ». Exil, certes. Mais plus de six années mises à profit pour sa propre culture, pour son domaine et particulièrement pour sa patrie. C’est à la bibliothèque Nationale et aux Archives que Papineau s’active et copie lui-même ou fait copier de précieux documents de l’Ancien Régime qui révéleront des trésors oubliés, surtout de la Nouvelle-France du 17e siècle. Qu’il suffise de mentionner le cas de Dollard des Ormeaux. Papineau revient avec le manuscrit de Dollier de Casson, rédigé en 1672 sur l’Histoire de Montréal et finalement publié en 1865. L’exploit de Dollard était tombé dans le plus profond oubli depuis deux siècles et le chapitre substantiel que lui avait consacré le supérieur sulpicien permit aux abbés historiens Casgrain, Ferland et surtout Faillon de le remettre en lumière. En sus de manuscrits, l’exilé avait séjourné en Italie et en Suisse. Aussi, est-ce un Louis-Joseph Papineau qui revint avec un fort bagage de connaissances et, en outre, avec d’importants plans d’architecture. Propriétaire de la Seigneurie de la Petite-Nation, acquise dès 1817 de son père Joseph, arpenteur, notaire et politicien, il donna au premier village le nom de Montebello et y bâtit son fameux manoir de 1847 à 1850. Il possède la meilleure bibliothèque canadienne qu’il loge dans la tour carrée où son gendre Napoléon Bourassa, artiste polyvalent, le plus grand portraitiste de son siècle et architecte de l’église Notre-Dame-de-Bonsecours, écrira son volumineux roman Jacques et Marie, sur la déportation des Acadiens (1865). Grand seigneur terrien, il proclame toutefois ses croyances démocratiques et se refuse à accepter l’Union des Canadas qu’il considère comme une ignominie. Son nationalisme est demeuré aussi intransigeant. Il mérite d’amblée le titre du plus grand des Patriotes. Yves Saint-Denis, M. A., Ph. D.
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ACTUALITÉ
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Geste héroïque sur l’autoroute 50
Mirabel et sa minifourgonnette en ferraille a alors pris feu. Selon la Sûreté du Québec, le conduc- teur a été grièvement blessé dans la col- lision et s’en est sorti avec des blessures au dos et des lacérations aux mains et au visage. Il a également subi de sérieuses blessures et brûlures aux jambes. À la suite de l’impact avec le pilier de béton, le conducteur s’est retrouvé em- prisonné dans son véhicule, incapable de bouger.
C’est alors que Pierre Laperle, un ré- sident de Rigaud âgé de 62 ans, qui rou- lait sur l’autoroute dans sa camionnette, s’est rangé sur l’accotement pour venir en aide au blessé. « Un autre automobiliste qui s’était arrêté m’a demandé de lui donner l’extincteur chimique de mon camion pour éteindre le feu, a con¿é Pierre La- perle. Mais la façon dont le véhicule s’est écrasé sur le pilier rendait cette tâche presque impossible. J’ai alors fait ce que j’avais à faire, et j’ai tout essayé pour sor- tir le gars du véhicule en Àamme. ª Selon Pierre Laperle, le conducteur était cloué au sol car au moment de l’im- pact, la console centrale et le tableau de bord du véhicule l’ont écrasé dans son siège. « Il était pris comme dans un étau et il fallait le sortir de là le plus vite possible, explique Pierre Laperle. J’en ai brûlé une paire de gants et j’ai ¿nalement réussi à plier le « frame ª de la fenêtre. Mais je n’y arrivais pas seul et c’est alors qu’un grand gaillard de la Sûreté du Québec est arrivé et m’a aidé. Il était moins une et à ce moment, le gars m’a dit que s’il ne s’en sortait pas, il voulait que je dise à ses enfants qu’il les aimait. ª Malgré les multiples blessures, le conducteur a survécu à l’accident, mais sa réhabilitation pourrait s’échelonner sur deux ans. « J’étais sur l’adrénaline lorsque le
policier m’a aidé à le sortir du véhicule et ce fut très émotionnel par la suite, dit Pierre Laperle. Le père du conducteur est entré en contact avec moi et j’ai pu aller le voir à l’Hôpital Sacré-Cœur. Il m’a alors raconté qu’il s’était endormi au volant et qu’il avait quatre enfants. Je suis très heureux qu’il s’en soit sorti vivant. ª Pierre Laperle ne se considère pas un héro et croit qu’il n’a fait que son devoir de citoyen en portant secours au conducteur blessé. « Je n’ai fait que ce que j’avais à faire, répète-t-il. J’espère que quelqu’un en fera autant pour moi si jamais j’ai un accident. Ce jour-là, il y avait des conducteurs qui arrêtait pour prendre des photos et repartaient sans aider. Le gars était cloué dans le véhicule et criait. Ça me pique au vif de voir que des gens ne sont pas venus l’aider. ª La Sûreté du Québec tient à remercier Pierre Laperle pour son dévouement et courage, indiquant que sans son aide, le conducteur n’aurait probablement pas survécu à l’accident. « C’est un geste louable et de courage qui est des plus appréciés, a indiqué le porte-parole de la SQ, Gino Paré. L’aide de Monsieur Laperle a sauvé une vie et nous le remercions. ª « Je n’ai fait que ce que j’avais à faire...ª, LE VRAI SENS DE LA VIE avec Dominique C. Couët 21 novembre 2012 - 19 h 30 La vie a-t-elle un sens et un but? Pour quelle raison vivons-nous? Y a-t-il des lois naturelles qui encadrent notre existence ici sur terre? Comment peut-on les utiliser à notre avantage?
STÉPHANE LAJOIE stephane.lajoie@eap.on.ca
Aux alentours de 6 h 45 le 1 er oc- tobre dernier, un homme de 36 ans, au volant d’une Dodge Caravan, s’est as- soupi une fraction de seconde, ce qui l’a fait dévier de la route et l’a envoyé dans le décor. Il a ensuite percuté un pilier d’un viaduc sur l’autoroute 50 à
Une situation critique pour le service de communication
Richard.mahoney@eap.on.ca HAWKESBURY | La Ville de Hawkesbury a besoin de la coopération de ses voisins afin de réduire le grand déficit causé par son service de communication-urgence offert par le service des incendies. La Ville propose d’augmenter de huit pour cent les taux qu’elle charge à ses cli- ents municipaux. L’augmentation des frais de 24 pour cent sur une période de trois ans entrerait en vigueur le 1 er janvier 2013, et permettrait à Hawkesbury de réduire sa part du déficit du service de répartition. Depuis sa création en 2002, le centre de communication-urgence a enregistré de lourdes pertes, souligne le maire René Ber- thiaume. Cette tendance continuera si la Ville n’augmente pas ses revenus, note-t-il. « Pour l’année 2011, nous avons eu une perte de 290 000 $ sur un budget de 450 000 $ », relate M. Berthiaume. « L’objectif est de réduire notre portion du déficit à 25 pour cent. » En même temps, Hawkesbury essaie d’attirer de nouveaux clients. Malgré un budget de 452 463 $ en 2011, les dépenses du centre ont totalisé 489 998 $ l’an dernier. La Ville fournit le service de répartition des services des incendies pour les munici- palités de La Nation, Champlain, Hawkes- bury Est, Casselman, Alfred-Plantagenet, Russell, Glengarry Nord et Stormont Nord. Lors d’une réunion récente, le conseil du canton de Champlain, qui paie maintenant environ 26 000 $ pour le service, a accepté la hausse de huit pour cent. « Le service coûte une fortune à Hawkesbury », a ob-
servé le maire Gary Barton, ajoutant que Champlain chercherait aussi un meilleur prix ailleurs. M. Berthiaume est confiant que de plus hauts taux n’auraient pas pour résultat une perte de clients. « Chaque client a le droit d’annuler le contrat avec un avis de six mois », a fait remarquer M. Berthiaume. « Nos cli- ents peuvent regarder ailleurs mais il n’y a pas un endroit qui offre le même niveau de service pour un meilleur prix. » Dans un ef- fort pour attirer de nouveaux contrats, M. Berthiaume a récemment vanté le service devant les 30 membres de l’Association française des municipalités de l’Ontario. Les clients actuels paient entre 13 000 $ et 41 000 $ par année pour le service de répartition, relate le chef des pompiers, Ghislain Pigeon. Les frais pour le service, qui est fourni aux 21 casernes de pompiers, sont fondés sur la population, le nombre de casernes et le nombre d’appels traités. La Ville a toujours tenté de récupérer 75 pour cent du coût net du centre de com- munication, a rappelé M. Pigeon. Par ailleurs, cet objectif s’avérait quasiment impossible à réaliser parce qu’au cours des dernières années, les salaires pour les policiers, pompiers, ambulanciers et répartiteurs « ont monté en flèche », affirme M. Berthiaume. L’issue des négociations avec les cinq employés du centre de communication sera un facteur important pour la Ville, afin de rendre le centre plus rentable. Une séance d’arbitrage entre les représentants de la municipalité et les répartiteurs est planifiée pour le mois de décembre.
LA RÉINCARNATION Soirée de réflexion avec Carole M. et Serge Thivierge 14 novembre 2012 - 19 h 30 Vivons-nous plusieurs vies ? Quel est le but de la réincarnation ? Pourquoi ne se souvient-on pas ? Comment expliquer les inégalités du destin ?
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LE TÉLÉJOURNAL OTTAWA-GATINEAU
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Avec Michel Picard Radio-Canada.ca
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« Nous ne sommes pas une prison» Richard.mahoney@eap.on.ca
de réhabilitation, 4 $ à 6 $ circulent dans la communauté, a-t-il affirmé. « Les études montrent qu’en général, les valeurs des pro- priétés augmentent», selon l’urbaniste. « Un tel établissement aidera à réduire l’activité criminelle, puisque plusieurs infractions sont motivées par la dépen- dance », a mentionné M. Champagne. Ils ont assuré le conseil municipal qu’aucune demande formelle pour un changement de zonage ne serait faite jusqu’à ce qu’une assemblée d’information publique ait lieu. L’organisation, qui opère aussi un centre à Montebello, a choisi le site à Vankleek Hill parce que : « Il offre un environnement fa- milial », a dit M. Champagne, ajoutant que dans le passé, le couvent avait accueilli des rencontres des Alcooliques Anonymes. L’établissement qui accommodera jusqu’à 70 clients sobres de l’Ontario, sera géré sel- on les normes strictes du gouvernement, a insisté M. Champagne. Pendant que le centre, qui sera constamment surveillé, se- rait dirigé par des professionnels dans le domaine, des emplois seraient aussi dis- ponibles pour les résidents locaux, a dit M. Mercier. Financé par les dons des entrepris- es, la Fondation est déterminée à faire l’engagement financier qui est exigé afin que le centre devienne une réalité, a affirmé M. Champagne. Malgré des coûts de rénovations estimés entre 300 000 $ et 500 000 $, M. Cham- pagne a commenté : « Nous ferons tout ce
Une soirée d’accueil sera organisée le 29 octobre
VANKLEEK HILL | La conversion de l’ancien couvent de Vankleek Hill en centre de traitement des dépendances sera un atout pour la communauté. Cette affirmation, par les représentants de la Fondation l’Ange-Gardien n’a pas con- vaincu tout le monde lors d’une réunion ré- cente du conseil du canton de Champlain. Mais Daniel Champagne, le directeur gé- néral de l’organisme, et l’urbaniste Pierre Mercier sont confiants que les gens seront apaisés une fois qu’ils seront plus familiers avec le centre de réhabilitation proposé. Une soirée d’accueil sera organisée le 29 octobre, de 18 h à 21 h, au Club de curling de Vankleek Hill afin de permettre aux rési- dents de poser leurs questions au conseil d’administration de l’organisme. « Nous ne sommes pas une prison ; nous sommes un centre de traitement. Nous ne faisons pas entrer des criminels. Nous vou- lons faire partie de la communauté», a dit M. Champagne alors que lui et M. Mercier ont présenté les grandes lignes du centre de réhabilitation qui aidera les gens qui ont des problèmes d’alcool et de drogues. Certains résidents ont déjà exprimé leur opposition au projet. Ils s’inquiètent con- cernant une hausse de l’activité criminelle et une baisse dans de valeur des proprié- tés. Pourtant M. Mercier a soutenu que les études démontrent qu’un centre de réédu- cation est un avantage pour une commu- nauté. Pour chaque 1 $ dépensé dans un centre
qu’il faut ». L’avenir de l’ancien couvent sur la rue Higginson est nébuleux depuis que la pro- priétaire, Josée Tom, a abandonné une ten- tative en 2009 de convertir l’édifice en spa. Elle a essayé de vendre la propriété pour 1 250 000 $. Avant sa fermeture en 2009, le couvent avait été utilisé par les Sœurs de Sainte-Marie-de-Namur, un ordre qui s’était établi en ville en 1886.
Daniel Champagne
Né d’une
race fière
Par Jean-Roch Vachon
Langevin Les familles Langevin dit Bergevin sont à l’honneur ! Lise Langevin et François Côté, membres de La Seigneurie, société de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, ont participé à la préparation de cette chronique généalogique pour rendre hommage aux ancêtres paternels de Lise. Le premier ancêtre, Jean Bergevin dit Langevin (né le 11 mars 1635), de la ville, l’arrondissement et l’évêché d’Angers, Anjou (Maine-et-Loire), France, soldat de la compagnie de Grand Fontaine, régiment de Carignan, arrive au pays le 17 août 1665. Il est le fils de Mathurin Bergevin ou Bregevin et Marie Tesnier mariés le 26 avril 1634 (généalogie des Français d’Amérique du Nord) au faubourg Saint-Jacques, Angers. Le 26 novembre 1668 à Québec, il épouse Marie Piton, fille de Rémi Pitau et Marie Poilen (contrat de mariage 26 novembre 1668, greffe Pierre Duquet). Onze enfants, trois filles, et huit garçons, baptisés à Québec et Beauport, sont issus de ce mariage. Jean décède le 2 février 1703, victime de la petite vérole, et est inhumé le lendemain à Beauport. « … Chez les militaires, la chose était courante, tous et chacun avaient un surnom qui faisait référence à n’importe quoi: lieu, métier, fleur, tic, taille, etc. C’est ainsi que bien des soldats originaires d’Anjou se faisaient appeler L’ANGEVIN (les Angevins sont originaires d’Anjou). D’où les BERGEVIN dit LANGEVIN que l’on trouve au 17e siècle. ¹»
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Générations 12e Axel et Nia Fiorilli Côté n. à Montréal, Qc 11e Mathieu Côté – Giovanna Fiorilli m. le 2006-10-07 à Montréal, Qc 10e Lise Langevin – François B. Côté m. le 1974-02-23 à Montréal, Qc 9e Louis-Philippe Langevin – Denise Roi
m. le 1949-09-17 à Saint-François-d’Assise (Beauceville) Qc
8e Alphonse Langevin – Marie Bédard m. le 1899-10-24 à Sainte-Marie, Beauce, Qc Thomas Langevin – M. Louise Célanine Gagnon m. le 1874-02-03 à Sainte-Marie, Beauce, Qc Antoine Bergevin/Langevin – Olivette Rhéaume m. le 1844-07-16 à Sainte-Marie, Beauce, Qc Antoine Bergevin/Langevin – Catherine Routier m. le 1818-10-27 à Sainte-Marie-de-Beauce, Qc 4e Adrien Bergevin/Langevin – Magdeleine Bilodeau m. le 1772-02-04 à Sainte-Marie-de-Beauce, Qc 3e Louis Bergevin – Marie Joseph Parent m. le 1753-10-01 à Chambly, Qc 2e Louis Bergevin – Marguerite Texier m. le 1705-01-13 à Beauport, Qc 1re Jean Bréchevin – Marie Piton m. le 1668-11-26 à Notre-Dame, Québec 7e 6e 5e
Denturologistes Mélanie Lacroix DD Serge M. Lacroix DD 225, rue Main Ouest, pièce 102
Service d’estampes en caoutchouc ou préencrées
Ce soldat français porte l’uniforme du régiment de Carignan- Salières, stationné en Nouvelle-France entre 1665 et 1668. Cet uniforme marron a une doublure grise qui produit un effet décoratif lorsque les manches sont retournées. Des rubans chamois et noirs décorent le chapeau et l’épaule droite, suivant la mode de l’époque. Les soldats du régiment de Carignan-Salières portent tous des épées et la plupart d’entre eux sont armés de mousquets, à l’exception de deux cents hommes ayant des armes plus légères appelées fusils. Reconstitution par Francis Back. (Passerelle pour l’histoire militaire canadienne) ²
Hawkesbury (Ont.) K6A 3R7 Tél. : 613.632.0780
s’adresser au bureaux du Carillon 1100, rue Aberdeen, Hawkesbury 613-632-4155
¹ http://www.sivori.ca/dufour/histoirelangevin.htm ². http://www.cmhg.gc.ca/cmh/image-70-fra.asp?page_id=49 ¹
Pour votre généalogie, adressez-vous à Jean-RochVachon 449, chemin Laflèche, Hawkesbury, Ont. K6A 1M8 ; tél.: 613-632-7678
Vos prévisions pour la fin de semaine
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14° C 10° C
10° C 7° C
TEMP. MAX TEMP. MIN.
13° C 4° C
21° C 12° C
11° C 2° C
Ciel variable avec averses dispersées
Ciel variable avec averses dispersées
Pluie
Pluie
CIEL
Généralement ensoleillé
60%
80%
Poss. de Préc.
40%
30%
20%
COMMUNAUTÉ
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Soirée retrouvailles pour les anciens de la CIP CHANTAL QUIRION chantal.quirion@eap.on.ca
coin mais il y en a beaucoup qui sont partis s’installer ailleurs. Ce serait bien de se voir pour parler du bon vieux temps. » Les organisateurs insistent pour souligner que ce sera la fête de tous les anciens employés de la CIP Mill de Hawkesbury. Autant les cadres, les employés que les syndiqués du local 28 et du local 165, tous les bienvenus. « On ne rajeunit pas non plus et comme on était dans les plus jeunes à l’époque alors c’est certain qu’il y en a qui sont décédés depuis. Chaque année la gang diminue, c’est pour ça aussi qu’on veut le faire maintenant. Je connais un contremaître de 92 ans et il parle encore de la CIP à tous les jours », rapporte pour sa part M. Campbell. Bien sûr il y avait le travail mais il y avait aussi la ligue de hockey, puis ensuite le club. L’été, les employés pouvaient piqueniquer en famille sur la plage de la Rouge, propriété de la CIP, mise à la disposition de son personnel. Le curling, le golf, les célébrations lors de la Fête du travail sont autant de souvenirs partagés qu’il sera bon d’évoquer lors de cette soirée de retrouvailles. Les festivités auront lieu à la salle des Chevaliers de Colomb située à l’angle des rues James et Higginson à Hawkesbury. L’accueil se fera dès 16 heures et après le souper spaghetti, les gens pourront danser sur la musique de Robert Portelance et André Chamaillard. Les billets sont vendus 10 $ seulement auprès de M. Duplantie au 613 632-2501.
HAWKESBURY | Nostalgiques? Non. Ils sont plutôt curieux de savoir ce que sont devenus leurs confrères de travail au cours des trente dernières années. Le 1 er décembre prochain, un souper et une soirée dansante permettront aux anciens employés de la Canadian International Paper Company (CIP) de fraterniser à nouveau. Le nombre de billets est limité à 180, en raison de la taille de la salle des Chevaliers de Colomb où se tiendra l’événement. Les personnes intéressées doivent donc communiquer rapidement avec Robert Duplantie au 613 632-2501. Un comité organisateur, appuyé du conseil 2183 des Chevaliers de Colomb, a tenu à souligner le 30 e anniversaire de la
Photo courtoisie
Robert Duplantie, André Chamaillard, Gérard Campbell et Robert Portelance du comité organisateur des retrouvailles des anciens employés de la CIP Mill de Hawkesbury invitent les gens en grand nombre le 1 er décembre prochain. (Absent de la photo, Roch Séguin, du comité également).
fermeture de cette entreprise qui a façonné le quotidien de Hawkesbury pendant près
de 85 ans. L’entreprise, qui a fait les beaux jours de l’économie dans ses années glorieuses, embauchait encore quelque 380 employés au moment de sa fermeture en décembre 1982. « Il n’y a jamais eu de rencontre des anciens », explique Robert Duplantie du comité organisateur. Lui, Gérard Campbell, Robert Portelance, Roch Séguin et André Chamaillard qui est également Grand Chevalier du conseil 2183, ont voulu palier à la situation. « Ça fait trente ans qu’on ne s’est pas vu. On était comme une famille. On en rencontre certains qui sont restés dans le
Deux journ ées de recrutement
rue Principale est, suite 201. La deuxième aura lieu à Rockland, le vendredi 2 novem- bre. Plusieurs postes de préposé aux services de soutien personnels sont disponibles Les personnes intéressées peuvent trans- mettre leur curriculum vitae à reveraca@ csepr.ca ou se présenter à l’une de ces journées. Pour en savoir plus, visitez le site : www.reveraliving.com
EST ONTARIEN | L’entreprise de soins à domicile Revera procèdera à deux journées de recrutement dans l’Est on- tarien dans les succursales du Centre de services à l’emploi de Prescott et Russell. La première session se tiendra à Hawkes- bury, le 26 octobre de 9 h à 17h, au 134,
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ACTUALITÉ
COMMUNAUTAIRE
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L’HGH, meilleure performance en Ontario
nouvelles@eap.on.ca HAWKESBURY | L’Hôpital Général de Hawkesbury & District est la meilleure institution communautaire dans la prov- ince, selon un sondage des patients. Le rapport National Research Corpo- ration-Picker Canada «Patient Ratings of Overall Satisfaction and Likelihood to Rec- ommend for Ontario Hospitals», a confirmé la « performance exemplaire de notre hôpi- tal au niveau provincial », a annoncé l’HGH la semaine dernière. Lorsque nous avons posé la question : «Recommanderiez-vous cet hôpital?» , l’HGH s’est vu attribué la meil- leure note parmi tous les hôpitaux commu- nautaires de l’Ontario. En effet, 86,9 pour cent des patients ont répondu « Oui » à cette question. «Cette classification nous confirme une foisdeplus, ledévouement denos employés en ce qui a trait aux soins de nos patients», a indiqué Dr. Luc Chagnon, médecin-chef de l’HGH. «Nous sommes fiers de ces résultats car nous entamons d’importants change- ments avec nos plans de réaménagement. Nous sommes heureux de voir l’importance qu’accordent nos employés à la qualité Le Jour du Souvenir (soit le 11 novem- bre) nous arrive dans un court délai. Saviez-vous que 44,963 jeunes Ca- nadiens et Canadiennes ont donné leur vie durant la Guerre 1939-45, et plus de 65,000 durant la Guerre 1914-18 pour que nous vivions libres dans notre beau Canada? La meilleure façon de montrer qu’on se souvient est de porter fièrement le coquelicot que les légionnaires vous of- friront durant cette période. II y aura aussi des présentoirs sur les comptoirs de plusieurs commerces et bureaux de la région . En plus, de s l égionnaires visiteront les places d’affaires pour leur offrir des cou- ronnes qui seront déposées au Monu- ment des Braves (boulevard Cartier), lors d’une cérémonie le 11 novembre pro- chain à 11 h. II y aura aussi des cérémo- nies à Alfred, le samedi 10 novembre à 14 h, au monument; à L’Orignal, le diman- che 4 novembre à 11 h, au monument
des soins offerts, et ce, avec une emphase toute particulière sur la compassion et le respect», a mentionné le directeur général Marc LeBoutillier, directeur général. Selon le même rapport, l’HGH s’est égale- ment classé parmi les cinq meilleurs hôpi- taux communautaires de la province quant à la satisfaction des patients hospitalisés. À Alexandria, l’hôpital s’est classé parmi les meilleures pour les services d’urgence. Les sondages NRCC font partie d’un sys- tème provincial de collecte de données et de rapports fournissant des renseigne- ments sur la satisfaction des clients pour les services de soins aigus, les services d’urgence, les centres de réadaptation et les centres de maternité. Les résultats de ce rapport visent l’année budgétaire 2010-2011. « Étant un important fournisseur de ser- vices de santé au sein de Prescott et Russell, l’Hôpital Général de Hawkesbury & District est fier d’offrir des services de qualité à sa communauté, tout en s’assurant que ses patients reçoivent les meilleurs soins de la part de son personnel et de ses médecins, et ce, en tout temps ». du Parc; à Vankleek Hill, au monument du V.C.I., le 4 novembre à 14h. Après la courte cérémonie à Hawkesbury, dépôt de couronnes, prières et remarques d’occasion de nos dignitaires, tous sont bienvenus à la Légion Canadienne pour fraterniser avec les vétérans et les légion- naires. Un léger goûter sera servi. II faut aussi se souvenir des militaires qui ont donné leur vie pendant la guerre de Corée et en d’autres théâtres de guerre, en mission de paix soit la guerre du Golfe, du Kosovo, du Congo et mal- heureusement en Afghanistan. En terminant permettez-moi de vous apporter le message qu’un jeune soldat mourant dit à son sergent, dans la boue du champ de bataille en 1944 en France, «Quand vous retournerez chez nous, dites-Ieur que pour leur lendemain nous donnons notre aujourd’hui. » René Bertrand, Hawkesbury Un vétéran légionnaire de la Guerre 1939-45
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Des histoires pour souligner le 65 e anniversaire de la CNS Cœur à chœur est un projet de partenariat littéraire et musical qui permettra aux élèves de 5 e ou 6 e année de douze écoles de différents conseils scolaires de vivre un projet visant à produire un disque audionumérique de douze chansons. Les chants, dont les paroles et la musique seront composées par les élèves, présenteront le quotidien et les multiples facettes de la francophonie nord-américaine telles que perçus et vécus par les jeunes d’aujourd’hui. Pour atteindre ce but, l’auteur-compositeur professionnel, François Viau, a visité la classe de 5 e année de Mme Cécile Lacelle de l’École élémentaire catholique Paul VI à Hawkesbury afin d’offrir des ateliers de composition littéraire et musicale et de diriger les élèves dans leur démarche. Lors de cet atelier, les élèves ont découvert les rouages fondamentaux de la poésie et ont profité des conseils pratiques du professionnel pour rédiger leur texte de chanson. Viendront alors les ateliers de composition musicale, le 20 novembre prochain.
Ne les oublions jamais
Nouvelles@eap.on.ca FINCH | La Conservation de la Nation Sud invite les résidentsdubassinversant àpartici- per de façon créative à son 65e anniversaire. « Nous recherchions un concept qui crée- rait un souvenir durable de l’anniversaire, tout en reflétant le caractère à la fois de la région que nous desservons et des gens qui l’habitent », a déclaré Angela Coleman, directrice des communications de la CNS. « Nous avons eu l’idée d’un livre, écrit par les résidents, contenant de petites histoires ti- rées de leurs expériences, qui relateraient la vie le long de la rivière Nation Sud et de ses affluents. Nous espérons compiler les his- toires et publier le livre d’ici la finde l’année. » Il s’agira d’un livre de 150 à 250 pages avec couverture souple, qui comprendra prin- cipalement des histoires avec peut-être quelques photos, a expliqué Mme Coleman. On encourage les soumissions de 1500 à 2000 mots. Bien qu’il y ait quelques révisions de textes pour faciliter la lecture, les parti- cipants intéressés n’ont pas à être des écrivains professionnels et ils sont les bienvenus. Il n’est pas nécessaire qu’ils soient résidents permanents non plus. À ce jour, les auteurs et les sujets sont très variés. Il est intéressant de voir comment les auteurs décrivent les changements de la ri- vière, ainsi que les modes de vie des popula- tions locales au fil du temps. Jusqu’à présent, les auteurs sont âgés de moins de 20 ans à plus de 90 ans, ce qui représente toute une gamme de points de vue et d’expériences. « Les impressions ressenties par les nou- veaux arrivants seront aussi intéressantes à
Erratum Une erreur s’est glissée dans le texte au sujet du radiotéléthon de l’Hôpital Général de Hawkesbury et District, publié dans le Carillon du 17 octobre. Le don de JoAnn et Gaetan Champagne était bel et bien de 100 000 $. lire. Nous avons une vingtaine de soumis- sions à ce jour et le contenu est excellent. » Bien que la structure des histoires ne soit pas coulée dans le béton, Mme Coleman explique qu’un scénario typique décrirait la relation de l’auteur avec la rivière Nation Sud ou un de ses affluents. L’auteur peut égalementfournirdesantécédentsperson- nels et conter une ou plusieurs anecdotes particulières à propos de ses expériences sur ou autour d’un cours d’eau particulier. « Par exemple, un agriculteur parlerait sans doute de la rivière d’une certaine manière, un historien d’une autre ma- nière, et des pagayeurs ou des pêcheurs passionnés la décriraient à leur façon. » « Les histoires peuvent se terminer par un commentairesurl’importancedelaNations Sudpour les communautésdecette région, et peut-être un regard vers l’avenir, c’est- à-dire, la manière dont les auteurs voient l’importance de l’évolution de la rivière. » Les soumissions sont accueillies par cour- riel : acoleman@nation.on.ca , par téléco- pieur : 613 984-2872, ou par la poste : 38, rue Victoria, CP 29, Finch ON, K0C 1K0. La CS accepte les documents dactylogra- phiés, tapés sur ordinateur ou écrits à la main. Et les auteurs sont invités à écrire des textes en anglais, en français ou dans les deux langues. La date limite de soumission est le 26 octobre 2012.
19 500 copies
Fondé en 1947
Bertrand Castonguay , président, bertrand@eap.on.ca Roger Duplantie , d.g., roger@eap.on.ca François Bélair , développement, fbelair@eap.on.ca Yvan Joly , directeur des ventes, yvan@eap.on.ca
Publié le mercredi par : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par : Imprimerie Prescott et Russell 1100, rue Aberdeen, Hawkesbury, ON K6A 1K7 - Tél. : 613 632-4155 • Téléc. : 613 632-8601 www.lecarillon.ca Distribution totale : 19 500 copies Distribution gratuite dans le comté de Prescott, Ontario et le village de Grenville, Québec # convention : 0040012398 Gilles Normand , dir. de production et de la distribution, gilles.normand@eap.on.ca Julien Boisvenue , dir. de l’infographie et du prépresse, julien.boisvenue@eap.on.ca Nouvelle/News : nouvelles@eap.on.ca Toute reproduction du contenu est interdite à moins d’autorisation écrite au préalable.
Avis : En cas d’erreur ou d’omission, la responsabilité du journal ne dépasse, en aucun temps, le montant de l’espace de l’erreur en cause.
ADMISSIONS EN PREMIÈRE SECONDAIRE ANNÉE SCOLAIRE 2013-2014 Le dimanche 18 novembre 2012 ou bien le dimanche 25 novembre, à 13h30 Pré-inscription obligatoire au 819-242-0957 ou par courriel à administration@seminairedusacrecoeur.qc.ca
www.seminairedusacrecoeur.qc.ca
Séminaire du Sacré-Coeur École secondaire privée située à Grenville-sur-la-Rouge
communautaire Le lien GRENVILLE Souper et soirée d’Halloween du Club Amitié sans frontière, le vendredi 26 octobre au centre communautaire de Grenville (21 rue Tri-Jean).Aussi, Voyage organisé :Tour de ville ““Lady Montréal et ses château” et Soirées canadiennes. Artistes, chants, danses et rigodons, le 17 novembre à Montréal.RSVP: Lise Dinel au 819 242-7179, Françoise Labre au 613 632-9147 ou Jacinthe Berniquez au 819 242-1963. HAWKESBURY Achetez et décorez votre citrouille au Jardin des pionniers, les 27 et 28 octobre de 10 h à 16 h. Ambiance parfaite pour l’Halloween,.(Rue Principlae est). Whist militaire par les Filles d’Isabelle Ste-Bernadette-Soubirous, le dimanche 4 novembre à 13h30 au sous-sol de l’église St-Alphonse-de-Liguori.. Coût: 10$. RSVP : Denise Joanette au 613 632-4782. LEFAIVRE Souper lasagne au profit de l’église St- Thomas de Lefaivre, le samedi 3 novem- bre à 17h au Centre Communautaire Mgr. Charbonneau.. Adultes / 12 $ et 12 ans et moins /5$. Info: 613 679-2519 ou 613 679-2212. L’ORIGNAL Filles d’Isabelle: messe pour les mem- bres défuntes, le lundi 5 novembre à 19 heures suivie de la réunion mensuelle au local de l’Age d’Or de L’Orignal. Souper et soirée jamboree, le vendredi 9 novembre :, organisé par les Cheva- liers de Colomb et les Filles d’Isabelle de L’Origanl. Coût: 12.50$é RSVP: Johanne ou André Yargeau au 613 675-0308 . ROCKLAND Festivall “Rock L and Blues “, les 2 et 3 novembre. Le vendredi soir , danse et spectacle avec deux groupes , Dusty Drift- ers et James Green Band. au River Rock Inn à Rockalnd. Le samedi soir, la soi- rée se tiendra au Club de Golf Hammon. Deux groupes : le trio A.K.A. avec Pierre V. «wrong side» Chénier, Pierre Tardif et Clif- ford Breau ainsi que Steve Rowe Band. Billets: le vendredi 10$ et samedi 15$. BINGO À ALFRED TOUS LES JEUDIS
COMMUNAUTÉ
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Le maire de Hawkesbury, René Berthi- aume, a agi comme serveur au Restau- rant Carole la semaine dernière, lors du déjeuner au profit de la 6e campagne d’habits de neige du programme Fiers de nos enfants / Maison de la famille de Hawkesbury. « Les gens sont très réceptifs », relate Brigitte Williams, su- perviseure de Fiers de nos enfants. Le programme permettra d’habiller chaudement une centaine d’enfants, de 0 à 6 ans, de Hawkesbury et des villages environnants. On voit ici Stéphanie Lac- roix avec les petites Laurence et Juliette Demers, Brigitte Williams, et le maire Berthiaume. Campagne d’habits de neige Dans un cinéma près de chez nous GRENVILLE | Les gens reconnaitront des visages connus dans la minisérie docu- mentaire Dans un cinéma près de chez nous présentée sur les ondes de Historia le 29 octobre et le 5 novembre à 20 h. La série raconte l’histoire des salles de ci- néma, comme le cinéma Laurentien à Gren- ville, à travers l’amour des Québécois avec le grand écran, des premières projections de films muets jusqu’à l’ère numérique. Visitez http://www.historiatv.com/emis- sions/dans-un-cinema-pres-de -chez- nous-1.48813 Depuis la première projection de film en Amérique du Nord, tenue à Montréal en 1896, le cinéma est devenu indissociable de la vie sociale et culturelle des Québécois. Des images d’archives, des témoignages captivants et des souvenirs savoureux per- mettent de revivre l’émerveillement sus- cités par les salles obscures de chez nous. Dans cette production de Quiet Motion, his- toire et émotion sont rendez-vous.
Photo Richard Mahoney
Le mois d’octobre est le mois delapréventiondelaviolence envers les enfants. Aussi, les élèves et les membres du personnel de l’école élémentaire catholique S a i n t e - M a r g u e r i t e - Bourgeois, à Hawkesbury, se sont vêtus de mauve afin de démontrer leur appui à la cause. Les élèves ont été sensibilisés au fait qu’il est important que les enfants se sentent en sécurité dans le milieu scolaire et en société. Pour la cause
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